Partage De La Valeur Ajoutée Source De Conflits

Pourquoi la maîtrise des processus est-elle devenue un enjeu stratégique ? La qualité est une problèmatique ancienne. Au cours des quinze dernières années, il y a eu 3 périodes : - L’ élaboration (à la hâte) de Chartes de qualité. Elles avaient valeur de démarches et de « sésame ». Il y a eu des cercles de qualité, des projets de services… qui se sont rapidement essouffés. Le zéro stock, zéro défaut, zéro papier… pour peu de résultats au final. - La période du produit. (c’est la conformité

l’école de la régulation : Aglietta, Boyer, Lipietz,… - Le couple production et consommation de masse est au cœur de ce mode de régulation. - Importante croissance du PIB pendant toute la période des « 30 glorieuses ». - Partage équitable de la Valeur Ajoutée entre capitalistes et salariés. - La hausse des salaires réels entretient la demande, soutient donc la production de masse. - Le cercle vertueux fordiste : la hausse du salaire réel des salariés assure le profit des capitalistes

aspects de reporting et de consolidation de données, tant du domaine propriétaire que de  l’open  source.  Les  évolutions  possibles,  à  court‐moyen  terme,  porteraient  sur  les  outils  d’analyse proactive et de simulation, ainsi que sur l’interactivité et la convivialité des accès  aux  données,  et  sur  la  combinaison  de  données  structurées  et  non  structurées  issues  des  sources  de  données  internes  et  externes.  Mais  le  manque  de  visibilité  des  clients  sur  le  marché 

1. Les revenus primaires (ou directs) : On l’a vu dans le chapitre 5, la valeur ajoutée (VA) produite par une entreprise et restante après partage auprès de ses clients sous la forme d’une baisse du prix de vente, est répartie entre : - les salariés (salaire net versé et non brut), - l’État sous la forme d’impôts et de taxes mais aussi de cotisations sociales (prélevées sur tous les revenus), - les prêteurs : institutions financières qui perçoivent des intérêts (apporteur de capitaux à long

postule l’existence de deux sources de performance de l’entreprise : une source exogène et une source endogène . Pour le premier courant, la capacité d’une entreprise à obtenir un taux de profit supérieur à son cout de capital dépend de deux facteurs : l’attrait de l’industrie dans laquelle elle œuvre et l’établissement d’un avantage de l’industrie dans laquelle elle œuvre et l’établissement d’un avantage compétitif sur ces concurrents. Pour cette approche, la source d’un avantage concurrentiel

Thomas Robert Malthus (1766 † 1834) Jean-Baptiste Say (1767 † 1832) David Ricardo (1772 † 1823) A) L’adhésion à la théorie de la valeur travail Smith et Ricardo distinguent : La valeur d’usage d’un bien : satisfaction que le bien procure La valeur d’échange d’un bien, qui est supérieure : la quantité d’autres biens que l’on peut échanger Selon eux la valeur d’un bien provient de la quantité de travail nécessaire à sa fabrication. La richesse dépend donc de la quantité de travail disponible

différenciations sociales. Les sources de différenciation entre individus sont multiples (sexe, profession, âge ...). L'enjeu de ces différenciations est tout d'abord une construction d'une identité collective: chaque groupe se reconnaît, s'identifie en ce différenciant des autres groupes. Toutefois ces différenciations peuvent aussi s'interpréter comme une lutte pour un classement de son groupe dans une position dominante. Comme le révèle la domination masculine ou encore les conflits de générations ou entre

gain de temps sur les temps inter-opérations Implique un effort de standardisation des sous éléments Méthode valable ssi grde quantité de produits. Les ouvriers gagnent plus (redistribution des gains de productivité innovation dans le partage de la valeur ajoutée), ils consomment ce qu’ils produisent. Ils sont attachés à leur entreprise Le système Toyota et l’enjeu de la Détaylorisation Le taylorisme est caduc face à des marchés matures (sur-mesure, petite série). Objectif : limiter les zones

les objectifs, sa perception des obstacles éventuels stimulent ou ralentissent sa motivation. Cette récompense doit être jugée équitable par l’individu (par rapport aux efforts fournis) et reste très liée aux attentes, aux besoins des individus. (La valeur attribuée à cette récompense est variable selon les besoins de l’individu) La motivation se construit dans le temps, se renouvelle sans cesse (en fonction de l’évolution de ses propres besoins, de son environnement – situation familiale, professionnelle…)

régulation c'est-à-dire les modalités de travail que se donne le groupe pour remplir ses objectifs (planning, répartition tache etc.…) -Fonction de facilitation, elle fait suite à des comportements sociaux affectifs entre les membres du groupe (ex : conflit) II- La place des individus au sein d’un groupe. A- L’identité sociale Il s’agit de la reconnaissance par les autres de la place occupée au sein du groupe (age, profession, statut social.) B- Le statut social Il s’agit de la position