Pasolini

SPINOZA Ethique ( III.4, III.9, IV.18 et scolie, IV.20 et scolie) SPINOZA Lettre N° 23 à Guillaume de Blyenbergh FREUD Cinq leçons sur la psychanalyse FREUD Trois essais sur la théorie de la sexualité FILMOGRAPHIE A.HITCHCOCK Vertigo 1958 P.P PASOLINI Théorème 1968 F. RTUFFAUT L’enfant sauvage 1970 M. FERRERI La grande bouffe 1973 N. OSHIMA L’empire des sens 1976 T. GILLIAM Brazil 1985 D. LYNCH Blue velvet 1986 G. AXEL Le festin de Babette 1987 D. FINCHER Fight club 1999 S. KUBRICK Eyes

concept cinématographique d’image-mouvement, un seul et unique plan, qui se confond avec la totalité de la matière. Deleuze accorde d’ailleurs à Pasolini le crédit d’avoir pensé avec la plus grande rigueur, notamment dans L’expérience hérétique (1976) 6, ce plan unique et absolument illimité en droit. Le refus ou la répugnance du plan-séquence, chez Pasolini, sont liés à cette question — il lui faut procéder par prélèvements, recadrages et décadrages pour que la totalité synthétique atteigne au cinéma

individuali, di direzione della vita privata (abbiamo giornate piene, affannose, attivissime ma resta il dubbio di perdere tempo macinando a vuoto, la paura della vita sprecata). (p.83) Eppure Calvino è fiducioso... sicuramente più ottimista di un Pasolini o di un Illich! Perchè nonostante tutto ciò che di negativo si può scorgere, per lui si tratta solo di una sorta di “fase di transizione” in cui le nostre incapacità sono contingenti, sono date dal non aver ancora maturato la consapevolezza che

noires de la mythologie antique. Elle appartient au petit nombre des grandes criminelles de la mythologie grecque. Au cours des siècles, le mythe de Médée a attiré de nombreux écrivains et dramaturges : Euripide[1], Sénèque[2], Corneille, Anouilh, Pasolini et Max Rouquette qui écrivait en langue d’OC. Chez tous ces auteurs, Médée est une femme outragée, blessée et infanticide. Elle pleure sa souffrance car elle est seule, abandonnée par Jason, son époux infidèle. Pour arriver à trouver une solution

petite fille à la fin de L'argent de la vieille (Lo scopone scientifico, Comencini, 1972), les spaghettis à la mort-aux-rats de Affreux, sales et méchants (Brutti, sporchi et cattivi, Scola, 1976) soit par voie détournée et allusive (La Ricotta, Pasolini, 1963), La grande bouffe (La grande abbufata, Ferrerri, 1973). C'est plus généralement l'acte d'avaler, plus encore que les mets croqués qui consignent l'arrêt de mort des protagonistes : le creux des premiers cris est aussi un tom¬beau. L'eschatologie

Fellini Italie 1985 La terrasse Ettore Scola Italie 1980 le grand embouteillage Luigi Comencini Italie 1979 Les nouveaux monstres Dino Risi Italie 1978 L'argent de la vieille Luigi Comencini Italie 1972 Le Décaméron Pier Paolo Pasolini Italie 1971 Drame de la jalousie Ettore Scola Italie 1970 La fiancée du pirate Nelly Kaplan France 1969 Les monstres Dino Risi Italie 1963 Le fanfaron Dino Risi Italie 1962 Une vie difficile Dino Risi Italie 1961 Le pigeon

la guerre, commence une période faste pour la cité : les portes des studios s’ouvrent au cinéma américain avec des films comme Quo Vadis ou Ben Hur. Avec les années 1970 s’ouvre une autre période faste avec des cinéastes comme Fellini, Visconti, Pasolini, Ettore Scola qui donnent aux studios un écho mondial. En 1971, Fellini réalise un film dédié à Rome. Il évoque la ville ancienne, la ville moderne, il révèle ce qui est caché, les liens entre les différentes époques, il s’attarde sur les problèmes

brouillage entre l’imaginaire et le réel) Les mythes et le monde moderne : Maudite Aphrodite de Woody Allen, Monty Python, la vie de Brian de Terry Jones (séquence du début : les rois-mages se trompent de nouveau-né), Orphée de Jean Cocteau, Œdipe roi de Pasolini, Les ailes du désir de Wim Wenders ; au théâtre, les œuvres de Giraudoux, Cocteau, Sartre, Anouilh ; les romans de Giono, de Tournier… Fiche pédagogique Festival Premiers Plans – Programmation « Les adaptations cinématographiques d’œuvres littéraires

fantasmatiques. En effet, elles ne sont pas visualisées même si le pouvoir du mot comporte une dimension optique. Cette dernière n’est pas nécessaire au cinéma au risque d’être choquante : on se souviendra à ce titre de Salo ou les 120 journées de Sodome de Pasolini. Le roman de Pascal de Bruckner éclaire suffisamment le lecteur sans qu’il ait besoin d’être spectateur. En effet, le narrateur digne du marquis de Sade s’enfonce dans les marais cages de la scatologie en épargnant aucun détail dans la crainte que

Werner Herzog qui réalisa à son tour un Woyzeck avec Klaus Kinski dans le rôle-titre, partagent cet axiome et cette philosophie : également à l’instar de bien des écrivains que Christophe Perton a jusqu’ici mis en scène : Peter Handke, Pier Paolo Pasolini, Rodrigo Garcia, pour ne parler que des plus récents. Gageons qu’il saura proposer à son tour, dans le sillage fraternel de ces artistes, avec une troupe d’acteurs dont chacune des personnalités lui a inspiré ce projet, une vision toute personnelle