Pascal Souverain Bien

de procédés permettant de dominer la nature, de satisfaire nos besoins et de vivre bien, le plus longtemps possible. Descartes : L’homme doit se rendre comme maître et possesseur de la nature. Marx : Les machines sont au profit du service et non pas de l’homme. Religion : Croyance en un ou plusieurs êtres transcendants Descartes : Deux preuves de l’existence de D, par syllogisme et par l’idée de l’infini. Pascal : Vérité du cœur, « Le cœur a ses raisons que la raison ignore » Kant : La raison ne

d’Aix-Marseille. 2010-2013: Diplôme d’Ingénieur en Statistique et Analyse de l’Information (mention bien), Ecole Supérieure de la Statistique et de l’Analyse de l’Information de Tunis (ESSAI). 2008-2010: Cycle préparatoire, Institut Préparatoire aux Etudes d’Ingénieurs de Nabeul (IPEIN) 2004-2008: Lycée Pilote de Kairouan (LPK). Juin 2008 : Baccalauréat scientifique, spécialité Mathématiques (mention très bien). Juin 2012 : Formation en sécurité des réseaux informatiques. Octobre 2012 : Formation en PNL

FAUT-IL CONDAMNER LA CONCURRENCE IMPARFAITE ? Cette copie émane d'une étudiante de première année de classe préparatoire à l'École normale supérieure de Cachan, option D1. Elle a été écrite en 4 heures par Mademoiselle Pascale GRIMALDI. I.— La concurrence imparfaite peut être un accélérateur de croissance économique A.— La concurrence imparfaite et l'augmentation de la production B.— La concurrence monopolistique et l'innovation II.— Cependant, la concurrence imparfaite limite la liberté du

Faut-il obéir aux lois? Nul n'est censé ignorer la loi, lit-on dans le Code. Tout un chacun, le citoyen comme l'étranger de passage, est supposé, par une fiction commode, connaître et respecter (car tel est bien le sens qu'il convient de donner à "ne pas ignorer") les normes impersonnelles et de portée générale que le législateur édicte afin d'organiser la Cité et, pour reprendre l'expression d'un auteur antique, "associer les intérêts des citoyens et les maintenir sous une même justice". Pour

par leur fonction sociale, les lois devraient être respecter, en effet ce sont les règles qui permettent à l'Homme de vivre en société sans laisser ses désirs personnels empiéter trop souvent sur le bien commun. Par conséquent l'Homme peut avoir tendance à vouloir privilégier ses désirs personnels au bien commun et ainsi à enfreindre les lois. C'est pour cela que l’efficacité des lois et l'importance qu'on accorde à leur respect est inévitablement lié aux forces qui assurent leur application. Ainsi

résister qu'en lui opposant une force contraire. Il ne peut pas de pas y être soumis. Le droit s'adresse quant à lui au bon vouloir de ceux qu'il oblige en leur faisant un devoir de le respecter. Il s'adresse à leur liberté, il fait appel à leur sens du bien. Kant fera ainsi de l'existence du devoir la preuve même de l'existence de la liberté : pour que l'obéissance ait un sens, il faut qu'existe la possibilité de s'y soustraire ! Pourquoi Rousseau dit-il que le "droit du plus fort" est pris ironiquement

plus nos horizons reculent, aucun mot ne peut exprimer, aucun chiffre ne peut traduire les formidables distances qui nous séparent des étoiles que nous contemplons; qu'on en juge par un seul trait. La lumière franchit 74 mille lieues par seconde. Eh bien ! pour venir à nous de tel astre qui nous éblouit, elle reste dix ou vingt ans en marche. Voyez par exemple l'étoile polaire sur laquelle vous avez tous arrêté plus d'une fois vos regards; si elle s'éteignait ce soir même, les rayons dont elle nous

mêmes types de phrases, rapidité de l’échange => double portrait en opposition : reprise terme à terme entre les répliques des adversaires. => souligne la violence de l’échange verbal = équivalent d’un duel. Impératif : mode d’expression du souverain pour prendre une position dominante dans l’échange / en réaction Britannicus utilise la P3 pour signifier son mépris et sa prise de distance face aux turpitudes de Néron. C) Attaques de Britannicus : l’illusion de sa victoire. Britannicus mène

nature ou contrainte : On voit bien ce qui distingue les deux modèles présentés ci-dessus. Dans le premier, la cité accomplit la nature de l’homme si bien que celui-ci ne saurait se définir en dehors de ses conditions d’existence dans la société. Dans le second, le choix du contrat social est le choix que fait un individu, déjà achevé à l’état de nature, de ses propres conditions d’existence. La société est alors une contrainte (puisqu’elle est soumission à un souverain) mais elle libère de la crainte

I ) Définir le bonheur Tout homme veut être heureux et cela peut suffire à définir ce qu’est le bonheur. Ce dernier est un état de complète satisfaction et de plénitude. D’après Pascal, «  Tous les hommes recherchent d’être heureux. Cela sans exception, quelques différents moyens qu’ils emploient  ». D’après Kant, «  Le bonheur étant un idéal à atteindre de l’imagination et non de la raison, il est objet d’espérance car le devoir prime sur le bonheur  ». Le bonheur peut être perçu comme