Patricien

Prononce les lois absolus afin de laisser la population aménager le droit a leurs images dans les limites imposé par l’empereur. II. une population, un devoir de compléter le droit A. le peuple, la Plèbe Peuple citoyens avec patriciens Plèbe citoyens sans patriciens Le peuple accompagné de la Plèbe se doit de participer activement à l’enrichissement du droit afin de créer une société à son image, qui lui correspond et qui lui est propre. B. les magistrats En tant que représentant de la population

était considéré comme le créateur de la vieille famille des Iulii qui, selon l’empereur Claude, se joignit ensuite aux patriciens de Rome[5]. Par ce lignage, César revendiqua, lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia, une ascendance remontant à Vénus[6] dont il célébrera les vertus génitrices (Vénus Genitrix). Les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine

conquis par un spectacle qui se déroule comme il l’entend, ou même comme un enfant content du spectacle qu’il crée lui-même avec ses jouets-marionnettes. Il prend sa maîtresse à témoin, l’invitant à contempler avec lui le spectacle de la déchéance des patriciens : verbe de perception visuelle « Non, mais regarde-les, Caesonia. » mettant encore l’accent sur la dimension théâtrale de cette scène. * Profondément narcissique, il est aussi le spectateur de lui-même : il parle de lui à la troisième personne

économique ->les « patriciens » -le reste de la population, c’est la plèbe ou les plébéiens ;c’est l’org qui va se retrouver dans celle politique. Dans la rép romaine seul un groupe d »élite gouverne, c’est une oligarchie. Ils se considèrent comme les meilleurs du point de vue de la naissance et de la richesse, c’est donc l’aristocratie. Les institutions misent en place correspondent a ces caractéristiques. On retrouve d’abord une assemblée restreinte qui représente les « patriciens » composé des chefs

aCn) ; Tribun de la Plèbe (119aCn) ; Préteur (115aCn) ; Consul (104-100 aCn). A perdu en 88 aCn contre Sylla (Optimates) durant la première guerre civile. Lucius Cornelius Sylla (138-78 aCn) Dans le parti des Optimates, issu d’une famille patricienne mais sans éclats et pauvre. Parcoure politique : Questeur de Marius (107 aCn). Sors vainqueur en 88aCn de la guerre civile contre Marius (Populares). Est nommé « Dictateur » en 79 aCn , abdique âpres (?) ans et abdique en 79 aCn un an avant de

considéré comme le créateur de la vieille famille des Iulii qui, selon l’empereur Claude, se joignit ensuite aux patriciens de Rome[6]. Par ce lignage, César revendiqua, lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia, une ascendance remontant à Vénus[7] dont il célébrera les vertus génitrices (Vénus Genitrix). En réalité les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au ier siècle av. J.-C., de la

citoyen si ses parents sont citoyens, ou il peut le devenir par une loi ou une décision de l'empereur. Les citoyens étaient répartis en 3 catégories : La NOBILITAS (noblesse), ce sont les plus riches, issus des plus anciennes familles de Rome (Les Patriciens), ils accaparent les fonctions politiques et les privilèges : Les EQUITES (les chevaliers), ce sont des bourgeois qui ont suffisamment d'argent pour entretenir un cheval de leur service militaire. La PLEBS (Peuple), Ce sont les plus pauvres

République et leur évolution qui s’étend sur cinq siècles d’histoire. Rome est, dès les origines de la République, une cité patricio-plébéienne (les deux termes sont à définir), d’abord fortement marquée par la prédominance politique de l’aristocratie patricienne, puis qui va se démocratiser petit à petit, au fur et à mesure que la plèbe conquiert les moyens d’expression politique, jusqu’à sa décadence, causée par son incapacité à gérer les problèmes nés de son expansion. En ce qui concerne les institutions

par le peuple de Rome (populus Romanus). Par cette définition, les tribuns et les édiles plébéiens ne sont pas techniquement des magistrats, puisqu'ils sont élus que par les plébéiens, plutôt que par tout le peuple de Rome (qui inclut aussi les patriciens)2. Les deux plus hauts rangs de magistrats ordinaires, les consuls et les préteurs, détiennent l’imperium (mot latin pour « commandement suprême »). L’imperium autorise un magistrat à commander des forces militaires. Les consuls détiennent un plus

déclare « Lorsqu’il revint de ce commandement de légion, le divin Vespasien l’admit au nombre des patriciens, puis le mit à la tête de la province d’Aquitaine, distinction brillante entre toutes par l’importance de cette charge et parce qu’elle laissait espérer le consulat, auquel l’empereur l’avait destiné. » En effet, Vespasien rappelle Agricola en 74 et, pour le récompenser, l’élève au rang prestigieux de patricien, qui lui confère de surcroît des privilèges religieux. La magistrature suprême, le consulat