Parménide

fondateurs. Platon (IVe siècle avant J.C) : 

  Philosophe grec, élève de Socrate, il écrit de nombreux ouvrages sous forme de dialogues d’une grande richesse de style et de contenus, où il reprend parfois les travaux de ses prédécesseurs (dont Parménide, Socrate ou Pythagore). Chacun de ses écrits s’interroge sur un sujet donné, tel que le courage ou encore l’unité de l’Univers. Il est le concepteur de la Théorie des Formes : pour lui, le réel est un « ensemble de copies qui participent à leur modèle

oncle à la tête de l'Académie. Devenue veuve peu après la naissance de Platon, Périctionê se remaria avec un certain Pyrilampe qui était son oncle maternel (cf. Charmide 158a), et dont elle eut au moins un fils, cet Antiphon qui est le narrateur du Parménide (voir le début de ce dialogue). Notons enfin que, d'après une tradition, le vrai nom de Platon aurait été celui de son grand-père paternel, Aristoclès. Mais, quant au sens du prétendu sobriquet, l'ingéniosité des dépositaires de cette tradition se

défendre ici. Et pour le faire, quoi de mieux que de repartir du père, Platon. Comme celui-ci a loyalement su rendre la parole à son adversaire Protagoras dans le dialogue qui porte son nom, il s’est lui-même fait difficulté dans les premières pages du Parménide. Mais une représentation encore plus spectaculaire de cette présence de l’Autre dans le corpus platonicum, que trop ont voulu réduire à l’idée la plus simpliste qu’on peut se faire de l’«idéalisme», est à trouver dans la théorie du langage que Platon

à quelque chose tant que la personne qui le dit a une bonne façon de s’exprimer et parait bien. Par exemple, la façon dont nous percevons la société est ce qui nous parait le plus vraisemblable, on perçoit plusieurs individus, mais la déesse de Parménide, elle, verrait cela comme une seule chose, une unité distincte. Il est important de définir quelques concepts pour bien comprendre, comme le concept de vérité. La vérité c’est quand une affirmation dit ce qu’elle veut dire comme elle est vraiment

vivre et de voir le monde. Kundera donne également une grande importance aux choix faits par ses personnages. Ils sont à nouveau soit des choix de légèreté soit de pesanteur. Cette dualité trouve son origine dans les commentaires philosophiques de Parménide que Kundera oppose à l’éternel retour de Nietzsche dans les deux premiers chapitres de L’insoutenable légèreté de l’être. Il montre des exemples de choix légers et lourds et disserte sur les pours et les contres de ces choix sans jamais donner

premier qui trace une carte globale et cohérente des terres connues. Mais, au temps d'Homère, les Grecs pensent que la terre est plate, rectangulaire ou circulaire. Anaximandre prête à la terre la forme d'un tambour, et lui donne même une épaisseur. Parménide d'Élée (école éléatique), lui, pense que la terre est sphérique, théorie qui ne persuade pas les philosophes de l'école ionienne. Hérodote, (484 ou 482 av. J.-C. - 425 av. J.-C.), estime que la terre est plate : « Pour moi, dit-il, je ne puis m'empêcher

idées, cf. comment l’esclave de Ménon peut le rejoindre en se mettant dans la bonne position -sens littéral de épistémè -), notre mondanité quotidienne étant posé comme trompeur (cf. le mythe de la caverne) : se méfier de l’opinion a déjà énoncé Parménide. J’ajouterais que toutes les orthodoxies deviennent possibles. Si la mise en place de l’Etat amène un nouveau rapport au monde et une nouvelle spiritualité qui répond des coordonnées que l’État lui-même impose, alors, on peut dire avec Gauchet, que

pas ne pas être. Cette idée que les hommes sont enfermés dans un réseau d’événements qui doivent nécessairement arriver était très présente dans la pensée grecque. Elle gouvernait notamment la tragédie (fatalité tragique) et des philosophes comme Parménide, Démocrite ou les stoïciens appuyaient leur système physique sur une nécessité cosmique faisant loi et que l’homme ne peut pas ne pas suivre. C’est eux que désigne Epicure quand il parle du « destin des physiciens ». Mieux vaut encore d’après Epicure

c'est une métaphore.. Mais j'ai encore fort bien du mal à la déchiffrer." (06 décembre 2010) L'avis de Ilir SOPA (Namur) Sommes nous libre ou réduit au déterminisme: telle est la question. "Juste après la question exprimée dans le poème de Parménide (pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien?), cette célèbre formule shakespearienne, d'une profondeur anthropologique absolue, est ma préférée." (05 juillet 2010) L'avis de Ilir SOPA (Namur) Sommes nous libre ou réduit au déterminisme:

acquérir des connaissances sur le monde. Une citation célèbre Thalès est : "Le monde est rempli de divinités. 2. Les principes fondamentaux des présocratiques : Les philosophes présocratiques comme Parménide et Héraclite ont cherché à découvrir les principes fondamentaux de l'univers. Parménide a défendu l'idée de l'Un et de l'immuabilité, tandis qu'Héraclite a souligné le changement perpétuel. Une citation notable d'Héraclite est : "Tout s'écoule, rien ne demeure." 3.