Peinture Baroque Illusion

dans son livre, il revendique aussi son originalité en parlant de «  nouveaux Caractères  ». Le succès de l’œuvre est dû à sa qualité, à l'originalité de sa structure, à son style brillant, mais aussi à la vérité de la peinture des mœurs contemporaines : Elle reflète les maux sociaux et culturels, et sait faire la critique de l'importance de la mode. En vrai classique, Jean de La Bruyère présente modestement son livre comme une simple imitation

s'oppose à l'art nonfiguratif (ou abstrait) • portrait, autoportrait, caricature • nature morte, vanité • paysage • scène (religieuse, historique, mythologique) Nature de l'oeuvre • • • technique avec laquelle l'oeuvre est faite on parle de peinture à l'huile sur toile par exemple ou de sculpture en bronze, etc. parler de la nature de l'oeuvre c'est aborder l'histoire des techniques, leur réalisation (difficulté, durée, possibilités offertes, coût) leur conservation et l'effet produit sur le

Balzac que « la mission de l’art n’est pas de copier la Nature mais de l’exprimer ». Cette conception de l’art est restée présente encore au XXème siècle et s’est propagée dans d’autres domaines que la littérature puisque Klee affirme également que la peinture « ne reproduit pas l’invisible, elle le rend visible ». De la même manière les poètes qui sont au XXème siècle les chantres de la modernité permettent à tous leurs lecteurs de saisir les crépitements de la vie moderne par le « boum-boum-boum » d’un

l’intermédiaire de Cicognini, voire par un scénario de Biancollelli ; d’ailleurs, l’influence de la commedia dell’arte sur Molière n’est plus à démontrer1. Cependant, on a négligé, semble-t-il, l’influence du modèle proposé par les grandes œuvres « baroques » du Siècle d’Or qui pourraient aider à comprendre la dramaturgie de Molière et le fonctionnement du protagoniste, si l’on veut bien s’appuyer, non seulement sur les œuvres écrites pour la scène, mais aussi sur celles de la fiction en prose - et

....................7 L'essor de la prose narrative (1530-1570)...............................................................................................8 La sensibilité baroque (1570-1650)........................................................................................................8 Contradictions du baroque, genèse du classicisme (1610-60).................................................................9 L'esthétique littéraire :..................................................

1630/40. Il a succédé à une époque baroque qui a été vaincue. La lutte contre le baroque a été poussée par Louis XIV et Richelieu, mais elle a compté sur l’amour de la culture française par l’ordre. Le triomphe du classicisme se développe en parallèle du cartésianisme. Louis XIV avait compris que son pouvoir ne pouvait s’établir que contre les Habsbourgs et l’influence espagnole était excessive dans les romans et dans le théâtre. Donc la lutte contre le baroque qui venait de l’Italie et surtout

littéraires ; le classicisme et le baroque. Axes de travail et de réflexion : - poétique de la rupture avec le classicisme, dans toutes ses composantes. - études des registres et du mélange des tonalités. - une mise en scène moderne. (DVD de Dom Juan – Daniel MESGUISH) Passages étudiés : 1 - Acte I scène 1 : exposition et poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde

piliers : les « périodes historiques », les six grands « domaines artistiques » et la « liste de référence » pour l’Ecole primaire ou les « listes de thématiques » pour le Collège et le Lycée. - Les « arts du visuel » : Arts plastiques (architecture, peinture, sculpture, dessin et arts graphiques, photographie, etc.) ; illustration, bande dessinée. Cinéma, audiovisuel, vidéo, montages photographiques, dessins animés, et autres images. Arts numériques. Pocket films. Jeux vidéo, etc. Ces domaines artistiques

maison dorée) construite par Néron et qui est couverte de motifs étranges. À la fin du XVe siècle, un jeune Romain tomba dans un trou sur les pentes de l’Oppius et se retrouva dans une sorte de grotte couverte de peintures surprenantes, d'où le nom de grotesques que l'on donna à ces peintures. En réalité c'était la Domus Aurea, qui était ensevelie. Au XVIe siècle et sans doute pour la première fois chez Montaigne le mot passe de l'art pictural à la littérature pour désigner la composition bizarre et

l’aventure, et il s’invente Dulcinée. Ainsi commence le roman de Cervantès. Après diverses mésaventures, Don Quichotte est ramené dans son village, d’où il repart très vite avec un écuyer, Sancho Panza. Les épisodes sur le même canevas se succèdent : illusion d’une aventure, déconvenue, explication farfelue. Giorgio Agamben écrit : «  Que faire de nos imaginations ? Les aimer à y croire jusqu’au point de les détruire, de les falsifier. Mais ce n’est que quand elles finissent par se révéler vide et inexaucées