Paragraphe Argument Democratie Athene

Athènes, l’héritage démocratiqueDans ce premier chapitre d’histoire de l’année, nous allons étudier la manière dont les Athéniens se gouvernaient il y a 2500 ans. La Grèce de l’époque était divisée en de nombreuses cités, c’est-à-dire des petits territoires (souvent plus petits qu’un département français actuel) qui avaient chacun leur propre gouvernement, leurs propres lois, leur propre armée – et qui se faisaient d’ailleurs souvent la guerre entre eux.En revanche, les habitants partageaient une

CORRIGE DU CONTROLE : être citoyen à Athènes au Vème siècle av J.C. Texte 1 Aristote décrit la démocratie athénienne . Question1 :Il faut présenter l’auteur, Aristote, la nature du doc , texte écrit extrait d’un ouvrage qui s’appelle , «  Politique » , la date 4ème siècle, et l’intérêt, ici , une présentation des caractéristiques d’après Aristote de la démocratie athénienne. Question 2 : Le principe fondamental pour Aristote est la liberté, seuls les homes libres peuvent participer et chacun

le monde antique Athènes, aux Ve et IVe siècles avant J.-C., et l’Empire romain, jusqu’au IIIe siècle après J.-C., offrent deux exemples de régimes politiques qui, de manière différente, ont donné une place centrale au citoyen. Un citoyen romain et son esclave (Fructus se faisant servir par son esclave Myro, mosaïque, musée Bardo, Tunis.) Un soldat athénien (Stèle funéraire d’Aristion, vers 510 av. J.-C., musée national d’Athènes.) 1 46 Qui est citoyen à Athènes et dans l'Empire romain

transition importante. A partir du 5e siècle avant notre ère: période classique. C'est le monde des cités, de la politique, de la démocratie. Et cela se termine au 4e siècle, en -322, un drame secoue Athènes. Les macédoniens vont imposer à Athènes une constitution censitaires, le pouvoir appartient alors à un petit nombre de personnes, selon leur revenue. Athènes perd alors son indépendance et les macédoniens prennent le pouvoir (Alexandre Legrand). En -322 il y a aussi la mort d'Aristote, qui

chose ? » ( Page 210, paragraphe c). Les questions du bonheur et du plaisir de l'Homme. sont posées. Socrate ponctue le dialogue. La grande problématique est : qu'est ce que le bonheur ? Puis, la sous-problématique peut être : Le bonheur réside-t-il dans l'assouvissement matérielle ( soif/faim) ? « Est-ce à tes yeux le propre d'un homme qui est philosophe de courir après les plaisirs, ou prétendus tels, comme ceux de la nourriture ou de la boisson ? » ( page 210, paragraphe d ). Cela nous ramène

Plan 1er paragraphe : intro et expliquation Sujet amené : comparaison entre la penssé de socrate et les sophisme Sujet posé : Annonce des différent paragraphes : paragraphe 2 : Paragraphe 3 : comencon par ce premier point ,socrate aurait été linitiateur a la recherche de definition universelle que faut til entendre par la au juste ? 2em paragraphe : Présentation des idées importante des sophismes : 1-Les sophismes sont des raisonnements qui sont destinés a tromper volontairement,bien

justifie, et même encourage à faire la guerre selon Périclès. Pour finir, nous chercherons quelles approximations ou déformations volontaires ont pu être mis en œuvre par le célèbre orateur pour emporter l’adhésion sur un sujet aussi grave. 1 I) Athènes, un modèle pour la Grèce. A) Une religion primordiale. 1) Les funérailles. Ce discours, ainsi bien sûr que l’introduction donnée par Thucydide, s’inscrit dans un contexte public éminemment religieux, puisqu’il est indiqué d’emblée qu’il s’agit de

qui n'avait jamais existé . Cité apparait au début de l'époque archaïque(debut 12é S av JC = periode de la guerre de Troie) , ce regime va constituer une sorte de matrice commune a toutes les villes grecques.Début du 8é = généralisation de la cité Paragraphe 1 : Caractéristiques de la cité grecque Entre 12e et 8e la plupart des villes grecques etaient régient par des monarchies , le basiléous( roi en grec) va soit disparaitre soit avoir un rôle amoindri. Il va être remplacé par pls magistrats (magistrat

perdu de sa puissance. Elle est menée à l’époque par un parti de marchands qui tâchait de maintenir une politique pacifique et populaire. Mais, en raison des conflits des cités de Phocide, la puissance macédonienne se faisait menaçante. Pour défendre Athènes, et surtout l'indépendance de la Grèce, face à l’ambition de Philippe II de Macédoine, une action politique commune devait se faire. Pour Démosthène, il faut former une union entre les cités grecques autour d'Athènes. En 349, il prononce ses trois

qui leur advinrent. Car pour que les hommes, tant qu’ils sont des hommes, se laissent assujettir, il faut de deux choses l’une : ou qu’ils y soient contraints, ou qu’ils soient trompés. Contraints par les armes étrangères comme le furent Sparte et Athènes par celles d’Alexandre, ou trompés par les factions comme le fut le gouvernement d’Athènes, tombé auparavant aux mains de Pisistrate. Ils perdent souvent leur liberté en étant trompés, mais sont moins souvent séduits par autrui qu’ils ne se trompent