Patrice de Mac Mahon

fonction étant presque dénuée de pouvoir après cette loi, celui-ci démissionne le 24 mai 1873. Les royalistes s'accordent alors pour élire un homme favorable à la monarchie pour le remplacer : c'est l'élection du maréchal Mac Mahon à la présidence de la république. Mac Mahon est un militaire qui a fait sa carrière sous le second empire, et notamment pendant la guerre de l'unité italienne : il a été fait Duc de Magenta par l'Empereur, dans la grande tradition impériale de donner aux généraux des

République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876, à majorité républicaine, et à l'une de ses grandes figures, Léon Gambetta. Si cette crise s'est bien ouverte le 16 mai, lorsque le président a nommé un chef de gouvernement conforme à ses vues politiques, qui étaient opposées à celles du parlement, elle s'est de fait poursuivie tout au long de l'année 1877 et n'a trouvé son épilogue que le 13 décembre 1877, lorsque Mac Mahon a reconnu sa défaite politique

la République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876 à majorité républicaine, et à l'une de ses grandes figures, Léon Gambetta. Si cette crise s'est bien ouverte le 16 mai, lorsque le président a nommé un chef de gouvernement conforme à ses vues politiques, qui étaient opposées à celles du parlement, elle s'est de fait poursuivie tout au long de l'année 1877 et n'a trouvé son épilogue que le 13 décembre 1877, lorsque Mac Mahon a reconnu sa défaite politique

les versaillais isolèrent complètement les Parisiens en reprenant le contrôle des quelques zones de banlieue proche tombées aux mains des communards. Le 21 mai, les troupes gouvernementales, commandées entre autres par les généraux Gallifet et Mac-Mahon, entrèrent dans Paris par les XVe et XVIe arrondissements, les plus proches de Versailles (la poterne des Peupliers fut celle d'où parvinrent les premières nouvelles de l'attaque). Elles reprirent d'abord sans problème l'ouest de la ville et, le

convaincre les plus modérés des monarchistes et bonapartistes de s'y rallier. • Le programme conservateur de l'Ordre moral. ◦ Au printemps 1873, les monarchistes écartent Thiers du pouvoir et portent à la présidence l'un des leurs, le maréchal Patrice de Mac-Mahon qui avait écrasé la Commune de Paris. ◦ Le nouveau gouvernement impose le programme conservateur de l'Ordre moral. Il promet de renouer avec les valeurs de l'Ancien Régime. La loi sur le septennat est votée pour se donner le temps de préparer

victoire des républicains aux législatives d’octobre 1877, faisant suite à la crise institutionnelle du 16 mai de la même année, (crise institutionnelle de la Troisième République française qui a opposé le président de la République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue à majorité républicaine) constitue un réel tournant dans le processus de laïcisation de l’enseignement. b. La mise en place de l’école de la République De 1879 à 1896 des lois républicaines sont

divisé entre modérés, orléanistes, bonapartistes et légitimistes pour les premiers et radicaux et opportunistes pour les seconds. Il est donc difficile de choisir définitivement un régime politique pour la France. Le président de la République Patrice de Mac-Mahon, monarchiste, est censé assurer provisoirement la tête de l'exécutif en attendant que le camp monarchiste trouve un compromis, c'est-à-dire en attendant la mort d'Henri Artois, prétendant légitimiste qui bloque toute alliance avec les autres

« la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins ») 1873 - les dernières troupes allemandes quittent la France - la loi Rivet est révisé - Thiers est renversé par le duc de Broglie et le maréchal de Mac-Mahon devient Président de la République (ordre moral) (victoire du radical Barodet face à Charles de Rémusat) - loi sur le septennat (laisse la possibilité d’une restauration orléaniste) - on décide de construire la Basilique du Sacré-Cœur pour « expier

vainc l’armée impériale à pavie et prend Ravenne, le père du jeune empereur Romulus Augustule, capturé, est exécuté et l’empereur est forcé d’abdiquer. Il est exilé en Campanie. Odoacre envoie les insignes impériaux à Byzance pour être reconnu « patrice », mais l’empereur de Byzance le renvoie vers l’empereur d’Occident précédemment renversé, et l’affaire en reste là. Odocacre gouverne l’Italie, officiellement au nom de l’empereur de Byzance, jusqu’en 493, quand il est renversé par un autre chef

République conservatrice, et la Chambre, malgré ses divisions décide de le destituer en 1873, pour le remplacer par le maréchal monarchiste Patrice de Mac Mahon. Il restera jusqu'en 1877. C) La présidence de Mac Mahon ou l'échec de l'ordre moral Mac Mahon a la confiance de la droite, mais cette dernière exige qu'il choisisse un chef du gouvernement pour l'épauler. Mac Mahon choisit le duc Albert de Broglie, orléaniste, propre fils de Victor de Broglie, l'un des 3 membres du triumvirat de 1832-1836 (avec