Parataxe

Bruyère (« Ménalque ») : « […] Ménalque se jette hors de la portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre, la chambre, le cabinet ; tout lui est familier, rien ne lui est nouveau ; il s’assit, il se repose, il est chez soi. ». La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore pour désigner

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… ▪ 3e lecture : étude des images ▪ Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure

si elle l’a condamné. Tragique. III - Les caractéristiques du récit. A) La tension dramatique 1. Un récit qui donne à voir : Le mendiant ne s’y trompe pas : il dit "voici" = "vois ceci" 2. Les variations du rythme : Brièveté des phrases, parataxe, précipitation, imminence du moment tragique. Puis le rythme se ralentit, coordination, subordination car la fin est connue, elle ne fait aucun doute B) Un présent passé 1. Un usage paradoxal des temps verbaux : Giraudoux Utilise passé

14-15), par une allitération en « r » comme avec « effrayant » (l.14), « remords » (l.14) ou « trainait » (l.14). L’attitude de Napoléon est aussi soulignée par une opposition de remords qui se traine et de Napoléon qui fuit qui est faite grâce à une parataxe (l.14). Chateaubriand souligne l’attitude de Bonaparte avec beaucoup de figure de style, ce qui montre qu’il veut vraiment montrer que celui-ci à un comportement inhumain envers ses soldats. Le traitement des blessés et des prisonniers qui sont laissés

songe d’un habitant du mogol)qui li peut et dont il di qu’il est sage. Le sens est erroné c’est un cliché un préjugé du lecteur du 17è c’est ce contre quoi se battent les philosophes. -présent de vérité générale : actualisation -accumulation de parataxe :pas de logique dans cette définition elle est donc non valable. -généralités : « quelques, un peu, des personnes »pour lui tout le monde pense la même chose. -voc péjoratif : « moins obscure, suffisent… »Définition péjorative du faux philosophe

donnent une impression plus saccadée que les vers impairs - Phrases verbales simples sauf une phrase complexe avec 2 indépendantes "Le vent profond/pleure, on veut croire" On a donc des asyndètes (fait de ne pas utiliser de subordinations et des parataxes (pas de liens entre les différentes phrases, absence de mots de liaison) ---> Cela montre un monde disloqué, une sorte de chaos - Phrase courte : on a 8 phrases de 2 vers et 6 phrases de 1 vers Phrase nominale : le 2eme quatrain et le 5eme

D – Portraits physiques qui dénoncent aussi la malnutrition de Phédon et l’embonpoint de Giton. E – Chute finale : «  Il est riche » / « il est pauvre ». Deux phrases brèves qui proposent l’explication du texte. Construction sans connecteurs = parataxe. C’est le lecteur qui établit le lien logique de cause implicite. F – Le « On » = les gens qui en général entourent ce type de personne ont eux aussi un comportement ridicule : « Il s’arrête et on s’arrête » , « il marche et on marche avec lui »

phrase, à la lecture on a l’impression que sa cloche. Les phrases vont crées ou rompre un rythme. Utilisation d’asyndète (L'asyndète est une figure de style fondée sur la suppression des liens logiques et des conjonctions dans une phrase) et de parataxe (La parataxe consiste à supprimer la subordination entre des propositions) qui donnent du souffle au texte. La saturation et l’explosion verbales Structures Procédé d’accumulation d’éléments. Le rythme est vif, tout s’enchaine, puis une phrase

==> montre l'effervescence autour d'elle. On a dans cette premiere phrase une juxtaposition de propositions après «  tous les hommes la regardaient » ===> recours à la PARATAXE ; puisqu'on a des propositions qui ne sont pas reliées par une subordination. ==> rythme ternaire sur lequel la phrase est construite + la parataxe traduisent l'affairement des hommes atour de mathilde. Dans cette premiere propostion «  tous les hommes la regardaient » on a le pluriel de « tous les hommes » qui

liée à la condition humaine : le désastre de Lisbonne, les guerres sont absurdes. Ici la chute de l’épisode l’est particulièrement : citer : « Le même jour, la terre trembla de nouveau avec un fracas épouvantable » : cette conclusion, introduite en parataxe* (sans mot de liaison qui indiquerait la subjectivité du narrateur) n’en est que plus efficace et le lecteur mesure la portée de toute la cérémonie qui a coûté la vie à plusieurs innocents en regard de l’effet escompté : nul. C’est la triste équation