Parole Et Violence

Temps récit · Enjeu centrale de la parole (alternance narration/parole rapportée : indirect/direct)· Focalisation interne (première personne) décalage violence/manière masquer de raconter (ton courtois)• surprendre : DG se décrit en héros, victime d’injustice · Défenseur valeur universelle (hyperbole)· Victime (tonalité polémique) · Héros : déterminer à réagir face a cette injustice (champ lex détermination) Essaye masquer violence de ses actions (euphémisme)• violence incontestable · Démasqué dans

avec une rare violence. Nous n’oublierons pas l’ultime parole de ce fou «  je suis encore en vie ! » qu’il prononce dans un râle. La violence sur scène est dévoilée par des actes sanglants comme dans Caligula, mais aussi dans l’œuvre de Georg Büchner appelée Woezeck. Dans ce drame, le personnage Woezeck tue sa compagne. Or cet acte est soudain, pour le spectateur, inattendu : en quelques répliques le comportement de l’époux change, il devient fou et s’emporte. Les paroles accompagnent les

Violence monothéiste synthèse L’histoire du christianisme et de l’islam atteste de violences récurrentes contre « les hérétiques et les idolâtres ». Ces violences résultent d’une particularité théologique héritée du judaïsme : le thème dieu jaloux, qui condamne l’adoration d’autres dieux, qui ordonne de les détruire, et qui prescrit de convertir ou de combattre les croyants des autres religions, considérés non comme des témoins d’une altérité religieuse mais comme des ennemis

- Interception : La parole est-elle le fondement des croyances ?« Ce que la bouche s’accoutume à dire, le cœur s’accoutume à le croire. » Par ces quelques lignes écrites par Baudelaire dans son L’école Païenne , on comprend que la parole permet de transmettre ses propres convictions et croyances, car la parole permet de convaincre  ; si nous acceptons les dits, nous y croyons. Ici, la parole n’est pas un enseignement

Procédés stylistiques Les aspects dominants de l'art de Jacques Prévert que souligne d'ailleurs le titre Paroles sont la spontanéité et l'oralité nourries des influences surréalistes faites d'expressivité nouvelle et de provocation. -Prévert a ainsi fréquemment recours à la recherche d'expressions corrosives et au rire en jouant sur les mots comme ici : "Notre père qui êtes aux cieux / Restez-y... " (Pater noster) – " Larima /Larima quoi / La rime à rien" (L'amiral) – Un vieillard en or avec

l´action. Sa mise en scène face à la transformation graduelle de Jean en rhinocéros représente la défaite de la raison contre la violence. Un exemple précis de cette défaite de la rationalité est la misanthropie exprimée par Jean, qui d´élève parallèlement a l´augmentation de sa métamorphose. La misanthropie est le fait de détester le genre humain et cela se reflète dans les paroles de Jean quand il critique la peau humaine de Bérenger et la compare dans un grade d´infériorité contre sa nouvelle peau plus

l’oreille la rime qui avait servi à la présentation de l’agneau- celle ci encadre significativement le V 27 qui relate la mort de l’agneau. Ce vers est d’ailleurs très expressif : bref- sec (les deux actions se succèdent avec rapidité et traduisent la violence du comportement du loup- présent de narration contraste avec la scène)- on passe donc d’une exposition dominée par la pureté, la clarté à un dénouement violent qui nous conduit « au fond des forêts » (v 27)- plongée dans l’obscurité se fait à travers

mais le procédé est saisissant. Nous voici à l'écoute d'une pensée brute et non d'un discours politique élaboré, dès lors au fondement même d'actes réels comme si Hugo voulait saisir à la racine les caractères psychologiques de son ennemi. Dans la violence des mots doit éclater la noirceur des pensées.Après la cruauté, éclatent la bassesse et le mépris. Sans respect pour la vie humaine, Louis-Napoléon méprise en outre le droit et la liberté d'opinion. L'inversion du complément de but au vers 4 exprime

qui se prête à l'épopée - une mise en valeur du style bien définie : deux personnages - champ lexical de la rapidité et de la violence - de nombreuses comparaisons - deux personnages parlent : Tiphaine et l'Aigle - violence dû : aux paroles, au thème, à la structure, à l'attitude des personnages, aux comparaisons amplificatrices - enchaînement des actes aux paroles introduit par " Cela dit " Mais le fantastique intervient aussi II - Un récit fantastique - l'apparition de l'Aigle n'est

Devrait-on préférer le silence à la parole ? Analyse des termes du sujet La difficulté de ce sujet tient au fait que tous les termes qui interviennent dans sa formulation peuvent être pris en plusieurs sens. Quand on se demande si l'on devrait ou non faire quelque chose, on se pose deux questions : Est-il de notre devoir, est-ce une obligation ? Une obligation est une exigence morale mais non une nécessité. On peut s'y soustraire. Quelles raisons aurions-nous de ...? Une raison