Pénitence

 tout ce qui pèse. Trepas : Passage de la vie à la mort, décès. Fagot : Assemblage de menu bois lié par le milieu. Mesirecorde : Grâce, pardon. Prompt : Qui se produit rapidement. Austere : Sévère pour soi-même, rigoureux, qui a un caractère de gravité. Penitence : Punition, châtiment d'une faute. Funeste : qui porte malheur Superflus : Qui est de trop, inutile. Ramée : Branches coupées avec leurs feuilles vertes. Repentir : éprouver du regret des fautes qu'on a commises. Gages : Salaire payé aux domestiques

textes saints. L'Eglise et le clergé ne sont que des intermédiaires, leur influence et leur autorité sont remises en cause. Il n'y a plus que deux sacrements au lieu de sept (les seuls sacrements sont le baptême et l'eucharistie; le mariage, la pénitence, l'ordination, l'extrêmeonction et la confirmation ne le sont pas). Enfin, l'existence du purgatoire est niée, le culte de la vierge et des saints est refusé, le célibat des prêtres n'est plus imposé. La justification par la foi Sola fide Sola

rebeller contre les régents et les membres les plus importants de la noblesse. L'indignation de la population contraint le roi et son frère, le duc d'Orléans, qu'un chroniqueur contemporain accuse de tentative de régicide et de sorcellerie, à faire pénitence suite à l’évènement.L'épouse de Charles, Isabeau de Bavière, avait organisé le bal en l'honneur du remariage de l'une de ses dames de compagnie. Les universitaires considèrent qu'il pourrait s'agir d'un charivaritraditionnel, au cours duquel les

l’attente du Jugement dernier annoncé par les Evangiles : à l’occasion de ce Jugement, les bons iront au paradis et les mauvais en enfer. Tout au long de sa vie, le chrétien cherche donc à obtenir le pardon de ses péchés. Dans ce but, il fait pénitence et se rend en pèlerinage dans les grands sanctuaires où sont édifiées des églises romanes ou gothiques (St-Jacques-deCompostelle en Espagne où serait conservé le corps de l’apôtre saint Jacques ; Rome où serait le corps de saint Pierre ; Jérusalem

sont : -de punir une personne reconnue coupable d’une faute d’une certaine gravité -de protéger la société des personnes dangereuses -de décourager les gens de commettre des actes interdits par la loi -d’oblliger le détenu à faire pénitence,en le forçant à poursuivre des études ou une activité destinées à le réinsérer ou le réhabiliter -de neutraliser les opposants politiques -d’empécher des prévenus de prendre la fuite ou de compromettre leur futur procès , on parle alors de

vie, les fidèles ont des obligations à accomplir, définies en 1215 par le Concile de Latran. Sacrément de pénitence et de communion une fois par an au moment de Pâques ; ils devaient connaître les 3 prières fondamentales : Ave maria, Pater noster, Credo ; et enfin messe tous les dimanches et les jours de fête. Enfin il devait pratiquer le jeûne et l’abstinence pendant les périodes de pénitence. L’Eglise est très présente dans la vie quotidienne. 2. L’assistance aux pauvres et aux malades

prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté. En revanche, tout chrétien doit conformer son alimentation à certaines restrictions, qui ont pour but sa pénitence, c'est-à-dire finalement son salut. 1)    Jeuner pour obtenir son salut Le jeûne est fort ancien dans le christianisme. Il s'agit d'un acte de pénitence, que l'Église peut d'ailleurs imposer aux fidèles qui ont commis de graves péchés. Il est obligatoire lors des périodes de préparation aux grandes solennités religieuses

intermédiaires. Même tous les curés ne disposent pas d’une bible. Culte se fait par les prières, psaumes. Les laïcs se calquent sur les clercs. La vie religieuse s’établit par le baptême, la pénitence. Le chrétien doit se confesser au moins une fois par an. Avec le 13ème siècle la communion et donc la pénitence deviennent + fréquentes. Les habitants des villes peuvent faire partie d’une confrérie, où se faire confesser par des religieux mendiants. La communion est + rare, et la messe est une obligation

cours de la vie. A sa mort, le chrétien doit subir un jugement qui décide de son sort. A partir du XIIème siècle, l’Eglise catholique crée le purgatoire (entre le paradis et l’enfer), où ceux qui ont commis des péchés peu graves peuvent, en faisant pénitence, atteindre le paradis. Dans cette quête perpétuelle du salut, le chrétien vit sous la peur de l’enfer. Il doit sans cesse lutter contre ses vices et résister aux tentations. Son seul allie dans ce combat est l’Eglise. Dans la chrétienté occidentale

cendres sont le principal symbole de ce conte, et donnent son nom à l’héroïne, qui passe son temps à les remuer et à nettoyer la poussière. La cendre symbolise la fertilité, la renaissance (le Phénix renaît de ses cendres), mais aussi le deuil, la pénitence (« tu es poussière et tu retourneras en poussière »). Ici, nous pouvons y voir la symbolique de la hiérarchie sociale, les escaliers étant également l’un des éléments principaux du conte…Cendrillon part de rien, gravit les marches de l’ascenseur