Paul Valéry Intérieur

exprime des sentiments intimes au moyen d’images et de rythmes propres à communiquer au lecteur l’émotion du poète. • Les thèmes lyriques La poésie lyrique, par sa musicalité, ses mouvements, ses transports, ses effusions, exprime le monde intérieur, les goûts personnels, les émotions les plus intimes, les pensées les plus privées. Les grands poèmes lyriques voient leurs expressions nuancée à l’infini. L’amour C’est incontestablement le thème le plus fréquent de la poésie lyrique depuis

population: organismes, institutions, politiques de soins, professionnels. Biologie humaine (14h30) 1. L'organisation générale de l'être humain Les Biomolécules, la cellule, les tissus, organes et appareils 2. La fonction de nutrition Le milieu intérieur, la circulation sanguine et lymphatique, la digestion et l'absorption 3. Le maintien de l'intégrité de l'organisme La régulation de la glycémie La santé et l'organisation sanitaire et sociale en France (28h) 1. Santé et Etat sanitaire Le concept

partage d'expérience unique, qui permet l'exploration des sens et de l'esprit grâce à la notion du voyage. La lecture d' un poème est pour moi un façon de m'évader, de m'échapper du quotidien et de ses contraintes , de rêver tout simplement. Paul VALERY disait « le poème, cette hésitation prolongée entre le son et les sens » telle est l'émotion que la poésie me procure. J'ai choisi de traiter le sujet :« Rêver d'ailleurs » Le voyage à toujours été source d'inspiration pour les poètes même

libre suffit-il à apporter des preuves irréfutables ? Sachant que les sens et les ressentiments sont parfois trompeurs. Assurément, si la liberté est un terme qui suscite autant de réflexion et fait couler autant d'encre ; qui, comme le disait Paul Valéry est « l’un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens; qui chantent plus qu'ils ne parlent; qui demandent plus qu'ils ne répondent; de ces mots qui font tous les métiers », c'est bien qu'il réside une réelle difficulté, pas seulement

certains textes faussement prosaïques de Ponge[1], peut être tirée vers le poétique grâce à une exploitation du rythme conçu au sens large du terme, c’est-à-dire au-delà de toute restriction à l’univers musical. Ce que je nomme rythme, l’écrivain Jean-Paul Goux l’appelle allure. Belle dénomination qui invite à se représenter le maintien, le port élégant d’une personne, le déplacement gracieux du cheval ; quoi qu’il en soit, rythme ou allure impliquent la présence d’une vie dans l’écrit. C’est ce qui

le présent, nul et éternel, se trouve figurativisé par quelque chose que tient, qu’attrape pour un bref instant, la main de l’homme » (p. 61). Le temps a rejoint l’espace qui semble ainsi le fonder dans l’esthésie. Mon second exemple vient de Paul Valéry qui, penché sur l’analyse de la durée, écrit ceci dans ses Cahiers : « La durée est de la nature d’une résistance. L’homme qui soutient un poids à bras tendu, s’oppose à quelque chose. A quoi ? Non directement à la chute du poids – mais à la

dans leur vie et 9 millions consommeront des psychotropes. 2. Les mesures du bonheur a. Les approches conceptuelles permettant de mesurer le bonheur Une tentative de quantifier le bonheur se met en place, notamment via le concept de bonheur intérieur brut, la multiplication des études statistique qui tentent de rationnaliser, de quantifier le bonheur via un mélange entre l’accès à l’éducation, les inégalités dans la société, etc… b. La difficulté des approches statistiques Conclusion

De tout temps, les artistes ont eu pour projet de se confronter à notre propre réalité par l'intermédiaire de leurs oeuvres. Du moins ont-ils essayé car bon nombre d'entre eux se sont vite aperçus que la vérité de l'homme est imperceptible. Paul Valéry va d'ailleurs confirmer cette thèse dans son esssai La soirée avec monsieur Teste où il affirme qu'il est "impossible de recevoir "la vérité" sur soi-même". Ainsi, nous ne pouvons nous connaître parfaitement car lorsque nous croyons y parvenir,

alors considéré comme un maître par toute une génération de jeunes poètes. En 1886, le texte de Moréas présentait ainsi l'intérêt de cristalliser des préoccupations communes, tout comme le Symboliste, revue éphémère qu'il fonde la même année avec Paul Adam et Gustave Kahn. Mais cet épisode ne prend tout son sens que si on le replace dans l'atmosphère d'effervescence qui suit la guerre de 1870, époque de pessimisme historique après la défaite et les massacres de la Commune, et sentiment d'étouffement

XVIII siècle avec Rousseau et ils sont récupérés par les romantiques. On reconnait à l’auteur mais il y a une partie de fiction. Souvent, les auteurs écrivent la même matière romanesque parce qu’ils sont euxmêmes qui sont derrière. Le « monologue intérieur » a d’importance. Un autre genre est le journal intime et les mémoires. Les mémoires mélangent l’histoire personnelle et l’histoire politique comme c’est le cas de Chateaubriand avec les Mémoires d’Outre-tombe. La poésie est le grand moyen d’expression