Parti travailliste

vie politique Ces acteurs peuvent être regroupés en plusieurs composantes : les partis politiques, les élites, les groupes d’intérêts (groupe de pression), les syndicats, les acteurs individuels que sont les citoyens, les électeurs, les médias. 13/10/08 Section 1) Les partis politiques Les partis politiques sont un phénomène politique du XIXème siècle, ce sont des acteurs majeurs de la vie politique. Les partis sont des organisations qui disposent de structures, de personnels et de ressources

Bureau de dépôt : 5000 Namur mail. N° d’agréation : P 204078. ses clivages, ses partis Invité : Pascal Delwit Au pays du compromis Notre petit pays n’est pas célèbre seulement pour ses moules-frites et son art de la bière. Il l’est aussi pour sa culture du compromis. Cette tradition résulte de son histoire, des clivages qui en ont façonné le paysage politique, caractérisé par une multitude de partis. L’émergence d’un parti ne se fait pas par hasard. Elle ne procède pas non plus d’une cause unique.

les même partis qui gagnent les élections et qui gouvernent (USA: démocrate, républicain) => duopole (en économie). Ce n’est pas la meilleure façon de consulter les électeurs. Les modalités # (vote, élection qui désavantage les petits partis, modes de financement) on va aboutir à écarter du centre des institutions publiques. Il y a aucune raison de penser que les préférences des électeurs sont toujours basées sur les partis politiques forts. USA, RU : toujours soit parti travailliste soit conservateur

démonstration), que la série n ln n 1. PRÉLIMINAIRES 0.1 Montrer que, si (a n ) est à variations bornées alors (a n ) est convergente. 0.2 Prouver l’égalité, valable pour tout entier N : N N n dn = n =1 b n − Nb N+1 . n=1 PARTIE I Dans cette partie, (a n ) est une suite réelle. I.1 Donner une condition nécessaire et suffisante, portant sur la suite (b n ) , pour que la suite (a n ) soit convexe. I.2 On suppose dans cette question, qu’il existe une fonction réelle f , de classe positive

p∈ . Nous allons étudier ce qui peut se produire si on enlève à ce théorème l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux ». Une première partie démontre des résultats préliminaires. Une deuxième partie traite d’un exemple où, sans l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux », la série de Fourier peut diverger. Tournez la page S.V.P. 2 Une troisième partie recherche une condition plus faible pour que, sans l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux », on puisse quand même assurer que la série

décimal se compose : * d'une partie entière * d'une partie décimale séparées par une virgule (",") qui est le séparateur décimal. cours sur les nombres entiers et décimaux - sixieme : image 1 La partie décimale d'un nombre décimal comporte toujours un nombre fini de chiffres non nuls. Tous les nombres "à virgule" ne sont pas des nombres décimaux. Un nombre décimal reste inchangé si on ajoute ou si on retire * des 0 avant la partie entière, * des 0 après la partie décimale. Exemples

Affectation : A prend la valeur 5 | A=5 | A=5 | Opérations : A+B A-B 2A 2/A A3 2,457 Partie entière de A  | A+BA-B2*A2/Apow(A,3) from math import*sqrt(A) from math import*2.457floor(A) from math import*pi from math import* | A+BA-B2*A2/Apow(A,3) from math

A1 : NUMERATION 1) Ecriture décimale d’un nombre 823,956 partie entière :823 partie décimale :0,956 823,956 est un nombre décimal. Dans une écriture décimale, la valeur de chaque chiffre dépend de sa position dans cette écriture. 823,956=(8x100)+(2x10)+(3x1)+9x1/10)+(5x1/100)+(6x1/1000) 823,956=(8x100)+(2x10)+(3x1)+(9x0,1)+(5x0,01)+(6x0,001) 8 est le chiffre des centaines. 2 est le chiffre des dizaines. 3 est le chiffre des unités. 9 est le chiffre

Définitions de quelques fonctions utilisées par le tableur 1. ALEA( ) : renvoie un nombre aléatoire dans l’intervalle [0 ; 1[ 2. ENT( ) : c’est une fonction mathématique qui retourne la partie entière d’un nombre 3. ENT (ALEA( )*2) : en multipliant ALEA() par 2, on obtient un nombre de l'intervalle [0 ;2[, en prenant la partie entière on obtient un entier naturel de {0 ,1} 4. NB.SI ($A$3:$A$100 ;0) renvoie le nombre de 0 de la zone $A$3:$A$100. 5. NB.SI ($A$3:$A$102 >=1,5) renvoie le nombre de valeur supérieure

en base 60, c’est-à-dire que tous les nombres étaient exprimés sous la forme a + 60 + 60c 2 + · · · . On peut imaginer que pour les applications pratiques c’était largement suffisant (par exemple estimer la surface d’un champ, le diviser en deux parties égales, calculer le rendement par unité de surface,...). En langage moderne cela correspond à compter uniquement avec des nombres rationnels Q. Les pythagoriciens (vers 500 avant J.C. en Grèce) montrent que 2 n’entre pas ce cadre là. C’estp à-dire