Pascal Et Montaigne

sa finitude. Il a une co de lui mm que ds sa finitude car il se devl ac le tps. Shakespeare : «  l’H est le bouffon du tps » Montaigne : Le tps comme finitude + il est rongé / le néant de / sa temporalité. L’H n’est jms lui mm car il change ac le tps Seul la naissance et la mort son des moment sur et ancré ds le tps, entre tps ce ne st que des passages. Pascal : -H tjs en mvt, il ne se stabilise pas car sinon il se rencontre ac lui mm et le tps. Le divertissement nous fait oublier le tps

raisonnement littéraire car il appuie sa thèse sur des arguments d'autorités tels que Dieu et la Bible. L'auteur blâme donc l'homme et le rend semblable à un monstre, du fait de son comportement. ------------------------------------- 2- Michel de Montaigne : Au sujet d'un enfant monstrueux --------------------------- I- Une description du monstre --> Une découverte progressive de la monstruosité -> Insiste sur l'humanité avec le lexique "enfant" --> Une description clinique -> Lexique

dont le quotidien est souvent fort différent de celui des protagonistes. Flaubert déjà montrait l’influence pernicieuse de tels romans sur son héroïne, Emma Bovary, devenue incapable d’accepter la réalité. Le roman sentimental « distrait » au sens où Pascal l’entendait : il nourrit l’imaginaire d’illusions et peut devenir une fuite, un « divertissement » dangereux. Mais aujourd’hui, l’heure est plutôt à la magie… L’immense succès des quatre tomes du jeune sorcier Harry Potter devient un phénomène sur

moindre perfection » Spinoza « Les plaisirs de l’amour sont, selon moi, les seuls vrais plaisirs de la vie corporelle » Montaigne « On est impuissant à trouver le plaisir quand on se contente de le chercher » Marcel Proust « L’homme est nait pour le plaisir : il le sent, il n’en faut point d’autre preuve. Il suit sa raison en se donnant au plaisir » Pascal « Le plaisir est le bonheur des fous. Le Bonheur est le plaisir des sages » Barbey d’Aurevilly « Rien ne nous rend si grand

semble vouloir montrer ce texte de Pascal. Il insiste sur l’idée que ce qui nous intéresse, par-dessus tout, c’est le processus même de la recherche, sans que l’on puisse prétendre la mener à terme, et que le souci de cette évolution est certainement plus à même de rendre compte de notre réalité, ainsi que de celle qui nous entoure. 1. L’homme est admiratif du combat, et non de la victoire A. L’horreur de l’acharnement du vainqueur sur le vaincu Pascal débute son texte par une affirmation

d’avance. Inscrit au lycée Henri-IV à Paris en philosophie, il finit par déserter l’internat et abandonne les études. En septembre 1964, une inscription par son père contre son gré en hypokhâgne (classes préparatoires littéraires) au lycée Michel-Montaigne à Bordeaux, se solde par une nouvelle fugue et une rupture avec son père qui durera près de deux ans. En 1965, il s'inscrit à la Sorbonne en Faculté de Lettres pour prolonger son sursis militaire : "J’avais passé mon bac, j’étais livré à moi-même

vision de l’homme, propose Pascal ? I- Préparation de la synthèse. • Corpus à utiliser : fragments 11, 19, 20, 21, 22, 25, 27, 31, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41 en partie, 42, 43, 48, de la liasse vanité. • Fragments : 49, 50, 51, 52, 53, 61, 64, 65, 66, 67, 68, 69 et 71 de la liasse misère. • 3 fragments de la liasse « ennui ». II- Plan à concevoir Une vision très pessimiste de l’homme, notamment dans ces liasses : (cf Pascal marqué par le jansénisme, homme

Texte A : Michel de Montaigne, « Que philosopher, c’est apprendre à mourir », Essais, I, 20, 1580-1595. Le but de nôtre carrière, c’est la mort, c’est l’objet nécessaire de nôtre visée : si elle nous effraie, comme1 est-il possible d’aller un pas en avant, sans fièvre ? […] On fait peur à nos gens, seulement de nommer la mort, et la plupart s’en signent, comme du nom du diable. Et parce qu’il s’en fait mention aux testaments, ne vous attendez pas qu’ils y mettent la main, que2 le médecin ne leur

aussi de romans (La vie de Marianne et Le paysan parvenu) et, en tant que journaliste, d’articles de presse écrite. Inscrit dans la lignée des moralistes du XVIIème siècle, comme La Bruyère, La Rochefoucauld, et de leurs devanciers que sont Montaigne et Pascal, le théâtre de Marivaux soulève l'éternelle question de la transparence du cœur. Les ruses du langage, de l'amour-propre, de l'imagination, de l'orgueil caractérisent les dialogues de ses pièces, et les subtiles dissertations sentimentales de

selon les écrivains : optimisme, lucidité, pessimisme (voir ci-dessous, conclusion) Conséquences : a) "Le moi est haïssable", selon Pascal. Le MOI est haïssable parce qu'il ne constitue pas un sujet d'étude assez vaste et assez noble. Don pas de lyrisme individuel , mais de la pudeur Mais il y a du lyrisme dans les personnages des pièces ( Racine, Pascal, Bossuet) b) On s'occupe peu de la NATURE EXTERIEURE LA NATURE EXTERIEURE ne les intéresse pas. Mis à part La Fontaine et Mme de Sévigné