Paul Verlaine L Angoisse

2 Sensibilité et résonance (Proust) 2 Le rire 2 Autres thèses 2 Illustrations et références 2 Exemples 2 Citations 2 Bibliographie 2 Sujets de dissertation 2 Documents et commentaires 2 Un peu de poésie 2 Charles Baudelaire 2 Arthur Rimbaud 2 Paul Verlaine 2 Nietzsche 2 Lautréamont 2 Le futurisme de Marinetti 2 Compléments théoriques 2 La philosophie de l’art de Platon 2 La philosophie de l’art de Kant 2 La philosophie de l’art de Hegel 2 La philosophie de l’art de Schopenhauer 2 La philosophie de

résonance (Proust) 39 Le rire 39 Autres thèses 39 Illustrations et références 39 Exemples 39 Citations 40 Bibliographie 41 Sujets de dissertation 41 Documents et commentaires 42 Un peu de poésie 42 Charles Baudelaire 43 Arthur Rimbaud 43 Paul Verlaine 44 Nietzsche 44 Lautréamont 45 Le futurisme de Marinetti 46 Compléments théoriques 46 La philosophie de l’art de Platon 46 La philosophie de l’art de Kant 47 La philosophie de l’art de Hegel 48 La philosophie de l’art de Schopenhauer 48

ainsi la délicatesse des sentiments et la dimension amoureuse qui correspondent à la fin’ amor de la courtoisie. Le poète dit sa fidélité à la dame à laquelle il doit obéissance, en utilisant les images de l’allégeance au suzerain. Il exprime ses angoisses et son bonheur ; il utilise la périphrase secrète (ici celle de « Bon Voisin » pour désigner celle qu’il aime) ; il laisse entendre un désir sensuel (v. 24) et l’expression d’une immense reconnaissance devant le don accordé par la dame (v. 21)

Robinson n’est plus prisonnier d’un temps qui est devenir et manifestation d’un désir jamais assouvi mais il voudrait retrouver l’éternité, la paix de l’être délivré de la temporalité : « Ce matin, debout avant le jour, chassé de ma couche par une angoisse lancinante, j’ai erré parmi les choses désolées par la trop longue absence du soleil ». La Vie « éternelle » La dernière forme de vie est celle du Robinson solaire : « La formule du roman pourrait s’écrire sous la forme d’une double équation :

par-dessus leur tête, les saisissait par le croupion. Nous y renonçâmes bientôt, en attendant le retour de l'oncle Jules si longuement emperpignané. 15 CE matin-là, mon père décida qu'il était grand temps de couper les boucles blondes du petit Paul, qui réclamait depuis longtemps ce sacrifice. « A l'école, disait-il, il y en a qui m'appellent la fille, et moi ça ne me plaît pas. » Il fut donc installé sur une chaise surmontée d'une petite caisse. On lui mit la serviette au cou, exactement

en renouvelant le sonnet mais également en donnant ses lettres de noblesse à la poésie en prose à travers le recueil intitulé « Le spleen de Paris ». Malgré cette richesse créative Baudelaire est un être tourmenté par l’ existence et traduit ses angoisses à travers la notion de spleen qui correspond à une profonde mélancolie mais qui se voit parfois dépassé par son antithèse à savoir l’idéal qui correspond notamment au poème « Elévation » que l’on retrouve en troisième position dans la section « spleen

est rassuré de voir incarner dans des personnages ses propres fantasmes de jalousie ou de persécution : le fait que ces personnages, à la fin, se trouvent vaincus, l’aident à trouver une issue pour lui-même. L’enfant exorcise ses pulsions et ses angoisses à travers de tels contes. 2. La fin du conte est triste (apprenant que sa jeune épouse est bien sa sœur, miraculeusement sauvée par des brigands, l’homme disparaît ; sa femme passe le reste de sa vie à l’attendre) et très poétique (on découvre la

yeux . . . . . . […] . . . . . .agréablement . . . . . . . . . . . . . . . . . .fl. attés . . . . . . . », .. «. élégants . . . . . . . . . . . », . . .«. .riches . . . . . . . ») . . . et . . .inquiétude, . . . . . . . . . . . . . . voire ...... angoisse . . . . . . . . . . . :. les . . . .termes . . . . . . . . .«. .laideur . . . . . . . . .», . .« . . bizarre . . . . . . . . . », . «. visages . . . . . . . . . .cartonnés . . . . . . . . . . . . .et . . .peints . . . . . . . .». .expriment ....

____________________________________________________________ ______43 Charles Baudelaire ____________________________________________________________ _____43 Arthur Rimbaud ____________________________________________________________ _______43 Paul Verlaine ____________________________________________________________ _________44 Niet zsche ____________________________________________________________ ____________44 Lautréamont ____________________________________________________________ __________45

nombre de ses textes. En 1859-1860, il fit à Paris une année scolaire primaire au lycée impérial de Napoléon (l’actuel lycée Henri-IV). Puis il revint à Étretat, s’adonnant aux plaisirs de l’eau à laquelle il allait toujours demander l’oubli de ses angoisses. Un prêtre, l’abbé Aubourg, lui donna des rudiments d’instruction. En 1863, sa mère l’inscrivit en classe de 6e à l’Institution ecclésiastique d’Yvetot, école dirigée par des jésuites. D’âme très peu religieuse, rationaliste et libertin, il étouffait