Pensée latérale

Devoir de Philosophie La vérité est-elle relative ? La vérité est l'objectif qui vise la pensée quand elle prétend être une connaissance et, de façon classique, on la définit comme « l'adéquation de l'intellect et de la réalité »; elle n'est donc ni dans l'esprit ni dans la chose mais dans les deux. La vérité est donc le caractère du jugement ou du discours et la relativité c'est ce qui est propre à chacun. Donc nous allons nous demander si le caractère ou le discours est susceptible d'être

Hume confirme cette vérité générale en nous invitant à distinguer deux sens de la vérité. Le premier est logique. Est vrai ce qui n'est pas contradictoire. L'important est alors de savoir bien raisonner a priori. Le second concerne l'accord de la pensée avec le réel lorsque nous affirmons qu'une chose existe ou n'existe pas. Dans ce cas, il faut nous fier à l'expérience. Hume est soucieux de montrer la spécificité de ce dernier type de connaissance. Quels sont ses arguments et quels sont les enjeux

défend fermement. Mais, si on s’enferme sur l’ancien schéma à savoir école catholique pour catholiques, et qu’on ne s’occupe que d"’eux, les autres n’entendront plus parler de Jésus-Christ car notre énergie sera mobilisée par les chrétiens. Si on pense respecter les consciences en ne s’occupant que des non chrétiens, en ne se contentant que de quelques temps forts, sans propositions sacramentelles, sans catéchèse, se seront les chrétiens qui ne seront plus nourris et chercheront alors à partir. De

changeant en admiration »l.42. • A la peur et au silence : « Qui se considérera de la sorte s’effrayera soi-même » l.39 ; « il tremblera dans la vue ce ces merveilles », l.41 ; « il sera plus disposé à les contempler en silence », l.43. Ainsi la pensée humaine est considérée comme imparfaire et limitée, elle permet à l’homme de prendre conscience de ses limites, mais ne peut aller au-delà: «Qu’il épuise ses forces en ces conceptions » l.24 ; « Qu’il se perde en ces merveilles » l.34. Cette impuissance

Question 1A 2012 (LCHL) Expliquez pourquoi les jeunes en Irlande ont beaucoup de raisons d’être heureux ? Au premier coup d’œil c’est peut être facile de penser qu’à cause de la récession les jeunes en Irlande n’ont aucune raison d’être contents. Réflexion faite, je dois avouer que les jeunes en Irlande ont plusieurs raisons d’être heureux. Premièrement, il va sans dire que par rapport à l’époque de nos parents on a beaucoup de confort dans notre vie quotidienne. On a un tas de machines à notre

nature sont en partis des habitudes, comme des expériences que l’on réalise sans arrêt afin d’aboutir à une découverte. Ceux-ci nous font interroger sur les causes de l’existence. Donc ce qui nous n’empêchera pas de croire le pourquoi du comment. Comme pense Monod, cette création du monde vivant ne peut qu’être du au hasard. Que tout est organisé en fonction d’une fin et que ce n’est pas une « intelligence » qui aurait pu organiser ainsi. On peut penser donc que l’intelligence qu’ont les Hommes amène de

spontanée et subjectif. La réflexion, au contraire, implique un effort à travers lequel nous cherchons à mettre en relation les représentations qui nous permettent d’exprimer les rapports qui existent entre les choses dont nous parlons. Comment une même pensée peut-elle, à la fois, s’imposer spontanément à l’esprit et être le résultat de sa réflexion ? b) Difficulté. En effet, le sentiment à travers lequel je prends conscience d’être vivant n’est pas un sentiment ordinaire. Comme il ne se manifeste

l'intérieur, je dispose d’un pouvoir absolu, je suis maître de mes représentations, «il n’y a rien qui ne soit en notre pouvoir que notre pensée», contrairement à la «fortune», expression de l’ordre du monde, hasard heureux ou malheureux qui ne dépend pas de moi. Or le désir est une pensée, on peut donc en conclure que le désir est modifiable, comme tout produit de notre pensée consciente : à défaut de pouvoir agir sur ce qui nous fait souffrir, nous pouvons agir sur nous-même. Si le désir ne peut être anéanti

si elle se caractérise par sa différence et son caractère autre ? Ainsi, l’ethnologue Lévi-Bruhl (1857-1939) dans La mentalité primitive (1822), montre que la mentalité des primitifs se caractérise par un ensemble d’habitudes mentales qui exclut la pensée abstraite et le raisonnement : les primitifs ont une culture qui peut se caractérisée comme prélogique (tout ce qui survient procède de puissances occultes ou surnaturelles) à la différence de la nôtre qui intègre une démarche logique et rationnelle

songent plus qu’à s’entre-tuer. Ils s’emparent par la violence des femmes de leurs parents ou de leurs amis.] Alain Decaux raconte La Bible aux enfants [Le Seigneur vit que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre, et que toutes les pensées de son coeur se portaient uniquement vers le mal à longueur de journée. Le Seigneur regretta d’avoir fait l’homme, et de l’avoir mis sur la terre : il s’en affligea et il dit : « Je vais effacer de la surface du sol les hommes que j’ai créés –et,