Parménide

poétique, rhétorique Idées remarquables Syllogisme, Puissance/Acte, Matière/Forme, Substance/Accident, Catégorie, Phronesis Œuvres principales Catégories, Métaphysique, Physique, Politiques, Poétique Influencé par Démocrite, Homère, Héraclite, Parménide, Anaxagore, Empédocle, Socrate, Platon A influencé La majeure partie de la philosophie occidentale, islamique et juive Adjectifs dérivés aristotélicien, aristotélicienne modifier Aristote (en grec ancien, Ἀριστοτέλης / Aristotélēs), surnommé

sœur, Pôtonê, mère de Speusippe qui succéda à Platon à la tête de l'Académie6. La mère de Platon, devenue veuve quelque temps après sa naissance, se remaria avec son oncle maternel, Pyrilampe. Elle en eut un fils, Antiphon, qui est le narrateur du Parménide. Selon les usages des grandes familles de son pays, Platon aurait dû recevoir le nom de son grand-père, Aristoclès, et il est possible que ce soit son véritable nom, « Platon » (Πλάτων) n'étant qu'un surnom. La raison en est inconnue et les explications

double si elle ne ressemble pas en tout point à l’objet de référence. Peut-on, suivant Platon dire que les copies d’idées sont des doubles de l’idée, parce qu’elles ne sont pas exactes mais tendent à lui ressembler ? Notamment dans l’opposition à Parménide pour qui reproduire est une illusion car il y a changement (donc pour qui le double n’existe pas), Platon conçoit le démiurge opérant par la duplication qui consiste à faire des doubles, littéralement. Mais en pensant la duplication ainsi, les

abandonner pour autant ces théorie ? Bien sur que non. Le second cas est plus intéressant selon Feyerabend. En effet, les échecs quantitatifs concernent la théorie qui s’oppose aux évènements connus de tous, l’auteur donne l’exemple de la « théorie de Parménide sur l’éternité et l’homogénéité de l’un » qui est totalement contradictoire avec notre connaissance. Mais malgré tout, ces théorie n’ont pas été éliminé, les difficulté ont été résolus grâce aux hypothèses ou approximations ad hoc ou bien tous

les romains ruraux. I L’héritage des Grecs 1.1 L’héritage philosophique C’est dans l’empire Grec qu’apparait la notion de raison. Les premiers penseurs apparaissent entre le VIème et le IVème siècle avant JC (Démocrite, Héraclite, Parménide). Puis Aristote, Socrate et Platon révolutionne le système philosophique en imposant une justification et une démonstration a toutes pensées. C’est ce qui les différencies principalement des philosophe évoqués précédemment. Aristote invente la

l'amour les saisissent l'un l'autre, et de façon à ne plus former qu’un seul être avec lui, « bonheur qui n’arrive aujourd’hui qu’à très peu de gens ». Agathon le présente comme le plus beau et le plus jeune des Dieux, n'en déplaise à Hésiode et Parménide. C'est un Dieu délicat qui « marche et se repose sur les choses les plus tendres » et « s'éloigne des cœurs durs ». Il est formé d'une essence subtile – c'est la grâce qui le distingue –, ne peut recevoir aucune offense, est de la plus grande tempérance

trahi dans les dialogues de son disciple : on peut lui appliquer, nous semble-t-il, ce qu'Albert Rivaud déclare de Parménide tel que le philosophe athénien nous le présente : « Platon nous apprend non seulement ce que Parménide a dit mais ce qu'il aurait dû dire s'il avait été jusqu'au bout \ » De même que Platon développe en ses consé quences les plus extrêmes la pensée de Parménide, de même il pousse jusqu'au terme de ses conclusions les plus éloignées la philosophie socratique. La trahison

donc rien de sublime puisqu’au bout du compte elles sont insignifiantes et vides. Il faudrait donc sortir de l’ « assujettissement au même » LE MÊME ET L’AUTRE <><> LE DÉFI DE PARMÉNIDE La thèse de Platon dans Le Sophiste est qu’il nous faut « quitter Parménide ». Certains sophistes tels Antisthène se servent de Parménide pour réfuter tous les discours mais ce sont des fanatiques, ils n’ont pas une pensée qui soit ouverte à la contradiction « Et bien entendu, ils prennent plaisir à ne point permettre

connexes 5.2 Lien externe Découverte dans l'Histoire[modifier | modifier le code] Articles détaillés : Monde (univers) et Révolution copernicienne. Les sciences grecques tentèrent de comprendre le monde et de l'expliquer : les philosophes Parménide, Platon, et Aristote avaient intégré l'idée d'une Terre sphérique, mais ils la voyaient au centre de l'Univers physique, alors que l'école de Milet se représentait la Terre plate ; Ératosthène tenta de réaliser des calculs précis, notamment la mesure

l'amour les saisissent l'un l'autre, et de façon à ne plus former qu’un seul être avec lui, « bonheur qui n’arrive aujourd’hui qu’à très peu de gens ». Agathon le présente comme le plus beau et le plus jeune des Dieux, n'en déplaise à Hésiode et Parménide. C'est un Dieu délicat qui « marche et se repose sur les choses les plus tendres » et « s'éloigne des cœurs durs ». Il est formé d'une essence subtile – c'est la grâce qui le distingue –, ne peut recevoir aucune offense, est de la plus grande tempérance