Pensée unique

— NATURE DE LA PENSÉE La nature de la pensée peut être étudiée de deux points de vue : du point de vue de la conscience qui est la connaissance ou du point de vue de la forme au moyen de laquelle la connaissance s'obtient, forme qui, par son aptitude à subir des modifications, rend possible l'obtention de la connaissance. Cette possibilité a conduit, en philosophie, à deux extrêmes qu'il nous faut éviter, car chacun d'eux ignore un des côtés de la vie manifestée. L'un voit de la conscience dans

convenable ? Car en effet, suis-je certain de mon existence et de mon unité en tant que sujet ? En effet, en tant que sujet je me définie par la conscience aussi bien de moi (conscience réfléchie) que des objets (conscience spontanée); la conscience de ma pensée, de mes actes et de mes sentiments. Or quand je dors, je ne suis pas conscient. Il ne serait donc pas totalement absurde et bien au contraire d'admettre qu'en l'instant même ou je dors, ma conscience m'échappe, et que puisque je suis défini par la

totalitaire dans un contexte soulevant de la fiction. Pour répondre à cette problématique nous nous appuieront sur l'analyse de 1984,célèbre contre-utopie d' Orwell. Orwell y propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et de la prolifération de la technocratie. 1) Présentation de l'auteur Eric Blair qui utilise Georges Orwell en guise de pseudonyme, est né au Bengale en 1903. Né d'un père fonctionnaire de l'administration des Indes,il s'orientera vers des

». Chaque personne sur Terre est unique et chacune d’elle perçoit son environnement de manière différente. Chaque société possède sa mentalité et c’est cela qui la distingue des autres. Le niveau de connaissance des gens est différent et leurs pensés sont elles aussi dissemblables. Ce sont les valeurs des gens qui définissent leur point de vue et les valeurs ne sont pas toutes communes à tous les humains. Tout ceci vient justifier que chaque être humain est unique et qu’ainsi leur perception du réel

conscience, se qui les rend unique ils sont tous différent des uns des autres. L’homme possède la raison contrairement à l’animal. Le plan est structuré en 3 parties. Dans la première phrase, Kant affirme que le Je est un pouvoir qui permet à l’homme d’être au dessus des autres êtres vivants. Dans la deuxième partie, de « Par-là » à « l’entendement », Emmanuel montre que chaque homme est entièrement différent selon plusieurs facteurs mais aussi par l’expression du Je par la pensé ou la parole. Dans la

imbriqués les uns dans les autres, l’auteur ne cessant de jouer avec l’ambigüité des genres. Dans ce roman, le narrateur est atteint d’une maladie littéraire, le mal de Montano, une obsession de la littérature allant jusqu’à le déposséder de sa propre pensée. Le passage se situe dans la ville de Budapest, où le narrateur donne une conférence sur la littérature et ses auteurs. Cette conférence n’est qu’un prétexte pour revenir sur l’ensemble du récit, et sur les idées critiques à propos de la littérature

possibilités. On constate ça dans les usines travaillant à la chaine. Chaque individu est cantonner à effectuer une tâche sans jamais en changer. Bergson a démontré que le passage de l'action spontanée à l'action automatique marque c’arrêt de toute pensée même s'il ne peut être une machine du fait de la présence de la conscience en lui, mais qui peut être potentielle ou irréfléchie. Cependant Descartes fait de l’homme une personne capable de pensser,qui possède une identité, une personnalité parfaitement

sens unique, car il y a une fracture logique qui les sépare. Entre le monde réel et les mondes fictionnels, il n’y a pas d’interaction physique. Mais, y a-t-il des interactions psychologiques ? Ne peut-on pas ressentir des émotions vis-à-vis d’une fiction ? Pour Walton, il n’y a pas non plus d’interactions psychologiques entre les deux mondes car émotions ressentis, sont des « quasi-émotion ». Pour interagir avec un personnage fictionnel, il nous faut rentrer dans la fiction. Lamarque, pense le contraire :

de s'étonner des réalités qui l'entourent. En tant qu'être humain, plusieurs réalités peuvent être perçues : les productions naturelles, inconscientes, allant du chant du rossignol à l'érosion de la pierre, et les productions humaines, nées d'une pensée et servant un intérêt commun comme l'irrigation d'une culture ou l'exploration spatiale. Et cette fonction de créer des outils est une nécessité pour l'homme ; il n'a pas survécu aux trépidations naturelles grâce à une fonction physique et naturelle

L'Homme est une conscience constituante du monde, il est donc unique parmi les autres êtres. (anti-thèse) A. Une liberté acosmatique. (= qui n'est pas de l'ordre du cosmos donc qui n'est pas limité par des éléments matériels) - l'homme est capable d'imaginer, c'est-à-dire de créer et de reproduire des images par la simple pensée ex : imaginer un paysage, reproduire un paysage que l'on a vu ou en créer un que l'on aimerait voir par la pensée B. Des principes par la raison. - l'homme est le seul être