Parti Liberté et Justice

de droit, quelles sont ses caractéristiques ? » Un Etat de droit c’est la principale caractéristique des régimes démocratiques. Dans une première partie nous allons donc aborder la hiérarchie des normes, les conditions d’existence de l’Etat de droit avec la constitution (loi suprême) et les autres normes soumises à la constitution. Dans une seconde partie, nous verrons l’égalité des citoyens au cœur de l’Etat de droit avec les droits fondamentaux et les citoyens qui sont malgré tout personnes juridiques

Dossier : La justice L'organisation de la Justice repose sur le respect de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (1789) et la Convention européenne des droits de l'homme (1950). La Justice est indépendante car séparée des pouvoirs (exécutif et législatif), gratuite, égale et ouverte à tous sans aucune discrimination.  L’histoire de la justice a connu une lente évolution, elle est le reflet de celle parcourue par la société française. Comment fonctionnait la justice sous l’IIIème

Introduction : Le droit comparé n’est pas une discipline autonome, ni par son objet, ni par son objet car son contenu est emprunté à d’autres matières et modèles. Définition droit du droit comparé : application de la méthode comparative à tt ou partie de systèmes juridiques dans le but essentiel d’en améliorer la connaissance. 1. Les questions fondamentales du droit comparé : • L’evolution historique du dt comparé. La comparaison des droits est très ancienne alors que le droit comparé en tant

éléments soient réunis, d’une part l’Etat et d’autre part une pensée rationnelle. Concernant l’Etat, il n’a pas toujours existé, on date la naissance de l’Etat aux alentours du 4ème millénaire avant JC, l’Etat serait né au Proche Orient et ce n’est qu’à partir de cette époque là qu’on peut avoir les premières pensées politiques. Quant à la pensée rationnelle, on entend par là un ensemble d’idées théoriques justifiées par des arguments objectifs et de portée universelle. Or les sociétés du Proche Orient

Intitulé du sujet: Y a-t-il des lois injustes? Analyse préalable du sujet: Notions. Ce sujet fait appel aux notions du droit et de justice, et de là aux repères légal/légitime. Références. Éthique à Nicomaque - De la justice – Aristote ; Hippias Majeur – Platon ; Du Contrat social – Rousseau ; De l’esprit des lois – Montesquieu ; Théorie de la Justice – Rawls ; Déclaration Universelle des Droits de l’Homme Définitions. Y a-t-il des lois injustes? implique un constat. Cela suppose une

exemple dans le monde du travail, avec le congès maternité. De même l'âge est une caractéristique qui donne certains droitsau citoyens tel que le droit de vote, le droit de passer le permis de conduire. En théorie on ne peut commencer à travailler qu'à partir de 18 ans avec certaines dérogations. Ces droits propre à chaques individus sont appelés Droit subjectifs puisqu'ils sont liés aux caractéristiques propres et personnel de chaques citoyens. De même le handicap fait partit de ces caractéristiques qui

inégalité. Pourtant, dans ce cas, il y aurait égalité de traitement, mais c’est cette égalité de traitement qui est inégalitaire. D’où l’idée que traiter différemment les gens différents pour  compenser les inégalités de positions initiales est juste. La justice sociale s’obtient là paradoxalement en traitant les individus de façon inégale. On est là dans le domaine de l’équité. Ce qui est équitable est juste, mais peut passer par des inégalités de traitement.  Et donner la même chose à tout le monde quel

l'impartialité du système judiciaire suppose l'existence de critères de distinction entre l'indépendant et le dépendant, l'impartial et le partiel. Ces critères sont, justement, contenus dans les instruments internationaux relatifs à l'indépendance de la justice et à son impartialité. Certains sont dits contraignants parce que l'État concerné s’est engagé expressément à les respecter, d'autres ne le sont pas en raison de l'absence d'engagement volontaire de la part de l'État, ou parce qu'elles émanent d'organisations

événements qu'il écrit son poème. Ce dernier est divisé en trois parties : la partie I se nommant « Encyclopédie des hommes illustres », la IIème « l’épopée de la guerre d’indépendance », et la IIIème « En cette année 1941 ». Il ne faut pas oublier que les artistes sont influencés et forcés de se soumettre à des normes préétablies par Jdanov, Molotov ou encore Staline. L’extrait que nous allons étudier est situé dans la première grande partie et se nomme « Sélime fils-de-chabane et son livre », où le lecteur

lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées : positivisme étatique qui fait reposer le droit sur la force qui l’impose, Kelsen au 20ème siècle et avant lui il s’est inspiré des travaux de Hegel au 18ème siècle ; Puis le droit dérive