Parlementarisme Orléaniste

s’inscrivent plus généralement dans un nouveau principe désormais posé, celui de la nécessaire confiance des députés accordée au gouvernement ; c’est en effet un pilier essentiel du régime parlementaire. On parlera alors de régime parlementaire orléaniste. Ce terme désigne « un régime dans lequel le gouvernement doit bénéficier de la double confiance de chef de l’Etat d’un côté et de l’Assemblée de l’autre ». Par ce principe, on peut aisément affirmer que loin d’être subordonné à l’autorité royale

République est la période qui survient après la IVe République, et qui s'étend de 1958 à aujourd'hui. La IIIe République est la phase de transition entre la monarchie et la République. Ses débuts sont marqués par un fort désir, de la part des orléanistes et des légitimistes, de restaurer la monarchie. Cependant, la république parvient à rester en place, et ne prendra fin qu'avec l'Etat français durant la 2GM. Après cette période est instaurée la IVe République. Les constituants refusent de reprendre

est un frein considérable aux échanges commerciaux. (Crise éco, augmentation des faillites). A son tour, la bourgeoisie d’affaire va faire déflection à Nap 1er, notamment à cause de la sévérité du code de commerce Chapitre 2 : naissance du parlementarisme * Eléments de contexte historique : À partir de 1812 et surtout en 1813, les armées impériales ne sont plus victorieuses (épisode cata pour empire/ empereur : défaite de Russie). Cette faiblesse militaire aura alors des répercussions sur

assemblée qui a notamment en charge de rédiger la constitution mais qui est le centre du pouvoir, à cette époque une assemblée composée essentiellement de monarchistes. C'est monarchiste sont eux-mêmes divisés en deux camps, les légitimistes et les orléanistes, c'est-à-dire les deux branches de la famille des Bourbons mais qui correspond également à de conception de la future monarchie. Les républicains eux-mêmes sont divisés entre une gauche modérée est une gauche radicale, l'assemblée se consacre

avec des pouvoirs propres (19). Le sanctuaire aménagé dans l’esprit du parlementarisme orléaniste est impressionnant : * Nomination du 1er ministre (8) * Référendum législatif (11) * Dissolution de l’assemblée nationale (18) * Nomination des membres du CC (56) On peut considérer que c’est une 3ème république qui aurait réussi. La responsabilité est désormais strictement réglementer en raison du parlementarisme rationnalisé, le gouvernement ne peut être renversé qu’à l’issue d’un refus

ceux du début 1871 à majorité monarchique. A. Thiers est un conservateur. Le camp monarchique est divisé orléaniste/légitimiste. Orléaniste : descendant du frère du roi ; légitimiste : descendant de Louis 14 primogéniture mâle. Les légitimistes veulent une monarchie absolue et les orléanistes une monarchie constitutionnelle. Le comte de Paris doit monter sur le trône en 1871 c’est un orléaniste il veut le drapeau blanc. Par conséquent les monarchistes n’arrivent pas trouver un roi car il demande trop

une force morale et il garantit l'unité nationale. responsabilité politique: obligation de quitter la fonction détenue lorsqu'ils n'ont plus la confiance de l'autorité politique devant laquelle ils sont responsables. Les formes modernes du parlementarisme: rationalisé et majoritaire rationalisé: mettre fin au excès du monisme. C'est un ensemble de techniques qui visent à éviter une trop grande instabilité gouvernementale dans un régime parlementaire. Techniques: règlementation de la motion de

675 : • Légitimistes : 180 sièges ; ils soutiennent le comte de Chambord (petit-fils de Charles X) et rejettent tout héritage révolutionnaire avec pour symbole probant le drapeau blanc (noblesse de province), et le soutien de l’aristocratie. • Orléanistes : 220 sièges ; ils soutiennent le comte de Paris (petit-fils de Louis Philippe). Eux ont assimilé une bonne partie de l’héritage de 1789 en acceptant le drapeau tricolore. Ils sont soutenus par les industriels, banquiers, commerçants, c'est-à-dire

constitution non monarchique est la Terreur. Les députés rejettent l’idée d’une République. Ils appellent alors sur le trône un roi modéré Louis Philippe d’Orléans. La charte de 1830 : le parlementarisme orléaniste Le régime ici est une monarchie parlementaire adaptée par le roi : monarchie parlementaire orléaniste. C’est une séparation souple des pouvoirs ce qui veut dire que les différents pouvoirs conservent des moyens d’action réciproques. Le pouvoir exécutif est représenté par le roi, il bénéficie

divisés en deux branches. La première étant les Légitimistes qui sont les partisans du compte de Chambord (petit fils de Charles X, frère de Louis XVIII qui était le père de de Louis XVI). Ils regroupent 180 députés. Et l'autre branche étant les Orléanistes, les partisans du Duc d' Orléans (la branche cadette des Bourbons). Ils sont des partisans de la Monarchie libérale , ils souhaitent une alliance entre la Monarchie et les acquis de la Révolution , une Monarchie qui tient compte des acquis de la