Péjoratif

portrait extrêmement péjoratif de Don Juan. Dans une de ses envolées verbales, Sganarelle affirme que Don Juan est le « […] plus grand scélérat que la terre ait jamais porté » (l. 57-58). En traitant son maître de scélérat, Sganarelle dresse un portrait très peu enviable de son maître. Non seulement le valet de Don Juan est supposé tenir le secret qui l’unit à ce dernier, mais il est censé le respecter puisqu’il est son subordonné. En utilisant un vocabulaire aussi péjoratif et en employant une hyperbole

superstition, ne correspond pas à la tradition de la tragédie grecque, dont les héros sont nobles et dignes. ici B est négligée : voca péjoratif, « sans avoir l’air de se considérer dans l’obligation d’avoir du goût » n’a pas de goût, Aurélien a l’air condescendant, hautain« Cheveux ternes, mal tenus » « blonde ou brune » : couleur indéfinissable, flou, non soigné, péjoratif« Ce jour-là » : pas toujours le cas : n’est pas à une laideur constante « Cheveux coupés » : signe de rébellion, modernité ? “ça”

Introduction I) Portrait du personnage A. laideur du personnage Dans la description, il y a des éléments péjoratifs qui ressortent comme l’animalité, utilisation de figures de style : comparaison : « grand comme un pongo » (v.5), métaphore : « tanière entrebâillée de ses souliers » (v.17), « affamé » (v.7), il a faim, renvoi à l’animalité. Le personnage nous est montré comme un animal. Le personnage est courbé moralement et physiquement. Il a un physique démesuré : faute de gout, faute pour

pierre, serpent à plumes ==) description physique + matériau Fonction : un de leurs dieux, Quetzalcoatl, idole, adorent, temples= endroits où elle se trouve ( cf champ lex de la religion ), la sculpture aztèque ==) divinité indienne Termes péjoratifs de présentation : terriblement menaçante ( avec le modalisateur adverbe qui accroît intensité de la menace), sculpture violente, monstrueuse même, horreur du monde ( avec hyperbole), monstre à nv employé. 3 Trsformation ptt à ptt en examen

dans le sonnet de Baudelaire. Ici, elle évoque également une souffrance physique puisque nous sommes sur la vision des aveugles. De ce fait, l'énumération et cette description sont fortement accentués puisque on appuie sur des mots forts et très péjoratif. Ils sont donc énormément mis en valeur. En second lieu, nous pouvons voir que De Ronsard, utilise le champ lexical du corps «os» «squelette» v1, «bras» vers 4, «oeil» vers7, «corps» vers 8, «yeux» vers12. Ce champ lexical va alors appuyer sur les

très pauvrement avec des vêtements de paysans « sa casquette à la mode de Rouen, en soie noire, très haute, pareille à celle des marchand de boeuf ». Ensuite leur aspect physique proprement dit : Dans cet extrait Maupassant utilise du vocabulaire péjoratif , notamment pour décrire la mère de Georges Duroy « La vieille se remit la première » L 5 ; « la femme,grande,sèche,voûtée,triste,la vraie femme de peine des champs qui a travaillé dès l'enfance » mais aussi pour décrire le père de Duroy « L'homme

"assassiner", "tuer", "châtrer", "fouetter" å Discrédite ses propres propos Répétition "tous" extermination, massacre généralisé (importance des chiffres dans le 1er paragraphe) ž Folie, délire exterminateur Ù Vocabulaire å Protestants (péjoratif ) "prédicants", "huguenots", "hérétiques, "imbus de mauvais principes", "ennemis" ž HAINEet MÉPRIS å Catholiques (mélioratif) "bons catholiques" è Esprit manichéen ; divise le monde en Bien et Mal Ù Raisonnement : en deux temps, tou Ù Contexte

d’une plaine enneigée - comparaison entre « les chênes » et « nuées » -> insiste sur l’atmosphère sombre et opaque : atmosphère d’hiver. - « buées » et « nuées » placé à la rime + diérèse : insistance - « poussive » et « maigres » vocabulaire péjoratif -> insise sur le fait que les conditions de vie des animaux en hiver dures. 2) Un paysage flou - La lumière n’est pas vive : atténuée - image du sable affadit la luminosité - lune caché par les nuages : pertes de luminosité : personnification

n'est plus un bébé. un grand garçon : flatterie adressée à un petit enfant ; trait d’humour désignant un homme mûr plutôt fragile. un jeune garçon : un adolescent. un vieux garçon : synonyme de célibataire. un brave garçon : homme bon; au sens péjoratif : gentil, mais peu dégourdi. un mauvais garçon : homme peu honnête Notons aussi la garçonne, terme popularisé entre les deux guerres mondiales, d'après le roman éponyme de Victor Margueritte, d'où le sens de « jeune fille espiègle dont le caractère

représentée par le flambeau amène vers la vérité, elle éclaire la raison contre la sottise et le mensonge. La raison permet de dissiper les préjugés. · « de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges » (l.4) = énumération de termes péjoratifs + champ lexical de l'ignorance et de l'injustice · Définit le monde qu’Olympe de Gouges rejette. Comme les Lumières, elle souhaite combattre l’ignorance et les injustices.- « L'homme esclave » (l.6), « briser ses fers »