Pascal Préface Au Traité Du Vide

l’intériorité]. » (Pascal, Pensées, 127) - « Nous transportons les autres comme la Terre transporte son atmosphère. » (Heidegger) - « Malheur à celui qui est seul et qui tombe sans avoir un second pour le relever ! De même, ceux qui couchent ensemble, ils auront chaud ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? » (L’Ecclésiaste) - « Ce qui donne naissance à une cité, c’est l’impuissance où se trouve chacun à se suffire à lui-même. (Platon, La République) - « Agis de telle sorte à traiter autrui

sociale Les Caractères La BruyèreLes fausses dévotes Les Caractères La BruyèreDialogues des morts FénelonLes lettres portugaises GuilleraguesLes lettres portugaises Lettre V GuilleraguesLa princesse de Clèves Mme de La FayettePréface au traité sur le vide Blaise PascalLes deux infinis Blaise PascalLettres, 203 Mme de SévignéLettre de Mme de Sévigné à Mr de Coulanges Mme de Sévigné Le XVIIIème siècle   Synthèse Torture VoltaireLe mondain VoltaireMicromégas VoltairePrière à Dieu VoltaireBeau, beauté VoltairePetite

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se propose d’éclairer un théorème diffi- cile de la Dynamica de Leibniz portant sur la force élastique, d’abord en expliquant sa fonction dans le traité, puis en le ratta- chant à plusieurs brouillons des premières années parisiennes (1672-1673) consacrés à la pneumatique. Ces textes encore peu connus appartiennent à l’histoire des expériences sur le vide réali- sées par Robert Boyle et Christiaan Huygens notamment, période clé pour comprendre la naissance de la physique expérimentale. On y découvre

Le XVIII° siècle, en accordant à la raison la supériorité absolue, et en faisant d'elle l'instrument privilégié qui sert à régler les passions, considère l'amour comme une illusion. C'est ce thème de l'amour et des liaisons que traite Crébillon fils dans son roman libertin, Les égarements du cœur et de l'esprit publié entre 1736 et 1738, l'œuvre étant paru en deux fois. Crébillon fait de son roman mémoire un roman expérimental sur la condition de l'homme. Il s'ingénie à chercher ce qui fait l'essence

principe de dualité, on prend du recul, on distingue le « je » (source des activités) du « moi » (image que prend le je à un moment donné de son histoire. (Importance des références : « Nous sommes des nains sur des épaules de géants » Pascal, Préface au traité du vide) -> Le moment de la reconnaissance, de l’identification : l’écart permis par la conscience est condition de l’identification. C’est une spécificité humaine 3. La conscience réfléchie, source de la dignité humaine (commentaire

social. Désormais les fictions ont des cadres spatiaux et temporels proches de ceux du lecteur (ou historiquement exacts) et se déroulent dans tous les milieux sociaux. Ces auteurs estiment qu'aucune exclusion esthétique ou morale ne doit empêcher de traiter un sujet vrai. L'école naturaliste, après 1870 ne fera qu'ajouter des visées scientifiques à ces principes, et affirmer sa croyance en une littérature capable d'apporter une connaissance positive du réel. Balzac 1830, La peau de Chagrin

s'aligner sur celui ci est aussi un manière de legitimer la pretention scientifique du roman par un brouillage desfrontières épystemologiques. b)Zola: Un romancier expérimentateur A lu physiologie des passions du docteur letourneau et le traité sur l'hérédité naturelle du docteur lucas. Il y a trouvé la notion d'héradité et surtout l'image de l'arbre généalogique. Plus tard il découvre l'introduction a l'étude de la medecine expérimentale de Claude Bernard. Il va littéralement transposer

un moraliste philosophe comme Pascal, un fabuliste comme La Fontaine – pratiquement contemporains au XVIIe siècle – ou des philosophes des Lumières aussi différents – et presque « ennemis » – que Voltaire et Rousseau font tous dépendre le bonheur d’éléments différents. • Pour Pascal, être heureux c’est combler un « gouffre », un manque et remédier à une « impuissance », celle de l’homme. Ce ne sont pas des éléments terrestres concrets qui peuvent « remplir » ce vide, mais un « objet infini et

curiosités. Pendant ce temps, c'est le théâtre de Musset qui est redécouvert, avec toutes les potentialités que sa dramaturgie de l'éclatement spatio-temporel, permise par le renoncement à la scène de son époque, offre à l'esthétique de l'espace vide telle qu'elle se développe au XXe siècle. C'est Jean Vilar, grand interprète du théâtre romantique français et allemand, qui a sorti le théâtre de Hugo de sa réputation d'être injouable, avec ses mises en scènes de Ruy Blas (1954) et Marie Tudor