Parataxe

Sens connoté = Sortilège VS sens littéral = charisme) + polysémie (plusieurs sens) 5) Analyse grammaticale : Relever ce qui fait sens Phrases complexes (4 ou 5 subordonnées apportant chacune un précision) = souci d’analyse, d’approfondissement + Parataxe (juxtaposition sans lien logique de proposition) -> traduire la confusion de l’esprit. Ex : Je cours … Je fuis … Je ne sais plus qui je suis … Tout s’effondre) 6) Analyse stylistique a) Figures par analogie (équivalence imaginaire) • Personnification

naïveté du narrateur :   La description ne semble pas observer de hiérarchie dans les remarques ni de structure rigoureuse : les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi. Tout semble mis sur le même plan, sans mot de liaison (parataxe) ;   Des termes impropres : « peindre » (leurs lèvres) au lieu de « maquiller » ; « temple », « cheveux étrangers » (perruque) ;   Des mots qui fonctionnent comme des modalisateurs (avec « semblent », « paraît ») et qui soulignent la méconnaissance

Personnification/animalisation d’un lieu qui tue. II- Un poème à dimension polémique a) Un appel au peuple inerte, impassible : prise à parti Apostrophes : « Peuple » v.1, «Ô peuple » v.2 « Paris […]/ Voit ces horreurs et garde un silence farouche » : parataxe qui suppose un lien de cause à effet. Attentisme, passivité du peuple que souligne et condamne V. Hugo -> Assertion et non injonction ici ! V. Hugo en appelle à la compassion du peuple par l’utilisation de l’adjectif démonstratif déictique de deuxième

Balzac montre une prédestination du nom Mortsauf (histoire... cahier de brouillon). ->Aussi cette lettre testamentaire d'Henriette révèle, de par son lyrisme, une noblesse et une majestuosité propres aux héros tragiques. ->"Je voulais aller à..." -> parataxe-> permet de retranscrire, de par ce style coupé, la violence subite de la réaction de la Comtesse(contenu de la phrase). + gradation (folie) + insistance sur le pronom personnel "je" -> égocentrisme, focalisation sur elle, volonté de centrer Félix

la vie. Montrer comment le passage révèle « l’étrangeté » de Meursault. Développement. Lignes 1-3. Remarques sur la technique du récit et l’écriture : noter la construction anaphorique : « j’ai dit » lignes 2/4/6/11/15/23 « elle ». Parataxe = absence de liens de coordination ou de subordination entre les phrases. Juxtaposition donne l’impression d’une conversation décousue sans prise sur le réel. Syntaxe élémentaire . « J’ai dit que » S.V.Complément. « Elle a voulu savoir si… » « J’ai

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images ◾Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? 4e lecture

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images ◾Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? 4e lecture

malaise de la lecture est présent dû aux les successions d’événements rapides, brefs avec peu de détails et pas développement, l’écriture est épurée. L’absence de mots de liaisons crée l’illusion des successions d’actions mécanisées Asyndète ou parataxe Le lecteur est donc face à cette intériorité, on rentre à l’intérieur du personnage mais cette intériorité est particulière car les actions sont données de façon neutre, cela donne un certain malaise au lecteur. Rupture avec les codes traditionnels

pièce sera de plus en plus présente toute au long de la pièce. Tout d’abord, Mme Smith emploie une structure grammaticale très simple : sujet, verbe, complément et enchaine souvent les phrases sans faire de connexion entre elles (ce que l’on appelle parataxe). « Le poisson était frais. Je m’en suis léché les babines. J’en ai pris deux fois. » l.27-28. Cela donne une forme d’automatisation à son discours. De plus Mme Smith s’exprime aussi au moyen des structures répétitives qui s’apparentent à des tautologies :

homme : « je suis parti » (l : 15) et « cravate » (l : 16), aduste car celui-ci est un employé donc à un travail : «  j’ai demandé deux jours de congés à mon patron » (l : 6) b) Le texte et son écriture Il y a un enchaînement de phrases courtes (parataxe) : « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » (l : 1) Peu complexes avec des temps simples ce qui procure une impression d’oralité dans le récit : « Il n’a pas répondu » (l : 8) C’est phrases courtes et banales contrastent