Parataxe

l’hémistiche du dernier vers accélèrent le combat. - l’anticipation « ils n’ont pu résister à notre effort » rend la victoire trop facile et suspecte  - la concentration réduit toute la bataille au corps à corps à 4 vers (v. 229 à 232), avec l’usage de la parataxe et l’effacement morphologique (pronoms et auxiliaires) - les deux dernières action sont quasiment simultanées : les trompettes de la Renommée éclatent alors qu’il viennent à peine de prendre Télèbe d’assaut. 3. Valoriser son maître c’est se valoriser

vital indispensables à l’audace, le voici orateur soucieux d’exhorter son peuple à un sursaut d’orgueil. Cet extrait rend compte de l’organisation purement musicale de ce discours fondée sur la répétition, déconstruction de la phrase, asyndète parataxe généralisée, syntaxe nominale, anaphores et parallélismes, Hérités de la tradition symboliste du vers libre et du poème en prose ces procédés fondamentaux du style épique, permettent restitution de l’émotion première devant le monde sans passer

» = « ou » marque une équivalence, double sens du mot intrigue : plan affectif et plan politique + pluriel ; « sorte d’agitation sans désordre » = guerre feutrée, dissimulée 1-3 Une logique clanique Description des clans autour des reines, parataxe et répétition : « pour », forme de mise en relief des divisions innombrables au sein de la cour // jeu de stratégie. Les femmes se placent publiquement auprès des femmes, et avec plus de discrétion auprès d’amants. Clans : la reine = Catherine

des droits de la femme et de la citoyenne par le préambule qui précède les articles. Ce passage est également marquant car il expose les raisons pour lesquelles Olympe de Gouges a rédigé cette œuvre. Ma lecture est facilitée par la parataxe, qui permet à la fois à l’auteure de fournir des détails mais aussi d’exprimer la conséquence. Dans un premier temps, elle expose les causes sous forme négative et hyperbolique afin de choquer, interpeller le lecteur (« captatio benevo-lentiae »

burlesque (lié au contenu : un sujet noble de guerre qui est rabaissé à une querelle de poulailler). ???? Vers 6 : nouveaux propos de basse-cour : propositions indépendantes et périphrases « gents qui portent crête ». La Fontaine use de la parataxe, compensée par une série d’analogies. Les temps employés établissent un rapport entre la guerre de Troie et la basse-cour. Dans le vers 7, il y a le mot « bruit » qui fait référence à une rumeur, qui est quelque chose de prestigieux

- Autonomie du vers = autonomie des images →renforce la force d’expression des images → 1 vision = 1 vers → fragmentation de la parole, une parole étrange donnant naissance à une énumération sèche de visions  - Structure paratactique (v. parataxe) : aucun élément de transition, d’explication entre chaque vers d’où absence de cohérence interne au poème - Chaque vers = constitué d’une phrase indépendante : sujet + verbe + complément : une syntaxe hachée réduite au moule du vers.

les interjections « oh ! » et « eh ! » (« Oh ! vous m’impatientez avec vos terreurs. Eh ! que diantre ! ») dans un mélange des registres propre aux comédies Marivaux.En outre, le passage au futur de l’indicatif (« vous réussirez »), ainsi que la parataxe, témoignent de la certitude du valet : « vous réussirez, vous dis-je. Je m’en charge, je le veux, je l’ai mis là » = là renvoie au cerveau. Ainsi, Dubois explique qu’il a tout planifié, comme si c’était le metteur en scène de cette histoire. Renforcé

« de même que. ; » qui assimile les habitants du nouveau monde (« ces hommes »= être lointains, étrangers) à des fruits » produits par la « nature ». • l 8 à 117 : opposition des deux civilisations ◦ Montaigne développe son idée en employant une parataxe ( c'est à dire une absence de liaison explicite qu'il remplace par les :).Il oppose ces fruits naturels à « ceux que nous avons dégradés par notre artifice et détournés de l’ordre normal»= de mauvais fruits car des fruits non naturels , issus de

que représente Mathilde au pluriel qui évoque l'assemblée réunie dans la salle pour traduire combien Mathilde sort du lot, combien elle est extraordinaire. Elle est si remarquable, que tous s'empresse autour d'elle, ce que suggère le recours à la parataxe dans les lignes 109 à 112. La multiplication des propositions juxtaposées, traduit l'affairement des hommes autour d'elle. Attention ! Chaque idée doit être reliée à la précédente. Même chose pour vos différents paragraphes. On doit sentir la

style poétiques, en particulier les tropes (métaphores, métonymies), les associations inhabituelles de mots (oxymore), les effets sonores et rythmiques (allitération, assonance, harmonie imitative, anaphore, chiasme) ou les ruptures de construction (parataxe, anacoluthe).1 Ses caractères formels se réduisent à peu de choses, peut-être seulement à la brièveté. Certains poèmes en prose ont une forme semblable aux strophes, mais ceux-ci sont peu nombreux. Ensuite on va voir : 1. Un nouvel