Paysages Tristes Verlaine

Français : Etude de : Le rossignol 1« Le Rossignol » est un poème extrait du premier recueil de Verlaine, « Poèmes saturniens » et de sa troisième section « Paysages tristes », dont il fait figure de dernier poème . Dans celui-ci, Verlaine reprend sa tradition « saturnienne » propre à l'ensemble de son œuvre . Tout d'abord, le texte est présenté sous une forme singulière puisque l'on ne distingue pas de strophes qui divisent le texte mais un simple point virgule en fin de 14e vers qui coupe

Verlaine - Poèmes saturniens NOTESSommaire1. Biographie de Verlaine et œuvres2. Courants littéraires et influences (général)3. ANALYSE D’ENSEMBLE : Présentation rapide de la structure du recueil (parties)4. ANALYSE DE DETAIL : Analyse approfondie des poèmes dignes d’intérêt de chaque partie5. Synthèse :a. Style de Verlaine (chanson grise, lien avec les influences,…)b. Thèmes (paysages verlainiens,…)6. Analyse de texte (commentaire composé)Biographie de Verlaine· Né le 30 mars 1844. Famille de petite

Paul Verlaine Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Après la démission de l'armée de son père, la famille Verlaine s'installe à Paris en 1851. Paul Verlaine suit des études secondaires en pension et devient bachelier en 1862, il renonce par la suite à des études de droit et entre comme employé à l'Hôtel de ville de Paris, en même temps qu'il fréquente cafés et cercles littéraires. Admirateur de Baudelaire, il s'essaie à la poésie

vais et tes larmes n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" je suis venu te dir'que je m'en vais tu t'souviens des jours anciens et tu pleures tu suffoques, tu blémis à présent qu'a sonné l'heure des adieux à jamais oui je suis au regret d'te dir'que je m'en vais oui je t'aimais, oui, mais- je suis venu te dir'que je m'en vais tes sanglots longs n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" je suis venu d'te dir'que je m'en vais tu t'souviens

« Clair de lune » : Introduction Paul Verlaine, poète du XIXème siècle, bien loin de se réduire à un seul courant artistique, oscillera entre le parnasse, le romantisme, le symbolisme. Le texte étudié est le 1er poeme de son recueil : Fêtes Galantes paru en 1869 dans lequel il s’inspire de paysages ou de scènes du peintre Watteau qui traduit la frivolité du XVIIIe siècle. C’est aussi à cette période qu’il rencontre Mathilde Mauté qui deviendra sa femme. Il espère qu’elle l’aidera à vaincre ses démons

LECTURE ANALYTIQUE 11 : « Clair de Lune » Paul Verlaine, Fêtes galantes Introduction : - Verlaine : poète de la fin du 19ème siècle, proche du Parnasse (théorie de « l’art pour l’art ») puis des symbolistes (exprime ses idées via des symboles plutôt que déclarations). Il est proche de Rimbaud ou Baudelaire « poètes maudits » - Recueil : 1869. Référence direct à Watteau peinture représentant des fêtes galantes dans un cadre bucolique mais teinté de mélancolie + référence au monde théâtrale

le titre de la section « Paysages tristes » des poèmes saturniens, avec exemples tirés de la section. En octobre 1865, Verlaine publie les poèmes saturniens juste avant la mort de son père. Le recueil se structure en quatre sections. A travers ces sections, l’auteur nous propose un long voyage et déploie une gamme de sentiments multiples. La troisième section est « Paysages tristes », composée de sept poèmes d’une tonalité mélancolique. La nature d’un paysage peut donner lieu à plusieurs

Paul Verlaine (1844-1896): Poète symboliste du 19ème siècle. Verlaine obtient son baccalauréat en 1864, s’inscrit en droit, mais c’est la poésie qui l’attire. À l’âge de vingt-deux ans, il publie à compte d’auteur les Poèmes saturniens (1866) et, en 1869, Fêtes galantes. Il rencontre Mathilde Mauté à l’âge de vingt-cinq ans et l’épouse en 1870. Le siège de Paris, les troubles de la Commune (1871), et la rencontre de Rimbaud en 1871 bouleversent sa vie : les deux poètes vivent une relation passionnée

l’artiste : Paul Marie Verlaine Date et lieux de vie : né à Metz le 30 mars 1844 / mort à Paris le 8 janvier 1896 Lieux de vie : Essentiellement à Paris Chanson d’automne fait partie du recueil de poèmes Saturniens publié en 1866. Il est le cinquième poème de la 3° section « Paysages tristes » Dans ce poème, Verlaine tente d’exorciser par sa musique, l’inquiétude de son âme. La tristesse est le sentiment majeur car Verlaine a peur de se

« Chanson d'automne » in Poèmes Saturniens, Verlaine Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte De-cà, de-là, Pareil à la Feuille morte. Si Verlaine se déclare saturnien, né sous une « Influence maligne », ce n’est point par jeu. En effet, il boit, peut être pour échapper à