Parataxe

les ôte. Nous voici tous deux dans les fers ». L'opposition des images est renforcée par l'écho sonore : « libre comme l'air » / « tous deux dans les fers ». La révolte de l'Ingénu apparaît également dans l'accumulation de propositions brèves en parataxe (juxtaposition de deux propositions sans mot de liaison) créant des ruptures rythmiques (« on me les ôte »), à l'image d'une vie brisée. L'absurdité de la situation des captifs, l'arbitraire de leur détention sont mis en évidence par une double négation

d'un imparfait, les verbes de perceptions, actions, pensée. Les figures de style = comparaison, métaphore, hyperbole, personnification, antithèse commentaire ou interprétation. Phrase titre 2. Donnez vie a ce tableau. Mes interprétations. Des parataxes, avec des juxtaposé. Enchaînement des actions. La couleur des citations la ou il y a les guillemets. « avec ». interprétation commentaire. Le en effet est important après la phrase titre

combinaison de ses divers éléments dérive autant de la subjectivité du locuteur, étant donné que ceci tend ses préférences et ses intentions vers l'avant. Sur un premier ordre, la micro-organisation de ce récit régit d'une prise de parole par moyen de parataxe, un procédé qui révèle une vision du monde éclatée, ce qui s'avère dans un tel récit fantastique. Bref, la disposition de ses propres dialogues, de celles d'Omphale, et de celles du marchand, ne présente qu'une série de propositions fluctuantes,

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique

personnages sont réduits à néant, presque une annonce du théâtre de l’absurde. Comme les entrées, les enchainements des répliques et lui aussi assez flou, les effets sont poussés jusqu’à la limite du dialogue des sourds, subordination absente et jeu de la parataxe qui souligne les efforts, la parole prend énormément de place, mais parole pour la parole qui nie la communication « nous avons vu … si long », suprématie de la parole, il a préparé 2 ou 3 phrases. Conclusion : C’est une scène d’exposition puisqu’on

déconcertant affirme le non-respect de l’unité de temps, fondamentale dans le théâtre classique. S’en suit les dialogues vides et sans intérêt : le sujet de conversation des Smith se résume au dîner qu’ils viennent d’avoir. Madame Smith parle en parataxes, articulant avec exagération à la méthode « assimil » : « Tiens il est neuf heures. Nous avons mangé de la soupe du poisson, des pommes de terre au lard […] Les pommes de terre sont très bonnes avec le lard, … ». Monsieur Smith, est en de ça du langage

d’un dialogue. La Bruyère se met en scène lui-même et devient l’interlocuteur d’Acis. (+ plaire au lecteur par originalité, dynamisme) - anaphore des « j’y, je, vous ». Effet de tournoiement, vertige. - Pas de subordination = parataxe - succession de petites anecdotes, de petits exemples faits sur un même moule. L3 : « Il fait froid »… - Le jeu des paroles rapportées : plusieurs voix polyphonie. Cf double voix implicite

parties de son visage (« lèvres », « cou »). -1- Ces différentes parties représentent la femme en entière. Accent sur sa sensualité : importance de son corps. Métaphore : soif de vivre d’où une insatisfaction chronique à venir. Elle est vivante. Parataxe (asyndète. Paradoxal : comme une lutte à l’intérieur d’elle. Elle reprend une attitude convenable. Combat en elle de la pureté et des tentations. Même dans les signes de ponctuation, ils sont séparés. Il y a un point. Absence de communication.

») ou les expressions génériques (« la femme »), métaphore et synecdoque « cette mer de corsages gonflés de vie » (figure synecdochique qui prend la partie pour exprimer le tout, ici les corps féminins) - La technique de l'empilement : rôle de la parataxe (accumulation de mots), de l'asyndète (absence d'outils de liaison grammaticale), énumération, recensement : virtuosité du narrateur omniscient, Zola, qui propose un récit très circonstancié des faites et gestes, des entrées et sorties ; un tableau

"déshabiller" , "mettre un doit" , "l'approchait" , "le pris sur ses genoux", "pris les pieds", "pencha la tête" , "lui tira ses bas". Aucun adverbes n'est emplyer pour préciser les gestes : eux-mêmes ils sont suffisamment riches de signification. - La parataxe (absence de mots de liaison entre les propositions) prédomine; elle est également liée au désir d'adopter un style dépouiller: un aspect prosaïque est ainsi crée (à noter aussi au niveau du rythme des alexandrins binaires et réguliers) pour insister