Parataxe

du narrateur : * La description ne semble pas observer de hiérarchie dans les remarques ni de structure rigoureuse : les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi. Tout semble mis sur le même plan, sans mot de liaison (parataxe) ; * Des termes impropres : « peindre » (leurs lèvres) au lieu de « maquiller » ; « temple », « cheveux étrangers » (perruque) ; * Des mots qui fonctionnent comme des modalisateurs (avec « semblent », « paraît ») et qui soulignent la méconnaissance

récit d’une bataille agitée et meurtrière. Il n’en n’est rien. L’agitation est suspendue et les soldats impatients attendent (« passe une bonne part d’une si belle nuit »). Enfin, dans un troisième temps, tout s’accélère à nouveau (« courent »). La parataxe (« on les laisse passer : tout leur paraît tranquille/ point de soldats au port, point aux murs de la ville) souligne la rapidité avec laquelle l’ennemi tombe dans le piège. Les deux temps forts de l’action sont donc mis en valeur par une pause,

 Ton ironique : Horreur de la torture :  sanctions infligées au Chevalier + ton désinvolte ("mon petit cœur ..."). * Décalage: c'est un  sujet sérieux que l'on aurait traité sous un ton "grave". Cependant, l'ironie est permanente. c) Éloquence: opposition : parataxe au §2 (... ; ... ; ...)(L 12/14) qui s'oppose à la longue  phrase du §4. Conclusion La lutte de Voltaire contre l'intolérance et l'injustice en particulier, s'est concrétisée dans les  affaires "Callas, Sirvene (1762­71), et l'histoire du Chevalier de La Barre (1769)

réelle devrait être « Si tu étais un Français… ». L’influence est immédiate sur le jeune enfant : « le regarda, stupéfait », « pour la première fois ». Dans ce passage, le berbère était dans l’action (cirer et répondre), il est dans la réflexion : parataxe + rime interne (classique chez Driss Chraïbi). « Puis » introduit des verbes d’action (« s’en alla »), cette rencontre change sa vie CF (20) comparaison au présent de vérité générale + pronom indéfini. Est-ce une simple dénonciation du prêtre

Dans cet extrait, l’effet du réel se manifeste par une présence de ponctuation très faible. Les phrases sont longues, en outre elles sont privés des subordinations entres les prépositions ce qui contribuent à créer un rythme lent. Par ailleurs, la parataxe crée non seulement un rythme lent mais saccadé. « Un homme, brandissant une hache, se jeta dans la mêlée : on le vit trébucher, tomber, se relever. » Ce rythme saccadé met en avant le rythme de l’action. On observe une synchronisation entre le rythme

heptasyllabes de forme régulière opposés à à l’irrégularité du couplet 2 C.L. aller, revenir= permanence opposée à passer, couler  différence aussi dans le 2° vers du refrain « s’en vont/ demeure », deux verbes opposés sans mot de liaison = parataxe 2) Le désir de durer : la permanence se manifeste à intervalles réguliers dans les 2 premières strophes (ou couplets) - évocation des amours passées dont le souvenir est encore présent «  m’en souvienne »  Au vers 4, affirmation dans le retour

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images ◾Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? 4e lecture

rabattaient la toile bleue sur leurs yeux. Les jeunes enfants couraient, les bébés pleuraient, enroulés dans la toile bleue sur le dos de leur mère » ; les verbes sont juxtaposés, et non coordonnés « fuyait », « fouettait », « couraient », « pleuraient » parataxe qui signifie l’accumulation des difficultés et des désagréments que rien ne peut empêcher. Dès ces premières lignes, c’est donc la souffrance inhérente à la marche dans le désert qui est soulignée : il s’agit d’une errance, soumise aux aléas de

nouveau ; il s’assit, il se repose, il est chez soi. » -Les Caractères de La Bruyère « Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. − Et je l'ai trouvée amère. − Et je l'ai injuriée. » — Arthur Rimbaud, Une saison en enfer Parataxe Hypotaxe Zeugma Hypallage (féminin) La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. L’hypotaxe consiste en une abondance inhabituelle des liens de subordination

série de proposition juxtaposées, chaque vers comprenant une proposition, à l'exception de l'enjambement des vers 3/4. Les six premiers vers relatent cinq faits troublants, les quatres suivants une série d'hallucinations visuelles et auditives. Le parataxe, la simplicité de la syntaxe (sujet + verbe + complément), l'accumulation de faits de plus en plus insolites, qui sont autant de signes prémonitoires d'une catastrophe, installent un climat d'effroi. On relèvera l'emploi du présent, des indices de