Parataxe

observer » montre l'activité de Marie « elle a murmurer » « elle a voulu savoir » verbes d'action « comme je me taisait,rien a ajouter. » l.12 marque un long silence « elle a voulu savoir » « j'ai répondu que » parataxe signifiant l'écart et l'éloignement entre le narrateur et Marie. c)un narrateur d'un étrange comportement « cela m'était égal » l.2 marque d'indifférence dans toutes les réponses de Meursault aux questions de Marie « cela » l.2,3 leitmotiv

Rousseau, Sade, Crébillon fils Plan : I/ Une composition et une énonciation La lettre est composée de différent paragraphe. Chacun contient un message différent sans lien avec le précédent. Absences de connecteurs logiques : Parataxe ou Asyndète. Exemple : « Auteur de mer fautes, quel droit as-tu de les punir ? » «  Où sont les amis […]» La confusion de Mme de Tourvel se lit dans la confusion des destinataires. En effet, la lettre ne mentionne pas de destinataires explicites

Qui vivra verra. (sujet) Je parle à qui me plaît. (complément d’objet indirect) Autres cas: les propositions couplées (comparatives) : Tel père, tel fils. la subordination inverse : Tu crierais qu’on ne t’entendrait pas. (= « Si tu criais… ») la parataxe : Il a beau travailler sa grammaire, il ne réussit pas ses devoirs. les tours d’extraction c’est qui / c’est que : C’est hier que j’ai rencontré Alice. l’incise : Je viendrai, dit-il, dès que j’aurai fini de réviser ma grammaire, etc.  

verra. (Sujet) Je parle à qui me plaît. (Complément d’objet indirect) les autres cas : les propositions couplées (comparatives) : Tel père, tel fils. la subordination inverse : Tu crierais qu’on ne t’entendrait pas. (= « Si tu criais... ») la parataxe : Il a beau travailler sa grammaire, il ne réussit pas ses devoirs. les tours d’extraction c’est qui / c’est que : C’est hier que j’ai rencontré Alice. l’incise : Je viendrai, dit-il, dès que j’aurai fini de réviser ma grammaire. etc. [pic] Remarques

Je parle à qui me plaît. (complément d’objet indirect) Autres cas • les propositions couplées (comparatives) : Tel père, tel fils. • la subordination inverse : Tu crierais qu’on ne t’entendrait pas. (= « Si tu criais… ») • la parataxe : Il a beau travailler sa grammaire, il ne réussit pas ses devoirs. • les tours d’extraction c’est qui / c’est que : C’est hier que j’ai rencontré Alice. • l’incise : Je viendrai, dit-il, dès que j’aurai fini de réviser ma grammaire.

une pensée humaniste? I. L'idéal de Castiglione: a) l'importance du courtisan: Le Courtisan doit apprendre au Prince de nombreuses vertus. Argumentation logique. Présence de connecteurs logiques, de subordination. 9 subordonnées, hypotaxe et parataxe (juxtaposition). Litote pour anoncer l'exemple argumentatif. L'habitude dépend de l'action et la vertu se constate dans l'action. Vertus: dans un sens moral, disposition à vouloir et à faire le bien. Magnaminité (magnus grand et animus esprit)=

funèbre ?/ dire l’abandon par l’ellipse : une écriture mise en abyme à travers le motif de la carte postale/un personnage dans le rôle d’un juge / l’utopie d’une parole aimante et réparatrice Aide pour les procédés Une stylistique du disjoint : parataxe, épanorthose, discours Une dramaturgie de la séparation La famille comme un espace de servitude La mise en scène du délitement des rapports familiaux Des personnages langage, l’importance de l’énonciation Ellipse comme figure dramatique Le non-dit

| |De la fille d’Hélène à la veuve d’Hector. » (v.1320) | | | | |a) la paraphrase b) la périphrase c) la parataxe | | | | |38. A qui cette pièce est-elle dédiée ? | | | | |a) au roi Louis XIV

surprise du v. 9 : contraste entre la noblesse majestueuse du préambule de Jupiter & la brutalité de la réponse du singe / double interrogation • l’enchaînement de + en + rapide des interventions : 5/4/4/2 • l’emploi majoritaire du passé simple et la parataxe (juxtaposition des phrases sans mot de liaison) LA variété du récit l’alternance de différents types de discours : DD → v. 13, puis DI → v. 23 ; avec seulement de très brèves reprises du récit v. 14-15, 19-20 et 25-27 les jeux de versification :

(alexandrins, octosyllabes) et de la disposition des rimes (suivies, embrassées). b. Un rythme rapide Il y a une sorte de continuité qui pousse le lecteur à ne pas s’arrêter, ce rythme très rapide et aidé par les nombreux enjambements. Il y a une parataxe (succession de faits sans que l’on précise des rapports de coordinance. c. Présence de l’auteur L’auteur intervient plusieurs fois dans cette fable : v.15 « un vrai charnier » ou encore dans la morale, v. 34-36. On ressent sa présence tout au