Parlementarisme Rationnelle

idées : idée de C° écrite, idée de légalité (pouvoir fondé sur la loi), idée des droits de l’H et l’idée de séparation des pouvoirs. A partir de 1814-1830 c’est la période qui apporte le bicaméralisme, toutes les C° seront bicamérales et aussi le parlementarisme (responsabilité gouvernemental devant le parlement, et possibilité de dissolution du parlement par le gouvernement). La période de 1830 à 1870 où va naitre le triomphe du suffrage universel et aussi une certaine méfiance du pouvoir personnel

place des privatisation massive question européenne transcende les clivages, politique de gauche mise en place par la droite ex: pacs commencé par la gauche et fini par la droite, aujourd'hui le choix entre la droite est la gauche est plus rationnel et moins partisans la bipolarisation à son utilité: assuré une stabilisation politique, elle oblige aujourd'hui à dépasser les clivages et à faire beaucoup de compromis et consensu à la fois dans le discours et les valeurs de manière gle à droite

architecture, hors les rares visites à l’Opéra, fruit de mes jeûnes, je n’avais d’autre joie que des livres toujours plus nombreux. » Adolf Hitler assiste aux séances du Parlement autrichien, il écrit plus tard son mépris pour la démocratie et le parlementarisme. Il étudie les thèses pangermanistes et observe l’influence de la politique sur les masses. Dans ce bastion de la social-démocratie autrichienne, il forge également son dégoût pour les doctrines marxistes. C'est aussi pendant les années de

légitimation : On accepte un pouvoir que s’il est légitime. Selon Max Weber : ● légitimité traditionnelle (coutume, sacré) ● légitimité charismatique (aura, rayonnement) ● légitimité légale-rationnelle (loi) Ce qui est légal est différent de ce qui est légitime. CHAPITRE II : L’État ? (Feuilleter le Manuel de CARRÉ de MALBERG) L’État est une forme de société politique qui apparaît vers le 16ème siècle appelé à l’époque «  ESTAT ». Livre :

partie responsables de la triste situation de l'homme. Elles incarnent les demi-mesures, le réformisme et la continuité historique par rapport à un événement apocalyptique et rédempteur amenant une révolution intégrale. Le parlementarisme, le suffrage universel, la séparation des pouvoirs ne sont pas des réalités permettant à l'homme de voguer vers sa libération entière. Chez la plupart des messies politiques, la révolution va de pair avec une avant-garde

mais seul l’État par sa solidité et sa puissance permet réellement de dépasser les intérêt individuel. L’État apporte le droit expression de la raison qui seul peut conférer à une norme un caractère coercitif. Hegels le présente comme un tout rationnel et légitime qui contient son principe et sa raison d'être en lui même sans qu'il soit utile de se référer à un contrat passé entre les individus. Et Hegels décrivant l’État prussien tel qu'il avait sous les yeux tire une théorie de l’État et de

suivre pour assurer certaines finalités. Les doctrines vont établir des liens entre le passé et l’avenir. Ce sont finalement des règles d’actions qui proposent des objectifs futurs. Donc une doctrine peut apparaître comme étant un élément de base rationnel d’un fait politique. Ex : Une révolution est une révolution que s’il elle repose sur une doctrine (sinon émeute). Problème : si pas d’adaptation, devient obsolète. A mettre avec après) La science politique va utiliser le schéma des sciences sociales :

autorité parce qu'elle a toujours été là. Depuis que le CC existe il ny a jamais été de crise majeur. La LC on a confiance dans une autorité car elle a une personnalité hors du commun, Napoléon avait une légitimité charismatique. La L d'égal rationnelle, elle repose sur la confiance qu'on a dans une autorité parce que sa nomination c'est faite dans le cadre d'une procédure qui est légale et qui est incontesté. La L par impartialité, pour désigner des autorités qui sont acceptées parce que elles

un petit noble (noblesse de robe) qui a hérité de sa fonction de magistrat), retrouveraient un plus grand rôle politique. Pour contribuer à sa théorie, Montesquieu prit pour exemple la monarchie britannique, dans laquelle se développait le parlementarisme depuis quelques années (Livre XI). Cependant, il n'a fait qu'étudier sommairement ce système monarchique; de nombreuses erreurs de fait sont présentes dans son œuvre. Le but de cette distinction est d'empêcher qu'une seule personne ou un groupe

| | |Pour contribuer à sa théorie, Montesquieu prit pour exemple la monarchie britannique, dans laquelle se | | |développait le parlementarisme depuis quelques années (Livre XI). Cependant, il n'a fait qu'étudier | | |sommairement ce système monarchique [réf. nécessaire] ; de nombreuses erreurs de fait sont présentes dans| |