Parlementarisme Orléaniste

société ne vont pas connaitre de changements majeurs, il y aura de simples aménagements. Il faut « s’habituer aux nouvelles institutions ». Le droit constitutionnel et une vie politique vont évoluer. C’est une période marquée par la découverte du parlementarisme. Il y a un bouleversement économique et social qu’entrainent la révolution industriel et cela transforme la société et accentue l’écart entre le monde des notables et le prolétariat ouvrier et urbain. Ce sont deux classes sociales qui vont s’affronter

économique (Révolution industrielle). Leur idéal de la France : une france paysanne, artisanale mais version modernisée. On retrouve : le paysan, l'artisan, l'homme providentiel. On appelle aussi ce courant le courant traditionnel. => Les orléanistes (cf page 3 – 2) Discours de Charles Maurras Haine de la République : Pour une monarchie parce que pour eux la monarchie est le gardien de l'ordre politique et social. Ils défendent des valeurs comme le travail (valeur importante) et la religion

succès mitigé étant donné que seuls les 2/3 des membres de l’UDF ont rejoint le mouvement populaire.  Ce parti cherche donc à être un rassemblement de tendances gaullistes, libérales et démocrates chrétiennes (ou des tendances bonapartistes et orléanistes, suivant la classification de René Rémond) de la droite française. 2) … qui repose sur une certaine discipline Nous avons pu voir que l’UMP avait été créée dans un but d’unification des droites républicaines françaises. Cette unification a

l'affaiore dreyfus(1894-1899) qui souleve la question du type de société voulue. ils se rangent contre l'antisémitisme ( ferry pas actif lors de dreyfus car meurt en 93 mais on l'avait vu actif lors du boulangisme->voies antisémites ) ennemi du parlementarisme et clemenceau eet jaures prennent position pour dreyfus et s'engagent : Clemenceau s'indigne contre le refus de donner les pièces du dossier à l'avocat de la défense, et va réclamer la révision du procès sur cette base, Le 13 janvier, Zola publie

Louis 18 la créer en 1814, c'est lui même qui choisit les pères, il anoblit les roturiés. De père en fils. Louis Philippe fais évolué cette chambre, il annule l'hérédité. C'est un dignitaire monarchique. Carrière d'homme de droite. Avant 48, il est orléaniste, donc royaliste. Il veut dénigré la révolution de 1789. Dans sa jeunesse il a considéré que la révolution est un recul par rapport à la phase des lumières. Cromwell, texte, historiquement l'avènement du christianisme a marqué un tournant, donc un

république conservatrice. La république ne fait plus peur, elle n’est ni l’anarchie ni le désordre. Nous avons une assemblée monarchiste composée à la fois des légitimistes partisans du comte de Chambord étant le petit fils de Charles X. Les royalistes orléanistes sont partisans du duc d’Orléans petit fils de Louis Philippe. Ils s’entendent sur la candidature du Comte de Chambord. La tentative de restauration échoue, le comte de Chambord se dérobe. La république devient définitive en 1875. La constitution

celle-ci l’accule à la démission le 24 mai 1873. Pour le remplacer, l’Assemblée élit le Maréchal de Mac-Mahon, monarchiste convaincu. La réconciliation entre les deux branches dynastiques est alors réalisée. Un compromis est adopté : le prétendant orléaniste, le comte de Paris, s’efface au profit du prétendant légitimiste, le comte de Chambord. Ce dernier règnera, puis à sa mort, faute de descendant, le comte de Paris lui succèdera. Mais les convictions très conservatrices du comte de Chambord et son

fonctionnaires de l’Etat. § 3 : La crise du 16 mai 1877 Les lois cstlles de 1875 établissent un régime parlementaire bien équilibré que ce soit entre les pouvoirs législatif & exécutif ou au sein même de ces 2 pouvoirs. Ce parlementarisme est néanmoins orléaniste compte tenu de la prépondérance du chef de l’Etat dans le système institutionnel & politique. Cependant, le gros problème réside dans la composition respective des 2 chambres parlementaires : le Sénat étant dominé par les conservateurs

162, les bonapartistes 19, un groupe de républicains rassemblés autour de Thiers 80, les monarchistes sont au nombre de 396. Mais ces monarchistes sont divisés : on trouve 182 légitimistes, et 214 orléanistes. Les légitimistes sont les partisans du comte de Chambord, petit-fils de Charles X ; les orléanistes sont partisans du comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe. Une telle assemblée ne pouvait tomber d'accord que sur un point : « ne rien faire de définitif ». Dans l'incapacité de gouverner,

toujours facile, du fait notamment de l’existence de systèmes mixtes, celui de la France en particulier. Ici, nous n’exposons que des archétypes, des modèles idéaux et purs qui ne doivent pas masquer la complexité de la réalité. Section 1 : Le parlementarisme ou la séparation souple des pouvoirs Ce régime est le fruit de l’histoire et de l’expérience anglaise Sous-section 1 : caractères essentiels du régime parlementaire BURDEAU le définit comme un « Régime dans lequel la direction