Pascal Paoli

BLAISE PASCAL, Les pensées, « Disproportion de l’homme » (L’infiniment grand), 1669 . Idée générale : .L’extrait « Disproportion de l’homme » des pensées, œuvre de Pascal, mathématicien  du XVIIe siècle, inventeur de la calculatrice, adopte les différentes révolutions scientifiques (révolutions copernicienne +découvertes de Galilée) en se consacrant a la réflexion philosophique et religieuse. .Ce texte fait partie du genre des pensées, car il s’agit d’une argumentation directe

philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale : on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale ; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche

et à la frustration (promesse du paradis) : refuge, réconfort, être sous tutelle Marx : instrument idéologique, dominants appuient leur pouvoir. La religion fait peur et console. « La religion est l’opium du peuple » La foi est irrationnelle Blaise Pascal, Les Pensées « Le coeur a ses raisons que la raison ignore » - la foi : croyance religieuse = sentiment, personnel, subjective - le savoir : la science, raison, preuves, universel, objectif La foi n’a pas besoin de preuves : repose sur la confiance

Chiasme pour nous montrer a quel point il y a un amour passionel entre Roméo et Juliette : « Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo » . Pour montrer qu'on ne réfléchis pas lorsqu'on est amoureux, Grand Corps Malade a repris une phrase de Blaise Pascal :« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas », plus connu sous le nom de : « L’amour a ses raisons que la raison ignore ». Il l'a utilisé plusieurs fois dans son œuvre, de manières différentes : « Car l'amour a ses saisons que la raison

d’un test. « Le pari », Blaise Pascal, p 22-23 Il s’agit ici du pari de croire à l’existence de Dieu, et donc au paradis, et à cette vérité transitoire qui nous mènera à vivre encore et à nouveau, ou de ne pas y croire et de ne rien avoir. Il faudrait être fou pour refuser d’y croire, puisqu’y croire nous permettrait d’obtenir un gain infini, alors que l’autre ne nous mène qu’à une seule conclusion : nous vivons, puis c’est le néant. Par un odieux chantage, Pascal nous dit que ce serait renoncer

Quel est le rôle du silence dans tout les matins du monde ? Tous les matins du monde est un roman écrit par Pascal Guignard publié en 1991 et adapté la même année au cinéma par Alain Corneau. Pascal Quignard se dit « écrivain du silence »,? il raconte alorsdans son œuvre l’histoire d’un virtuose de la musique, Monsieur de Sainte Colombe, violiste exceptionnel, détruit par la mort brutale de sa femme qui se renferme sur lui-même, écartant alors ses deuxfilles, Madelaine et Toinette, de son quotidien

que serait pour nous un combat entre deux fourmilières. C'estamusant aussi parce que ceci remet l'homme à sa juste place dans l'univers (relativité de son importance) : nous ne sommes rien d'autre que de « chétifs animaux » face à l'infini (Blaise Pascal)...

donc également un but bien plus important que celui de nous divertir. Ainsi nous pouvons leur attribuer des vertuspédagogiques. Il nous reste donc à savoir quelles sont ces vertus pédagogiques et comment les mythes nous les transmettent. Blaise Pascal parle du divertissement dans Pensées et opuscules. Pour lui,c’est parce que l’homme ne sait pas rester seul chez lui qu’il ressent le besoin de se divertir. Lorsque l’homme se divertit c’est pour oublier ses problèmes et ses soucis liés à sa condition

 Vous êtes couché dans votre lit, enveloppé dans une grosse couette qui vous tiendra bien chaud toute la nuit. Vos yeux se ferment doucement et vous avez l’air paisible. Soudain, vous repensez à la vieille dame vivant à côté de chez vous, elle est toxicomane et suicidaire. Vous vous sentez mal ainsi vautrée dans votre petite vie confortable et sans soucis. Vous finissez par vous lever et vous ne saurez pas fermer l’œil de la nuit en pensant à la vie malheureuse que doit subir cette pauvre femme

à la politique. La photographie prise de « Tommie Smith et John Carlos aux Jeux Olympiques de Mexico en 1968 » met en scène deux athlètes noirs sur le podium brandissant leurs points gantés de noir. Cette photographie est suivie par l’article de Pascal Boniface, « Géopolitique des Jeux Olympiques » paru en août 2004 dans Le Monde Diplomatique, qui revient sur la dimension géopolitique des JO. Puis vient l’article du 8 février 2010 rédigé par Geneviève Grimm-Gobat intitulé « Sport et politique,