Parlementarisme Orléaniste

est régulier s’il est au conforme à la loi. Théorie de l’état de droit introduit en France sous la 3ème république par Carré de malberg pour lutter contre « le parlementarisme absolu »= parlement est tout puissant (régime d’assemblée), et faiblesse du pouvoir exécutif. Il souligne plusieurs points : pour lutter contre ce parlementarisme : il propose d’instaurer un contrôle de la constitutionnalité des lois= système dans lequel les lois sont déférées à un juge et si elles violent la constitution

politique ne fais pas vraiment débat. Et surtout l'opposition à peur du peuple qui lui rappelle la révolution française 1789. Les monarchiste ont deux types de possibilité : les légitimistes : Henri le conte de Chambord les Orléanistes : le duc d'Orléans. Les Orléanistes veulent une monarchie parlementaire à l'Anglaise. Ils poussent le duc d'Orléans à devenir le lieutenant générale du royaume, et il affirme devant l'hôtel de ville drapé dans un drapeau tricolore que la Charte sera une vérité

volonté de monter sur le trône. Louis Philippe capte la Révolution à son profit. 31 juillet : Louis P est nommé Lieutenant Général du Royaume. Août : Louis P devient Louis Philippe 1er roi des Français. Début du 9ème régime : « Monarchie Orléaniste » ; « Monarchie de Juillet » La Charte de 1830 : toujours un système de Charte & pas de constitution ressemble beaucoup à la Charte de 1814. * deux chambres : chambre des députés (5 ans) & chambre des Pairs. * mêmes pouvoirs

Etats-Unis : 1787 Séparation rigide – régime présidentiel – président de la république ; préside le sénat et chef du gouvernement [art 2 section 1] – politique antitrust – assouplissements (droit de veto [art 1 section 7] / pocket veto – parlementarisme de couloir – impeachment [art 1 section 2] – commission d’enquête – rôle du sénat – message parlementaire – élaboration du budget) – état fédéral (théorie des poids et des balances + principe de superposition / d’autonomie / de participation)

Commentaire de texte : Le « quadrilatère », Action française, 25 août 1910 : L’Action française est le quotidien du mouvement (à partir de 1908, avant bi-mensuel) dont les principaux animateurs sont Léon Daudet et Jacques Bainville. Le journal tire rapidement à 30 000 exemplaires et la ligue compte environ 20 000 membres vers 1910. Charles Maurras (1868-1952), rallié à l’idée d’une restauration monarchique dès 1896, exerce une influence déterminante sur l’AF dès les premières années du XXe

un régime Parlementaire dualiste avec un équilibre des pouvoirs, se verra confronté a de véritables lacunes et dérivera ? I. Un déséquilibre institutionnel apparent A. un pouvoir exécutif fort en façade B. La crise du 8 mai 1877 : Le début du Parlementarisme Absolu (R.Carré de Malberg) II. Les conséquences de ce déséquilibre institutionnel A. La dérive du Régime Parlementaire : Le Régime d'Assemblée B. L'impossible réformeAutre plan : I) La volonté des constituants de mettre en place un régime parlementaire

sondages.→ Le peuple désire la paix et donnent la majorité aux Monarchistes tandis que la République a été proclamée. Les Monarchistes se divisent en deux groupes : - Légitimistes ( dans la logique de Charles X → Retour à la Monarchie absolue ).- Orléanistes ( dans la logique de Louis-Philippe → Monarchie Constitutionnelle ). → La situation étant trop compliquée, un chef de l'exécutif républicain est nommé : Adolphe Tiers. Il gouverne sous l'autorité de l'Assemblée Constituante. Adolph Tiers jouit

1849: le Parti de l'ordre, le Parti républicain-constitutionnel et le Parti montagnard». Les «républicains sont des adversaires irréductibles de la monarchie comme du socialisme». Aussi certains «républicains modérés» soutiennent-ils le ministère orléaniste d'Odilon Barrot. Dès avant juin du reste, des «apparences républicaines et la crainte du socialisme firent venir à la rue de Poitiers beaucoup d'hommes peu disposés à favoriser une restauration». À la fin du Second Empire, le 12 juin 1869, Louis

qui avaient contraint une partie de la noblesse et la famille royale à l’exile. Toutefois, les monarchistes ne parviendront pas à trouver de point d’accord pour savoir qui d’Henri d’Artois (candidat légitimiste) ou de Philippe d’Orléans (candidat Orléaniste) devait monter sur le trône. L’Assemblée finie par élire A. Thiers « Chef du pouvoir exécutif de la République ». Finalement, l’ensemble de la classe politique qui siège à Bordeaux, convient que la paix est une priorité et que la question de la

présidentiel était impensable, en établissant un nouveau cadre parlementaire les constituants de 1958 ont du établir un régime « orléaniste » pour accorder des pouvoirs forts au chef de l’Etat tout en conservant le parlementarisme de la IVème République. Autres similitudes entre les deux régimes, le texte de 1946 dans un souci de rationalisation du parlementarisme et donc d’un certain renforcement de l’exécutif malgré sa soumission au Parlement, élabore une procédure contraignante qui sera