PCR quantitative

maximum 2 µg dans chaque tube de la RT-PCR. Chaque échantillon d’ARN totaux est dosé par spectrométrie dans des UVettes. Pour cela, 1 µL de l’échantillon est dilué dans 49 µL de tampon TE 1X. Les absorbances sont mesurées à 260 nm et 280 nm permettant de calculer la concentration d’ARN en µg/mL. Chaque échntillon est dosé deux ou trois fois en fonction de la concentration calculée. Les résultats ontenus sont traités sur le logiciel excel. * RT-PCR ou Reverse Transcription (Kit High-capacity

de mon stage de 3ème année au sein d’un cabinet libéral dans une maison de santé local. Ce cabinet prend en charge tout type de patients (enfants et adultes) avec des pathologies diverses. Il s’agit parfois de prise en charge isolée (prise de sang, PCR) mais aussi de prise en charge durable (distribution des traitements, préparation du pilulier, réfection de pansement etc …). Les patients sont le plus souvent envoyé par le médecin traitant ou après un séjour à l’hôpital. Le cabinet est composé de

méthodes plus sensibles et spécifiques, par exemple par PCR[35],[36] De plus en plus de laboratoires utilisent aussi des techniques de biologie moléculaire : extraction de l'ARN viral du prélèvement, puis RT-PCR en point final ou RT-PCR quantitative. Ces techniques permettent un diagnostic assez rapide (moins de deux heures pour l'extraction suivie de la RT-PCR quantitative) et fiable, qui a l'avantage aussi de permettre un premier typage. La RT-PCR peut ensuite être complétée par un séquençage du génome

en mL, · Nombre d'unités pour des organes végétaux souterrains. Le volume de sol à analyser ne peut pas être inférieur à 100 mL. Schéma n°2 : Détection des kystes de nématodes Globodera spp. 27 V. La norme MA 039 relative à la technique Rt-PCR Détection de la bactérie Xyllela fastidiosa 1. Objet et domaine d'application La présente méthode a pour objet la détection de la bactérie phytopathogène Xyllela fastidiosa. Une analyse basée sur la technique moléculaire 5PCR en temps réel) utilisant

BUT: représenter sur la puce l’ensemble des transcrits d’un génome et pouvoir les identifier 2 types de sondes fixées sur le support solide intron exon ADN génomique du gène 1 ADNc Gene 1 Fragment spécifique complémentaire simple brin PCR (amplification d’un fragment codant spécifique) (obtenu par : -oligosynthèse - synthèse in situ (photolitographie) Chaque position sur la puce est connue Chaque dépôt contient des fragments spécifiques d’un seul gène. L’ensemble des gènes

chronicité. Diagnostic : Sérologie : test Élisa, séroconversion tardive (3 à 4 mois après) + test de confirmation diagnostic direct : test de détection d’antigènes PCR qualitative et quantitative Génotypage Prévention +++ : Pas de vaccination Prévention des AES, recommandation préservatifs Dépistage obligatoire IgG anti-VHC et PCR VHC : donneur de sang ou d'organes Traitement des hépatites chroniques : Interféron Ribavirine 6 mois à 1 an Hépatite B : Transmission materno-fœtale. Contamination

performance liquid chromatography i.p : intra péritonéale LRARVC: Laboratoire régional d’analyses et de recherches vétérinaires de Casablanca NSP : Neurologic Shellfish Poisoning PCM : Poste de sécurité microbiologique PCR : Polymereas chain reaction PSP : Paralytic Shellfish Poisoning PTXs : Pecténotoxines SAA : spectrophotomètre d’adsorption atomique STX : Saxitoxines US : unité souris YTXs : Yessotoxines Table des matières | Pages | Remerciements

toxicité n’a pas montré une spécificité satisfaisante pour remplacer les tests analytiques classiques. Un autre projet (Iteman I et al., 1999) a permis le développement d’outils moléculaires pour l’identification de cyanobactéries par amplification par PCR dont les résultats sont satisfaisants pour Microcystis et Planktothrix. On dispose ainsi d’outils qui devraient nous permettre de progresser dans la connaissance de la contamination du milieu hydrique par ces microorganismes. Une technique moléculaire

Nitrosopumilus β et γ- Protébactéries Crenarchaeota NO3Nitrite Oxidizing Bacteria nitratante Nitrobacter, Nitrospira, Nitrospina, Nitrococcus α et γ -Protéobactéries Autotrophes : fixation du CO2 Compétition avec les algues amo (PCR quantitative) Quantité d’AOB Risgaard-Petersen et al. 2004 Dénitrification Réduction dissimilative anaérobie NO3- γ- Proteobacteria Firmicutes Nitrate reductase NO2- Nar Nitrite reductase Nir K et S NO Nitric oxide reductase

mannitol-1-phosphate déshydrogénase MTDH: mannitol déshydrogénase PCA : acide perchlorique PCR : amplification en chaîne par polymérase PC : phosphatidyl choline PE : phosphatidyl éthanolamine PG : phosphatidyl glycérol PI : phosphatidyl inositol PPP : voie des pentoses phosphates PR (protéine) : protéine associée à la pathogenèse PS : phosphatidyl sérine ORF : cadre ouvert de lecture Q-PCR : amplification en chaîne par polymérase quantitative RMN : résonance magnétique nucléaire ROS : espèce activée de l‟oxygène SD