Pensée latérale

ironisant sur les utopies : La Ferme des animaux (1945) et 1984 (1948). Résumé : L’œuvre 1984, nous retranscrit un monde totalitarisme dans lequel on suit la progression de Smith Winston qui se transformera au cours du roman en un criminel de la pensée. George Orwell nous dépeint ici une société terrifiante, organisée en trois grandes puissances mondiales l’Eurasia, l’Estasia et L’Océania qui a pour capitale Londres. Winston vit en Océania sous la dictature du parti. Celui-ci est commandé par un

Propre Extrait 1 ajouté au roman Je devais me lever et presser le pas à m’activer aux tâches matinales. Malgré moi, je ne trouvais pas le courage nécessaire pour à peine sortir le petit doigt des chaleureuses couvertures. La chaleur du corps cordial endormi m’enlaçant, m’animait et je ne pouvais penser une seconde à le quitter. Cette horrible souffrance, ce supplice qui me tenaillait chaque instant où il n’était pas à mes côtés était comparable au froid transi qui régnait. Ce sentiment où nous

conscience réfléchie = perception que l'on a de soi même en train de faire ou dire quelque chose, on se perçoit soi-même comme percevant prise de conscience = moment, instant, où une chose extérieure au sujet devient subitement une idée dans la pensée du sujet, alors que cette chose était jusque là inaperçue par le sujet, idée de changement, modification, apparition de quelque chose de nouveau, idée de perception subite réalité = le monde qui nous entoure et les faits tels qu'ils sont, tels

recours aux organes des sens, ce sont les halllucinations psychiques. C’est une pensée ou une déformation de la pensée que le sujet ne reconnais pas comme sienne. La personne a une impression d’intrusion à l’interieur, une sensation de prise de contrôle de ses actes ou de ses pensées. * La discordance ( troisième symptôme) Synonyme de bizarrerie, elle s’exprime dans les propos la conduite , l’expression des pensées , la relation ou la présentation. C’est l’inadéquation entre l’attitude et la

« Tous les hommes recherchent d’être heureux ; cela est sans exception ; quelques différents moyens qu’ils y emploient, ils tendent tous à ce but. » d’après les Pensées de Pascal. Chacun veut être heureux, mais comment y parvenir ? La notion de bonheur varie d’un individu à un autre, en fonction de sa nature et de son environnement et même d’un moment à l’autre selon son vécu et ses aspirations. Certains pensent pour être heureux afin de construire leur bonheur et de l’entretenir : Avoir un

La Vérité (Texte mis à l’étude Les Seconds Analytiques, Tome IV d’Aristote) * 1°) Aristote nous transporte dans sa logique, en effet il nous convainc par ses arguments et ses exemples. Par sa pertinence il défend et pense que la démonstration est lieu de raisonnement de la nécessité, il évoque dès lors que la démonstration est une forme de syllogisme (expérience de la vérité, se présentant sous la forme de l’incontestable) grâce à son exemple qui prends en compte plusieurs raisonnements

philosophiques et scientifiques et nous profitons encore aujourd’hui de cet héritage pour enrichir et améliorer notre pensée. Cette continuité de la connaissance nous permet alors de nous interroger : Peut-on apprendre à penser par soi-même ? « Apprendre » peut s’entendre en plusieurs sens. On peut apprendre pour acquérir des connaissances comme le ferait un individu pour construire sa pensée mais on peut également apprendre pour faire acquérir des connaissances ou une capacité comme lors de la relation

quasiment dès la naissance tout ce qu’il est. Cet écart de soi à soi conduit l’homme à réfléchir sur lui-même, sur sa condition dans le monde et au milieu des autres, et à se transformer. Il semble que le propre de la pensée soit d’être réfléchie, c’est-à-dire consciente d’elle-même. La pensée est plus sure de sa propre existence que l’existence des choses extérieures dont il m’est possible de douter : doute méthodique de descartes. Cette certitude indubitable révèle la singularité de la conscience par

occupé à cacher la bosse qui se profile sous son pantalon. Daniella, sur un dernier déhanché à faire pâlir la plus souple des contorsionnistes, disparaît au coin d'une rue et laisse nos amis à leurs profondes réflexions... Analysons maintenant les pensées de chacun d'entre eux. Michel se dit « Putain, elle est trop belle... Elle m'a souri... Est-ce que ça veut dire que j'ai une chance ? Non, non, c'est impossible, je suis pas assez bien pour elle... Putain, pourquoi j'ai pas une fille comme ça près

Camille Guilliams Le 25 novembre 2012 Rédaction : Ecrire à la manière de… Montesquieu « Les blancs sont merveilleux. » Aziz à Modji, de Bruxelles. Mon cher Modji, me voici arrivé. Si tu savais comme les blancs sont merveilleux. Je te poste ma cursive d’une ville où les sourires font