Parménide

à la famille noble des Alcméonides. Au cours de sa jeunesse, il acquiert de précieuses connaissances auprès des maîtres Anaxagore qui donne à Périclès ses pensées politique et Zénon d'Elée, qui lui enseigne la physique suivant les principes de Parménide. Impliqué très jeune dans la politique de la cité, il est élu chef du parti populaire et il vint Cimon, chef du parti aristocratique Il vécut les deux guerres médiques et vit les deux victoires grecques de Marathon et Salamine, mais aussi le

période comprendrait: Apologie Criton Euthyphron Lachès Charmide Ion Hippias Mineur Lysis Euthydème La période moyenne: Ménon Hippias Majeur Cratyle Phédon Banquet République Gorgias Dans la période tardive se retrouveraient: Parménide Phèdre Théétète Sophiste Politique Timée Philèbe Lois Voir également: Ménon Phèdre, ou de la beauté des âmes La République De nombreux extraits sur Encephi. The Perseus Project, tous les textes en grec et en anglais. Documentation

doxographes comme Diogène Laërce, etc. Sur des découvertes archéologiques. 2. 3. Les philosophes présocratiques On ne possède que des “fragments” éclatés de ces 300 à 400 penseurs, dont 20% sont de Démocrite d’Abdère, 6% d’Héraclite et 3% de Parménide. Caractéristiques de la «science*» grecque 1. 2. 3. Les philosophes présocratiques ÉLIMINENT LES DIEUX de leurs explications des phénomènes naturels (physiques et biologiques). Ils recherchent les CAUSES NATURELLES des phénomènes naturels. Ils

l’ontologie de Parménide. COMMENT ? Grace à deux affirmations de P : * « L’être » est et le  « non être » n’est pas * « Penser » est  « être » Son but n’est pas de faire une critique pour tout détruire. Il veut faire une critique pour prouver l’impossibilité de l’ontologie (=discours sur l’être) si on décide de tirer toutes les conséquences de ces affirmations. Le traité s’analyse 3 affirmations successives : a. « Rien n’est » = Rien n’existe. >< Parménide dit que  « l’être »

Zénon est un philosophe grec de l’Antiquité (environ 400 av. J.C.). Habitant d’Élée, il avait comme maître Parménide qui défendait le fait que la réalité est immuable. Zénon ne traite pas directement du sujet de l’infini. Il se sert plutôt de la notion d’infini dans le cadre d’élaboration de preuves par l’absurde visant à prouver l’impossibilité du mouvement. La méthode de Zénon consistait à utiliser des prémisses admises par tous et d’en déduire des conclusions absurdes ou contraires. Il voulait

1. Le mobile et l’immobile, le tout et la partie a)|La ressemblance dans la représentation des hommes chez les Grecs/Romains et celle des animaux chez les Egyptiens est que les deux suivent l’idée de Parménide que ‘’rien ne change’’. C’est pourquoi ils représentent leurs Dieux par des statues ou des sculptures qui ne bougent jamais et reste stable car ils ne veulent pas que leurs traditions change ou que les gens oublient c’était qui les vrais Dieux. Cela dit, la différence entre ces deux civilisations

l’idée de l’enfer. Les maitres de faits de Marcel Détienne ont une fonction religieuse. On commence a comprendre le lien entre le mythe et la science lorsqu’on passe de cosmogonie a cosmologie. La vérité dans un monde mythique est révélée  Parménide : la déesse révèle la vérité a celui qui ne peut la trouver lui même. LA VERITE SCIENTIFIQUE : Fable  allégorie  fiction Mythe  sensible

L’évolution de la Philosophie I La philosophie ancienne A) Philosophie anté-socratique (600 - 420 avt J-C) Réflexion cosmologique ( basée sur les éléments naturels Thalès, Héraclite, Parménide, Pythagore, Protogoras B) Philosophie Socratique (420 – 322 avant J-C) Réflexion métaphysique (sens de l’existence, présence d’un Dieu…) Socrate, Platon, Aristote C) Philosophie post-aristotélicienne (322 avant J-C – 529 après J-C) Réflexion sur la morale ( Epicurisme (« Carpe

ordinateur de Fernand Brunner, tandis que d’autres versions existent sur papier, qu’il s’agisse de tirages à partir de fichiers d’ordinateur plus anciens ou d’esquisses et de brouillons manuscrits au sens propre. 2 A part l’analyse du fragment de Parménide, présente uniquement dans des notes encore très éloignées de la rédaction définitive, tous les chapitres qui constituent le corps du livre étaient arrivés à un état d’achèvement presque entier. Deux ou trois chapitres étaient prévus encore, mais

naît de la lutte (lutte et harmonie des contraires, changement perpétuel). g) L’école d’Élée Parménide : il pose ce principe évident : ce qui est, est et ce qui n’est pas, n’est pas. Parménide enseigne le monisme de l’être immobile. Pour lui, l’Être est un et la pluralité une illusion. Il pose la célèbre différence entre l’Être et l’apparaître. La commotion que crée la pensée de Parménide dans l’histoire de la philosophie s’appelle «traumatisme éléatique» h) Empédocle : pour lui l’univers