Pathétique Du Désastre De Lisbonne

l'esclavage, la guerre, la torture, l'intolérance, la superstition, le fanatisme... • Candide et Pangloss, à Lisbonne, condamnés à l'Autodafé décidé par l'Inquisition (assemblée de prêtres, tribunal qui examinait si les gens avaient une pensée conforme à l'Église, les autres étaient considérés comme des hérétiques) pour empêcher un nouveau tremblement. C'est la reproduction d'un même désastre en 1755, qui a profondément marqué les esprits. 1) Art du conteur : un texte narratif traditionnel :

| | |Article « fanatisme », Dictionnaire philosophique, VOLTAIRE. | | |« Poème sur le désastre de Lisbonne », VOLTAIRE, 1756. | |Analyse de l'image |L'accordée de village, GREUZE. | |Thématiques abordées

un aperçu de la philosophie leibnizienne contre laquelle Voltaire tourne ses pointes satiriques, ainsi que de la lecture faite par Voltaire de cette philosophie. Les extraits des Essais de théodicée de Leibniz (p. 144-151), du Poème sur le désastre de Lisbonne de Voltaire, ainsi que de la Correspondance littéraire de Grimm et Diderot (p. 151-153) permettent d’introduire aux débats de l’époque. Ce travail préalable intéresse de près l’analyse de la satire voltairienne puisque celle-ci dessine en creux

des comédies développant des problèmes de société tels que le thème emblématique du couple maître/valet, dans Les fausses confidences, Le jeu de l’amour et du hasard, et l’Île des esclaves. Beaumarchais et Diderot on également écrit des pièces pathétiques dans un contexte réaliste et dramatique qui parlent des familles bourgeoises et dénoncent la bourgeoisie : Le fils naturel, Le père de famille de Diderot et La mère coupable de Beaumarchais. Le roman, pour sa part, est divisé en trois catégories :

les genres littéraires et utilise tous les registres. Les tragédies : Œdipe en 1718. Irène en 1778. Il écrit des tragédies en vers qui rencontrent un énorme succès. Le plus grand dramaturge du monde. Il multiplie sur la scène les situations pathétiques et abandonne l’antiquité pour adopter un cadre exotique : Mahomet en 1742. L’œuvre philosophique : 1735, dans Lettres philosophiques Voltaire défend les institutions qui favorisent la liberté des individus, la tolérance religieuse et l’esprit

prient et ceux qui essayent de sauver le navire : Jacques. Les verbes jeter et prier qui n’ont aucun rapport montrent la panique des passagers. Il s’agit de mettre en valeur le comportement de l’anabaptiste. Le pathétique non utilisé :Cette scène ne fait jamais appelle au pathétique, l’auteur ne cherche pas à attendrir le lecteur, il nous décrit des corps menacer dans leur fonctionnement « dans les nerfs et dans toutes les humeurs ». Le rythme : Il est très soutenu, par l’utilisation de la

Jean de La Fontaine avec ses Fables et Jean Racine dans ses tragédies. ▶ LE XVIIIE SIECLE. Le XVIIIe siècle produira encore une . Voltaire compose une épopée en vers La Henriade (1728) qui célèbre Henri IV ainsi que le Poème sur le désastre de Lisbonne dans laquelle il remet en cause l’optimisme philosophique de Leibniz. Mais la poésie reste un genre mineur au XVIIIe siècle, au profit du théâtre, du roman et du conte philosophique. ▶ LA POESIE AU XIXE SIECLE. A partir du XIXe s., la

l’œuvre de votre choix. Il ne suffit pas de dire « j'ai beaucoup aimé ce roman ou cette pièce de théâtre ». Il faut argumenter tel un lycéen qui maîtrise le vocabulaire et les outils de l'analyse littéraire => Recours aux registres (lyrique, pathétique, tragique, comique, etc. ) + éventuellement au registre de langue de l'auteur (langage courant et accessible ou plutôt soutenu/littéraire) + Voir les fiches « 10 questions pour analyser... » un texte de théâtre/roman/argumentation ».

retenir donc simple et militant II) la chanson ancienne permet de déplorer de façon poignante le moment présent A) La plainte, point d’aboutissement du poème -Adj possessif « ma » montre l’implication du locuteur et renforce la dimension pathétique -« France » mis en valeur par une virgule, seule ponctuation du poème -Images de blessure B) Une lancinante sonorité -Poème commence et s’achève par le même vers -rimes liées par leur sens (insensé, délacé, glacé, etc -jeux sur les homophones

et « brillant ». Dans les deux premières phrases de ce même chapitre, le lecteur retrouve des hyperboles et tournures superlatives : « rien n'était si beau que... » et « telle qu'il n'y en eut jamais ». De plus, l'auteur donne l'impression d'un désastre minimisé. Souligné par des chiffres approximatifs faisant penser à des troupeaux de bétail : « renversèrent d'abord à peu près six mille hommes », « environ neuf à dix mille », « quelques milliers d'hommes et « le tout pouvait bien se monter ». Voltaire