Pensées

L’HÉRITAGE DE LA PENSÉE GRECQUE ET LATINE (Noema= l’objet de pensée) B) Le dépassement du paganisme polythéiste par la philosophie païenne Aristote dans la Métaphysique a pour la première fois montré que les philosophies naissaient chez un prédécesseur cad chaque philo nait d’une pensée qui l’a précédé. Chaque philo est dépassée par celle qui va suivre. Le monothéisme sera le dépassement du polythéisme. « Une tradition transmise sous

La pensée nous empêche t-elle d'agir ? La pensée ne nous empêche pas d'agir, mais ne nous y aide pas pour autant. Autrement dit, peut on agir sans pensé ? Il serait tentant de dire: Agir oui, à condition de penser juste. Peser le pour, le contre, agir en conséquences.. Tout cela est dictée par la pensée, par nos agissement. Dans un premier temps nous étudierons en quoi la pensée nous aide à agir, puis nous verrons en quoi la pensée nous empêche d'agir. 1 - La pensée nous aide t-elle à

suis 'je vraiment le sujet de mes pensées & de mes actions? La notion de sujet est polysémique. On parle de sujet d'expérience, de sujet de thèse, de sujet de devoir ; mais aussi au sens politique, un homme subissant une autorité. Au sens le plus moderne philosophiquement, le sujet est un être conscient ; une personne qui se pense et qui s'exprime à la première personne. C'est un être qui est capable de se représenter et de se prendre pour objet de pensée. Le sujet est action dans une phrase

« suffit-il » Veut dire : la condition en question est-elle suffisante ou faut-il réunir plusieurs conditions pour réaliser telle out telle chose ? Si on pense qu’une condition A enveloppe le résultat B, réaliser A permettre automatiquement de réaliser B. Si B dépend d’autres conditions telle A’, A ’’, A’’’, réaliser A ne suffira pas à manifester B. Pour se mouiller, il suffit d’avancer un pied dans l’eau, mais pour nager, il ne suffit pas de se mouiller ! A cette condition il faut en ajouter

solitude est-elle une condition nécessaire de la pensée ? Une pensée es t personnelle, quel qu’en soit le contenu, lorsqu’elle traduit un sentiment intérieur. Penser ne veut pas forcément dire que l’on adhère à une opinion, mais que l’on construit une logique pour établir la vérité ou, s’en rapprocher le plus possible. On ne parle pas de possession de la pensée, comme l’on pourrait parler de posséder un bien, on forme et travail cette pensée comme un menuisier travail son meuble et le bois

" Ce n’est point de l’espace que je dois chercher ma dignité, mais c’est du règlement de ma pensée. Je n’aurai point d’avantage en possédant des terres. Par l’espace l’univers me comprend et m’engloutit comme un point : par la pensée je le comprends. La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable ; un arbre ne se connaît pas misérable. C’est donc être misérable que de (se) connaître misérable, mais c’est être grand que de connaître qu’on est misérable. L’homme n’est qu’un roseau

| | |Exposé oral | |Kant Qu’est-ce que s’orienter dans la pensée ? Commentaire | |philosophique de Kant : | |première partie, sous partie A : ligne 1 à ligne 26 | Dans ce premier mouvement du texte, allant de la ligne 1 à la ligne 68, Kant s’intéresse aux obstacles liés à l’idée de progrès

Exemple de page de Les grands courants de la pensée économique ------------------------------------------------- CHAPITRE 1 : LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE La pensée économique est très ancienne puisqu’on peut la faire remonter d’Aristote et Platon. Pour ces différents auteurs, la pensée économique n’est qu’un aspect de la morale et de la philosophie. C’est surtout à partir du 18ème siècle que se développe la pensée économique moderne. C’est un vaste labyrinthe dans lequel les

Extrait des « Pensées » de Pascal, 1670 I. Le divertissement constitutif de la nature humaine. 1. Une condition humaine malheureuse. Pour Pascal, la condition humaine est malheureuse. « « Tout le malheur des hommes » (l. 4), « le malheur » qualifié par l’adjectif « naturel » (l. 12), et par l’expression « de notre condition faible et mortelle et si misérable » (l.11) (on note l’adverbe « si » qui insiste sur ce point.) Le terme « malheur » est décliné tout au long du texte, jusqu’à la dernière

Les Pensées de Pascal correspondaient lors de leur écriture à des feuilles volantes sur lesquelles l’auteur écrivait sa vision de l’homme et de la société grâce a de minutieuses observations des deux. Il entreprit d’écrire cette œuvre afin de diriger les hommes vers la foi catholique mais il mourut avant la fin de son écriture. Sa famille entreprit donc la publication de cet ouvrage inachevé. C’est l’éditeur qui choisit la forme et le contenu des Pensées. Il paru donc de nombreuses éditions dont