Parodie De Phedre

Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple

les contraires : leçon poétique ; la cité doit accepter ce qui la dépasse (loi divine, destin, fatalité). PHEDRE Phèdre est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine créée le 1er janvier 1677 à Paris sous le titre Phèdre et Hippolyte1. Racine n'adopta le titre de Phèdre qu'à partir de la seconde édition de ses Œuvres en 16872. La pièce comporte 1 654 alexandrins. Contexte Phèdre est la dernière tragédie profane de Racine. Elle suit Iphigénie, écrite en été 1674. Elle est suivie d'un long

Phèdre Séance 1Platon et l’événement Socrate 1/ Vie de Platon 2/ Mort de Socrate 3/ Socrate ou la vie de l’esprit par la parole Séance 2 : Platon ou la parole philosophique Séance3 le Phèdre : un dialogue déroutant 1/ Plan : une structure théâtrale Séance 3 Le prologue 1/ Les personnages présents et évoqués : Phèdre, Socrate, Lysias et sa famille, Isocrate 2/ Le cadre spatio-temporel : lieux, dates, actions. Une géographie théâtrale (Derrida 77). Séance 4 La question des mythes Intro : • mythe

L’univers des fables n’est pas tendre. Manger, éviter d’être mangé, sauver sa vie par la force ou la ruse : telle semble être l’unique préoccupation des animaux des fables. La Fontaine n’est pas qu’un aimable moralisateur à la manière d’Esope ou de Phèdre : sa poésie, derrière des apparences légères, est engagée, et cet engagement est courageux sous le règne de Louis XIV. Epicurien, libertin, La Fontaine est indulgent aux faiblesses humaines. La morale de ses fables rel ève simplement de la sagesse

familier afin d’aboutir à un effet comique. (ex. traditionnels : la Batrachomyomachie attribuée à Homère, Le Lutrin de Boileau). • le registre satirique fait de dénonciation souvent associée à l'humour qui est une prise de distance amusée ou à la parodie qui reprend les procédés d'écriture pour se moquer, ou encore à l’ironie qui consiste à vouloir faire comprendre le contraire de ce que l’on dit et repose donc sur l’implicite en jouant de figures de rhétorique comme l’antithèse, l’oxymore et l’antiphrase

(présentation du texte: n‘oubliez pas de présenter auparavant l’auteur et les fables en général) Fable très célèbre, qui ouvre le second recueil des Fables, publié en 1778, « Les Animaux malades de la Peste » est pourtant inconnue des livres d’Esope et de Phèdre: La Fontaine s’est probablement inspiré d’Haudent, qui a publié ses Apologues en 1547. L’Épître « A Madame de Montespan », au seuil du VIIe livre, annonçait un art plus luxueux que celui du premier recueil mais aussi un coloris plus voluptueux et

RECAPITULATIF SUR LES PRINCIPAUX REGISTRES 1. FANTASTIQUE( ex : texte 5) Textes qui mettent en scène des faits présentés comme surnaturels ou inexplicables. Aspect surnaturel exprimé par des termes renvoyant à la difficulté de nommer qq. ch. qui dépasse la connaissance humaine : l’adj modifié par un adv. « peu naturel », l’adj. « inconnu », « étrange ». Manifestation de ces phénomènes : des objets s’animent : verbes de mouvement

l'antagoniste de Thésée et les sources littéraires sont biaisées puisqu'elles sont toutes en faveur des perspectives d'Athènes. Les Étrusques ont une version différente du mythe puisqu'ils font d'Ariane l'épouse de Dionysos. Thésée, lui se contente d'épouser Phèdre, sa sœur, et de déposer Ariane sur l'île de Dia, soit de son propre chef, soit avec son assentiment17... Le point de vue étrusque offre une alternative au mythe du Minotaure, jamais vue dans l'art grec : sur une tasse de vin à figures datée du début

l’accumulation : si une parole ou un geste ne fait pas rire leur répétition et l’attente qui s’en retrouve créée entraîne immanquablement le rire. Satire, parodie et caricature : la satire vise à ridiculiser en grossissant les traits, physiques ou moraux, parfois jusqu'à la caricature. A l’écrit, cela donne des portraits-charges, comme chez La Bruyère. La parodie, qui imite en ridiculisant est également une source de comique, à condition que l’on reconnaisse clairement la personne ou la situation représentées

Flaubert, Madame Bovary, et chez Dostoïevski, Anna Karénine. L’atmosphère particulière. L’œuvre ne va pas être traitée de la même façon dans les pays qui l’ont emprunté, à cause des situations socioculturelles spécifiques dans les deux pays ; l’un va la parodier, l’autre va la ……….. . Il a remarqué que ces thèmes existaient déjà (nature, femme, amour). Ce sont des invariants. « Il existe des formes, des genres, des invariants, bref, que l’homme existe et la littérature. » dans Comparaison n’est pas raison