Sang du Christ

fort..." "- Très bien,je vais être direct,il s'agit de retrouver le sang du Christ!..." "- Vous plaisantez j'espère?!Ceci n'est qu'une légende!",s'exclama-t'il d'un rire moqueur. "- Gardez votre sérieux Monsieur Lambert,je vous prie.Si vous ne souhaitez prendre pas cette affaire,dites-le moi tout de suite,cela ne me fera pas perdre mon précieux temps..." "- Bien, Monsieur L...Mais pour quelle raison cherchez-vous ce...sang? Avez-vous une piste pour le moment?" "- Pour le proteger! Imaginez qu'un

existe de nombreuses sortes de croix dont seulement quelques-unes sont représentées ici. Celle qui est la plus utilisée dans la chrétientéaujourd’hui, est la croix latine, c’est-à-dire la forme de l'instrument de torture en bois où fut cloué Jésus-Christ. On utilise une véritable croix pour de nombreux rites. La messe catholique ne peut avoir lieu que si un crucifix est présent sur où à côté de l'autel du sacrifice. La croix est également portée lors des pèlerinages, des rassemblements La crois

ressuscitera le Christ et communiquera au monde la vie. Son vêtement bleu est l’expression de la sagesse, de la divinité, tandis que son manteau vert traduit la nature humaine appelée à renaître et montre ainsi qu’il est celui qui vivifie. L’ange pointe le doigt à côté de la coupe, puisqu’il est le doigt de Dieu, la force de Dieu. Son regard se reflète dans la coupe, car c’est par la puissance de l’Esprit que le vin est transformé en sang du Christ. Le personnage du milieu est Jésus Christ, il est associé

l’autre. Le retable d’Issenheim est son chef-d’oeuvre. La partie sculptée du retable d’Issenheim est de la main de Nicolas de Hagueneau et date de 1480. La compréhension de l’art religieux de cette époque passe par l’art des représentations du Christ, de Marie, qui sont poussées à l’extrême chez cet artiste par l’expression des personnages, leur réalité (naturalisme), l’art des drapés merveilleusement peints. Le Peintre marque par des traits noirs, les contours et les formes. Il accentue les ombres

On y voit au centre le Christ dans une mandorle (ovale de lumière qui symbolise l'ouverture sur le paradis). À sa gauche, un ange et Marie ; à sa droite, Enoch et Élie, deux prophètes de l'Ancien Testament. Au-dessous, à droite du Christ, un oeil avisé peut reconnaître quelques apôtres et Saint Pierre conduisant un élu au paradis. De l'autre côté, saint Michel pèse les âmes des défunts. Sur le linteau du bas, on discerne la procession des défunts : à la droite du Christ, les élus, qui vont au paradis

d'Issenheim par le squelette empalé au panneau central, évoquant la mort du Christ sur la croix., également représentée dans le panneau central. La deuxième ressemblance serait les prédelles, dans celle de Grünewald, le Christ est allongé à coté de sa tombe, pendant que celle d'Otto Dix représente des soldats dans leurs tombes. La dernière similarité est la présence de sang sur les deux triptyques, le sang du Christ dans l'un, le sang des soldats dans l'autre.

Le christ en croix entre deux larrons Ce tableau est une oeuvre de Pierre Paul Rubens, datant du 1620, magnifique représentation baroque typique de cette époque, en effet au XVIIe siècle, alors que l’Europe du Nord est dominée par la Réforme, les Flandres sous le joug de l’Espagne catholique subissent l’influence du baroque.. Les dimensions de ce tableau sont exaltantes, 311x429cm tableau à taille réel qui offre une dimension mystique au tableau. Nous sommes ici en présence d'une représentation

l’ingéniosité et le savoir faire de l’artiste. Dans ce tableau, La Vierge symbolise l'autel et l'Enfant assis sur ses genoux, l'eucharistie. Sur le trône marial, on distingue Adam et Eve ainsi que des représentations, du sacrifice et de la résurrection du Christ. La Vierge au chancelier Rolin Deux personnages se font face dans le tableau : la Vierge à droite, le chancelier Nicolas Rolin à gauche. Il y a une symétrie qui oppose les deux personnages du tableau : la Vierge et le Chancelier. Cette opposition

décrits de différente manière mais de façons a blâmer leur espèce : par exemple « monstres » c’est une métaphore, « abominable », « eternel ennemis » et « sanguinaire » .On trouve aussi le champs lexical de la cruauté pour définir leurs actes : « sang », « chair », « mort », « crime », « barbare », « victimes », « dévorent », « abominable », tous ces mots décrivent et donne une vision négative de l’homme. Les animaux par des hommes comme des être supérieurs, cruel mais de race animal. Elle ne fait

aliments selon un rapport «d'hyperonyme / hyponyme » assure leur organisation voire leur hiérarchisation. 2. Symbolisme ➢ le pain : valeur religieuse et sociale (associé à l’image du Christ ; évoque par métonymie les ouvriers) ➢ le vin : valeur religieuse, sociale et intellectuel (symbolise le sang du Christ ; lié aux réflexions et aux débat politiques ; le symbole de la connaissance et de l’initiation) ➢ la viande rouge : valeur culturelle et symbolique (évoque l’idée de l’énergie et