Pensée unique

concevoir le néant. I. Analyse cartésienne D’après DESCARTES l’homme est « comme un milieu entre Dieu et ce néant » (Les Méditations métaphysiques, §4). Pour lui, la seule et unique vérité première, universelle, est : Je pense donc je suis (en latin cogito ergo sum). L'être, selon Descartes est indissociable de sa pensée : pour penser, il faut être, car si l'on n'est pas, il nous est impossible de penser. S'il n'est pas, il appartient au néant. Le modèle admis et vérifié « Rien ne se perd, rien

différent des autres êtres vivants ? Voilà des questions qui soulèvent le problème de la spécificité humaine. Nous examinerons ce problème à la lumière des conceptions rationaliste et marxiste. Le rationalisme cartésien considère l’être humain unique en son genre car il est le seul à posséder la raison. Par contre, Marx définit davantage la spécificité humaine par le travail, l’activité de production. Nous comparerons ensuite ces conceptions pour démontrer que les deux s’entendent pour reconnaître

état. Elles existent de manière unique, inactive et stable : il suffit donc de les observer une seule fois pour les connaître entièrement. L’homme lui serait différent, il mène une double existence car premièrement il appartient à la nature, donc comme les choses naturelles il existe mais ensuite, il est « pour soi », c'est-à-dire qu’il est capable d’émettre une réflexion sur lui-même et de se représenter lui-même dans cette nature grâce au travail de sa pensée. Au moment où il se représente,

Son passé historique, social et culturel l'a beaucoup influencé dans sa réflexion, tournée vers l'activité politique, le totalitarisme et la modernité. Elle assiste notamment au procès d'Eichmann en 1964 pour juger des crimes de l'humanité, ses pensées étant tournées vers les causes morales et politiques du nazisme ainsi que sur la « banalité du mal ». Dans « Condition de l'homme moderne » Hannah Arendt nous invite à réfléchir sur l'originalité de notre époque et nous montre par l'examen des trois

Avoir conscience de soi, c’est avoir conscience de notre propre existence, et le savoir. Comme le dit Descartes dans ses Méditations métaphysiques, « cogito ergo sum » (je pense, donc je suis) ; le sujet existe, et il sait qu’il existe, il sait aussi qu’il sait qu’il existe et il le pense. Cette célèbre conclusion du philosophe est le résultat d’une profonde réflexion sur les sens au moyen du doute. En imaginant qu’un esprit malin l’abuse sur ses sens, il conclut qu’il existe.

Sujet: Peut-on penser par soi-même sans se soucier de ce que pense les autres? J'ai une activité intellectuelle donc je pense, de là je constate mon existence, « Je pense donc je suis ».Mais je constate également qu'il existe en moi une capacité de réflexion sur moi-même, et donc je pense par moi-même. Suis-je pour autant seul dans ma pensée ? Non ! Je suis un être social et donc je vis avec autrui, avec lequel je me confronte afin qu'il me reconnaisse. Peut-on toujours considérer l'homme, substance

soit une position particulière d’un sujet dans l’espace, c’est à dire un lieu duquel l’on observe, soit une opinion, un jugement personnel sans fondement. Dans les deux cas, celui-ci semble dépendre d’un sujet pensant qui perçoit le monde d’une façon unique et subjective. Or la vérité peut être définie comme une valeur incontestable et universelle qui repose sur des principes valables pour tous. Celle-ci ne dépendrait pas d’une position mentale ou spatiale particulière d’un individu mais d’une réalité

La langue est indissociable de la pensée, or le mode de pensée n’est-il pas soumis, n’est-il pas sous l’emprise, l’influence d’une culture ? Et vu la pluralité de ces cultures, la langue universelle est-elle vraiment possible ? Cependant ne pourrait-on pas faire l’hypothèse d’une langue qui dépasserait les codes établis par les conventions sociales des cultures ? I. Première Partie 1) Langage et pensée Le langage, signe et instrument de la pensée selon Descartes, est avant tout

l’on dit avec ce qui est. Elle est donc un caractère de notre connaissance et non de ce qui existe réellement. En d’autres mots, elle est l’adéquation entre la réalité et l’homme qui la pense, considérée comme l’idéal de la connaissance. De manière classique nous pouvons la définir comme étant l’accord de notre pensée avec le réel. Donc, la vérité doit être conforme à nos connaissances. C’est ce que nous avons appris tout au long de notre éducation qui définit un idéal qu’est la vérité. La recherche

ressentir des émotions intenses, nous instruire, etc. émerveille toujours. Il peut être lu, relu et relu à nouveau à des années d’intervalle. Jamais on ne s’en lasse. L’excitation persistante, la sensation des pages entre nos doigts. C’est ce qui le rend unique et protégé. Mais privilégions-nous des biens de consommation de la même manière ? Considériez-vous une télévision tel un bouquin ? Une télé sera un jour dépassée et déclarée obsolète et nous « devrons » en changer. Jamais une telle chose n’est arrivée