Paris Ville Décor

Godillot quartier Godillot (il a fourni l’armée en chaussures lors de la guerre de Crimée) Godillot entrepreneur officiel des fêtes et fournisseur des armées ; riche industriel ; maire de Saint Ouen jusqu’à sa mort en 1896, il développe la ville de Hyères, sans accéder à la municipalité, il investi dans l’essor urbain avec sa richesse tirée de l’industrie. il achète des terres peu à peu à Hyères, qu’il va bâtir, œuvre d’urbaniste, création d’un réseau urbain, en 1864 achète l’hôtel des

lecteurs aient l’impression que l’histoire est réelle, il est important de l’ancrer dans un décor → d’où de nombreuses descriptions dans les œuvres réalistes. illusion d’un certain réalisme camper une ambiance (ex. : plus festive >< plus austère = sombre, noir) Intégrer un personnage dans un décor (un décor plus campagnard pour les paysans >< un décor plus citadin pour un bourgeois) insérer l’action dans un décor Pour les écrivains réalistes, la description est extrêmement importante, ils en ont une

Les Villes Neuves Ville qui est issue d’un décideur, qui n’apparait de rien. Depuis l’antiquité les hommes colonisent des territoires. Légitimer une possession sur un territoire précis. Au 17e siècle la France est gouvernée par une monarchie mais c’est Louis XIV qui décide d’une nouvelle politique d’urbanisation sur le territoire. Les VN ne sont pas le résultat de la pression démographique. Cependant la population augmente dans les grandes villes du royaume entre 1500 et 1700 du fait d’une

J’erre à travers mon beau Paris Guillaume Apollinaire ; Alcools Le thème de la ville a souvent inspiré les poètes du 19ème siècle comme Guillaume Apollinaire dans le poème « La chanson du Mal Aimé »du recueil Alcools dans lequel de poètes va exprimer sa douleur à travers un tableau parisien. L’extrait de ce poème est composé de 5 quintile en octosyllabe écrit sans ponctuation. L’utilisation du registre pathétique et lyrique marque le sentiment de tristesse et de douleur. I La complainte lyrique

plante le décor en donnant des indicateurs de temps et de lieu : « juin »,  «  Paris ». L’atmosphère est suggérée « un soleil » de plomb qui « brûle », une chaleur accablante « ardente ». Le mal-aimé est présent (emploi de la première personne du singulier « j’erre » et des pronoms personnels «  mes doigts ». La métaphore du  « soleil, ardente lyre » qui « brûle » les doigts du poète montre un cadre lumineux. Pourtant, l’âme du poète est triste et grise. Il erre à « travers mon beau Paris » l’âme

Dès le début, nous retrouvons dans L’Assomoir un univers bien défini par l’auteur, dans “une chambre” à Paris ou on devine va se passer toute l’action du roman. Stendhal plante lui aussi le décor de “la petite ville” de Verrières, en “Franche-Comté”. En bas du village nous retrouvons “le Doubs” qui permet l’industrie “bruyante et terrible en apparence” de M. Renal. L’abbé Prévost plante un décor non précis, dans “un bourg” du nom de “Pacy”. Cependant, on évoque aussi le champ lexical du voyage “départ”

on découvre Paris du XIXe siècle. I) Le paysage urbain réel 1) Le poète observateur depuis sa fenêtre Baudelaire parle de ses rêveries à la fenêtre pour créer ses poèmes. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : vers 2 : nuit Vers 3 : Matin : le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La

DE PUBLICITE : Analyse pour la marque Lou Paris : « Paris est à LOU » http://www.marieclaire.fr/,ensemble-lingerie-lou-printemps-ete-2011,20252,366468,12 1. LE FORMAT : Les couleurs utilisées dans cette publicité sont principalement des couleurs pales tel le blanc et le bleu ciel ce qui peu évoquer la pureté ou la sagesse, mais on peu discerner également du beige foncé, seule couleur imposante ici (si ce n’est les décors comme la ville, mais qui reste secondaire ici), en effet elle

Ville d’Avray par Jean Baptiste Corot Jean-Baptiste Camille Corot, né le 16 juillet 17961 à Paris et mort dans le 10e arrondissement de Paris le 22 février 1875, est un peintre français. Il passa longtemps pour être un peintre amateur qui avait tout loisir de voyager non seulement un peu partout en France, mais aussi en Italie, où il résida à trois reprises. Au cours de ses pérégrinations, il ne cessa de peindre des paysages idylliques, généralement étoffés de petits personnages, selon les règles

architecture dans les palais Abbassides. Introduction La querelle qui opposa les frères al-Amîn et al-Ma’mûn, dégénéra en guerre civile, et occasionna en 813 la ruine de la « Ville ronde » de Bagdad choisie comme capitale califale des Abbassides. Elle fut alors abandonnée par les califes au profit de la ville orientale du Tigre: Samarra. Dès lors, une période nouvelle dans l'art musulman s'ouvrit. On remarque l'influence prépondérante de l'art sassannide avec l'emprunt d'éléments tels que