Pas d'histoires

Document destiné aux enseignants MUSEE CALVET LES GENRES EN PEINTURE I. LA PEINTURE D’HISTOIRE Un tableau qui raconte une histoire Pour raconter une histoire, l’écrivain utilise LA NARRATION. Et le peintre ? Dans la galerie Vernet, au fond à droite, observe un tableau peint par Horace Vernet en 1822 : Joseph Vernet attaché à un mât observe les effets de la tempête Quelle était la situation avant la scène représentée ? Une traversée en bateau

n’était pas enroulé dans une cape gonflée par le vent, mais vêtu d’une simple redingote. Il apparaît ainsi que le contexte historique n’est qu’un prétexte pour mettre en valeur la figure du chef de guerre et ses talents de meneur d’hommes. La peinture d’histoire devient portrait. Le tableau s’inscrit dans la longue tradition du portrait du souverain ou du général à cheval, genre qui remonte à l’Antiquité et qui, revivifié à la Renaissance, sera très prisé des chefs d’États de toute l’Europe à partir du

effectuera de nombreux voyages en Italie, passant par Florence, Rome et Naples,ou il y étudiera.Pendant sa jeunesse il peindra beaucoup de portrait des membres de sa famille*4 et proposera au salon* des œuvres d'inspiration néoclassique(peinture d'histoire).pendant cette période, il peindra aussi « la famille bellelli *5» un de ces tableaux les plus connus. De 1874 a 1886 Degas expose ces œuvres dans des expositions impressionnistes*6, il a alors de nombreux contacts avec des peintres de sa générations

d’art comme l’un des éléments ayant conduit aux innovations de Caravage et des frères Carracci qui officiaient (et se faisaient concurrence pour obtenir des commissions) à Rome vers 1600. Cependant, bien que la peinture religieuse, la peinture d'histoire, les allégories et les portraits étaient encore considérés comme les sujets les plus nobles, le paysage et les scènes de genre étaient également très répandues. L’art baroque est caractérisé par des couleurs riches et profondes, les jeux d’ombres

| | |Dimensions : 6,21m x 9,79m |Genre : peinture d’Histoire | |Lieu de conservation : Musée du Louvre, Paris | | |Contexte historique

Fortement critiqué à ses débuts, l'impressionnisme marqua la rupture de l'art moderne avec l'académisme. Le rôle de l'académie et de l'art officiel est alors très important. L'académie décide des sujets que les artistes peuvent représenter (peinture d'histoire, portrait, paysage, …) et fixe les règles de ce qui est beau et ce qui ne l'est pas. Les artistes sont tentés de reproduire les modèles des maîtres, de représenter des scènes mythologiques, la peinture cherche la ressemblance. Le « salon » est une

La peinture d'histoire est un genre pictural qui s'inspire de scènes issues de l'histoire chrétienne, de l’histoire antique (Mésopotamienne, Egyptienne, Grecque, Romaine, …), de la mythologie ou d’évènements historiques récents, allégoriques, ou issue de la littérature et sous-tend une interprétation de la vie ou exprime un message moral ou intellectuel. En 1667, elle a été considérée par André Félibien, historiographe, architecte et théoricien du classicisme français comme le genre majeur de la peinture dans

que ses natures mortes sont une recherche du trompe-l'œil, une composition rigoureuse avec un jeu de lumière admirable et que Chardin est un peintre comparable à aucun autre peintre. II. Biographie Elève de Pierre-Jacques Cazes, célèbre peintre d'Histoire, et conseillé par M. Coypel (chez qui il peint un fusil ce qui lui donna goût à la nature morte dit-on), il entre en 1724 à l'Académie de Saint Luc avec le titre de maître peintre. Son œuvre la Raie lui permet, en 1728, d'entrer dans l'Académie

qu'il nomme « son héros »101. Après le coup d’État de brumaire, qu’il accueille avec fatalité : « J’avais toujours bien pensé que nous n’étions pas assez vertueux pour être républicains »102, David entreprend un nouveau projet de grande peinture d’histoire, avec comme sujet la résistance des spartiates de Léonidas au passage des Thermopyles, qu’il commence en 1800, mais qu’il n’achèvera que quatorze ans plus tard ; de m

chaudes _ lumineuses _ mélangées _ pâles _ froides _ ternes _ pures • Paysage • Nature morte • Portrait • Peinture de genre (scène de la vie quotidienne considérée longtemps comme sujet dits mineurs) • Peinture mythologique • Peinture d’histoire Le peintre peut utiliser des tons locaux : Le ton local c’est la couleur propre des objets, en dehors de toute altération ou transformation due à la lumière. Les arbres sont verts, le ciel est bleu… La leçon de Cézanne Salle 6 Le cubisme