Peintures noires

En 1978, Keith Haring décide de partir vivre à New York, capitale des arts où l’effervescence qui y règne est unique.  Les   début   à   New‐York  Le style  « Haring»   et la   notoriété  Il s'essaie à des disciplines telles que le collage, la peinture, les installations, la vidéo, etc., mais son mode d'expres‐ sion privilégié demeure le dessin. À New‐York, il rencontre des musiciens, artistes performers et graffeurs.    Il découvre la culture des années 1980 qui développe son expression sur de nouveaux  

et mieux exploitée : l'ensemble est franchement réussi, et mérite à coup sûr la place d'honneur d'un frontispice. Il a par ailleurs donné lieu à une reprise en bronze en 1971. Jean-Charles Gateau explique dans son indispensable Paul Eluard et la peinture surréaliste (Droz, 1982, pp.296-298) ce qui a pu se passer pour qu'un dessin remplace ainsi l'autre : « Un dessin de Man Ray, daté de 1936, représentant une femme nue et géante allongée sur le pont d'Avignon a paru en 1937 dans la revue franco-américaine Transition

au cycle lunaire pour dévoiler au travers d’un moucharabieh un collage en continuel flottement. Douze collages se succèdent et se renouvellent à partir d’une banque de données d’éléments graphiques sur un cycle annuel. Le moucharabieh, tel un voile noir, laisse transparaître par ses ouvertures des semblants de paysages en suspension animés par de subtils mouvements. Des bribes de papier chutent perpétuellement donnant une vision déconstruite et vertigineuse du paysage. Les formes de découpe du moucharabieh

croix de bois, de Roland Dorgelès) Affiche du film Les sentiers de la gloire, de Stanley Kubrick, 1957 Adapté du roman de l'américain Humphrey Cobb, Les sentiers de la gloire de Stanley Kubrick est un classique du cinéma américain. Réalisé en noir et blanc en 1957, le film est un pamphlet anti-militariste qui revient sur le sort qui fut celui de certains mutins durant la Grande Guerre. Il sera longtemps interdit de projection et de diffusion en France. Le cinéma français a également mis

être assimilé à un bâillon. III – Ce tableau est une allégorie (notion concrète d’une abstraction) Cette allégorie représente l’Espagne qui souffre. 1 – L’Espagne qui est fracassée par Franco Couleurs de l’Espagne, et du taureau. Jaune rouge et noir or. 2 – Lien avec Guernica On peut voir dans les pupilles, l’image du bombardier. Le lyrisme s’articule avec l’engagement, toute fois cette idée n’est perceptible qu’avec une critique extérieure et un contexte historique. IV – Une portée universelle

est américain, qu’il revendiquait l’ « Action painting », technique propre à l’expressionisme abstrait, courant dont il faisait partie. Sa technique personnelle consistait notamment à faire couler de la peinture (dripping) le long d’un bâton sur une toile blanche posée à même le sol, la peinture se pliant alors aux exigences du corps et de ses mouvements. Rajoutons encore que Pollock a permis à la fois l’unification et le dépassement de traditions picturales telles que le cubisme, le surréalisme

1960, mort à New York le 12 août1988. D'origine haïtienne et portoricaine, il grandit dans un milieu bourgeois. Il est scolarisé dans une école privée religieuse, mais en sera exclu pour indiscipline chronique. S'il endosse l'uniforme de l'outsider noir, sa vie n'a que peu de rapport avec ce qu'il veut bien en laisser paraître, mais qui est le lot quotidien d'une grande majorité de ses compatriotes noirs. Il commença donc comme artiste dans les rues du Bronx, à New York, peignant des graffitis, tags

faire ce travail les élèves ont besoin d'une reproduction schématique du tableau et du questionnaire ci-joint. L'objectif de cette séance est l'étude du renouveau de la peinture à la Renaissance, ainsi que l'étude des méthodes utilisées par les artistes pour construire leurs œuvres. Une comparaison avec une, ou des, peintures du Moyen-Age sur le même thème, parfait cette séance. Il est aussi possible d'aborder l'architecture en détaillant le monument situé à l'arrière plan du tableau. Humanisme

Ayant identifié en Gilbert Sinoué, comme beaucoup d’autres avant moi, un auteur de talent, c’est avec des attentes exigeantes que j’ai ouvert «L’enfant de Bruges», et je vous avoue que celles-ci n’ont pas été déçues. Je dirais même que c’est dans le récit historique que l’auteur atteint toute sa dimension. Gilbert Sinoué nous présente une magnifique fresque historique du XVe siècle, gravitant autour de deux hauts lieux des arts picturaux de l’époque : la Flandre et Florence de la renaissance

Le corps dans l’art De Vénus à Olympia, Du corps idéalisé au corps moderne De la peinture de Botticelli à sujet mythologique qui signe le retour du nu profane dans l’art et s’inspirant d’une statue antique, à l’Olympia de Manet, en passant par la Vénus d’Urbino de Titien : Cf. le texte de Daniel Arasse distribué en cours, De Manet à Titien. On trouve même des réminiscences de la posture de Vénus, véhiculées de manière inconsciente par les modèles de la série photographique de Rineke Dijkstra,