Passion du Christ

Mieux vaut t’il se perdre dans la passion que perdre toute passion ? ‘ ’Il vaut mieux se perdre dans la passion plutôt que perdre la passion ‘’ cette phrase de St Augustin Ancien prêtre influent de L’église affirme , d’emblé L’une des thèses possible pour répondre A la problématique ’’ mieux vaut t’il se perdre dans la passion que perdre toute passion ?’’ Que voulait dire St. Augustin par cette phrase ? Sûrement pas que n’importe quelle passion serait précieuse, à sauver à tout prix. Il a

différents, qui sont ceux du Christ, de la Vierge, et des saints. a - L’iconographie du corps du Christ. Ne pas oublier que le christianisme est la seule des 3 religions monothéistes (christianisme, judaïsme, musulmans) qui soit une religion de l’incarnation. La question du corps est donc centrale par le caractère même de ce qui fait la foi elle-même. La question du corps du Christ est également au cœur des déchirements (notamment autour de la question de l’hostie). Le Christ a pris corps dans l’iconographie

gauche, la descente de croix de Rubens. En quatre panneaux, comme Grünewald et Rubens Otto Dix raconte ou plutôt s'inspire de la passion du Christ : la montée au calvaire (panneau 1), la crucifixion (panneau central), la descente de croix (panneau 3), la mise au tombeau (prédelle). Mais si, à l'image du Christ, les combattants de la Grande Guerre vivent la passion, pour eux il n'y a ni résurrection ni salut ! Le seul espoir dans ce tableau désespéré, c'est ce soldat qui, ayant abandonné ses armes

sa dimension tragique. Théorie du christianisme René Girard considère que le christianisme se distingue de toutes les autres religions en ce que, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, les Evangiles mettent en lumière, avec la Passion du Christ, l'innocence du bouc émissaire. Il s'agit d'une véritable déconstruction du mécanisme du bouc émissaire. Lorsque Jésus dit sur la Croix : "Père, pardonne leur car ils ne savent pas ce qu'ils font", il ne fait qu'énoncer, "pour la dernière fois"

La mise au tombeau Titien ou Tiziano Vecellio Cette œuvre fut créée vers 1520-1530 à la période du classicisme. La Mise au tombeau est le dernier épisode de la passion du Christ. Elle est directement inspirée d'un tableau de Raphaël (1507). La composition a été simplifiée. Le nombre de personnages a diminué. Le Christ est porté par Nicodème (droite). La Vierge, qui intériorise sa douleur, est soutenue par Marie-Madeleine. Saint Jean est également présent. L'idée de la descente de la croix

compagnonnage en Allemagne. Il s'agit d'un des tous premiers autoportraits indépendants de la peinture occidentale. Le chardon tenu par l'artiste est peut-être un gage de fidélité conjugale à sa fiancée Agnès Frey, ou encore une allusion à la Passion du Christ (plus précisément aux piquants de la couronne d'épines). Un des tous premiers autoportraits indépendants Après son apprentissage dans sa ville natale de Nuremberg, le jeune Dürer part pour un tour de compagnonnage à travers l'Allemagne

païens, Maximilien lui demande d’abandonner le nom de chrétienne. Elle préfère souffrir, elle sera finalement décapitée (on lui coupe la tête) - Vie de Saint Léger – un récit de la Passion du Christ, cette oeuvre raconte la vie de l’évêque d’Autun, saint Léger, martyr du VII siecle - Passion du Christ (X e siècle) – - Vie de Saint Alexis (XI e siècle) - un poème anonyme, le texte est composé de 125 strophes de décasyllabes, cette oeuvre raconte l’histoire de saint Alexis qui vient

communautés juives de la diaspora autour du bassin de la Méditerranée pour finalement se convertir en la religion officielle de l’empire romain au Ve siècle. A/ Les débuts de l’Eglise chrétienne (Ier - IIIe siècle) 1) L’Eglise primitive La doctrine du Christ se répand tout d’abord chez les juifs de Jérusalem. Mais des voyageurs se convertissent et font connaître le christianisme aux communautés juives des grandes villes de la diaspora. La vie de ces premières communautés est décrite dans un texte du

son œuvre montre l’importance toute particulière qu’il lui accorde. Il l’a utilisé également pour une autre œuvre majeure, « Grande Ville ». Pour « La Guerre », la forme lui permet de faire un parallèle entre la souffrance des soldats et celle du Christ et des martyres des retables anciens. Il peut également réunir en un même tableau plusieurs éléments d’une même histoire. La structure des panneaux est organisée de façon symétrique et régulière, là aussi dans la tradition des triptyques anciens

signe d’infériorité, ni de marque d’hostilité. Ce rapport va changer à partir du 11ème siècle, où peu à peu, la synagogue doit laisser sa place à l’église. Et c’est aux 12ème et 13ème siècles des croisades, que l’accent est mis sur la Passion du Christ et que la responsabilité est imputée aux juifs. Ils subissent alors persécutions et massacres. Ce sont les œuvres d’art qui vont nous révéler la défaite de la synagogue. En effet, on peut voir cette représentation dans la cathédrale de