Pensée Inconsciente

opposition constamment. Éros est la pulsion d’autoconservation et celle de thanatos est celle de destruction. Dans l’inconscient il y aussi le refoulement qui est un mécanisme de défense qui repousse dans l’inconscient. Le refoulement est fait de façon inconsciente automatique. Ceci nous protège contre les pulsions menaçantes. La deuxième topique freudienne est la théorie dynamique de la personnalité. Il y a le Ca, le Moi et le Sur-Moi. Le Ca est la partie qui est désorganise, il constitue le noyau de notre

parvenu: il étale sa richesse car il a beaucoup travaillé pour en arriver là. Malgré tout il dit avec mélancolie que « tout ce [qu'il a] c'est d'être riche » : il n'est pas cultivé et le regrette. Les temps silence témoignent du fait qu'il part dans ses pensées. Il a conscience de ses limites et les déplore. Tout ceci dénote une certaine profondeur dans le personnage. Il évoque aussi un souvenir: un jour que son père le violente dans la cour de la Cerisaie, Lioubov le soigne. Elle oublie un temps son statut

ces derniers peuvent se manifester. Développement : 1. Souvenir présents et souvenirs absent de la conscience (l.1 à 6) 2. Les souvenirs inconscients, des archives silencieuses (l.6 à10) 3. Le rêve et les souvenirs refoulés (l.10 à17) Rédiger la conclusion : Le texte de Bergson nous permet de saisir un tournent dans la pensée, à l’entrée du XXe siècle, aussi bien dans la philosophie, que dans la littérature, tournant dont témoigne l’invention de la psychanalyse. Une nouvelle

mouvement de la conception du Moi, avant d'aborder la conception du Moi, telle que la présuppose la lecture lacanienne de Freud. Je tenterai de montrer le problème auquel se heurte le freudisme de Lacan dans ce contexte et de souligner l'originalité de la pensée lacanienne par rapport à Freud. D'après Freud, le Moi est un produit, un résultat de la conjonction de deux éléments différents. N'étant pas un fait originel chez l'être humain, il se constitue par la conjonction de l'auto-érotisme originel et

transforment la matière ou agissent sur des êtres humains, elles renvoient au travail au sens large. Elles sont une réalité psychosociale institutionnelle et se déploient toujours dans des institutions, une réalité psychique qui inclut la dimension inconsciente du sujet. Les pratiques sont donc des objets sociaux abstraits et complexes et ne sont pas des données brutes immédiatement perceptibles. Elles ne peuvent se comprendre et s’interpréter que par l’analyse. Analyser... Le deuxième terme auquel

sujet, ou bien même d’orienter la suite de l’étude, afin de répondre au mieux à la question du commanditaire. A l’issue du qualitatif, sera formulé des hypothèses (questions) qui permettront une confirmation quantitative par la suite. Exemple : « Je pense que l’échec du lancement de cette ligne de produit est dû à : 1)…, 2)…, 3)…, 4)… » Le qualitatif permet de donner une non représentativité statistique des données (vu la faible taille de l’échantillon), mais de mettre en place un échantillon représentatif

l’autre cherchant à le combler. Ainsi il n’est pas rare q’ un individu porteur d’un malaise inconnu de sa propre conscience, soit sujet à des pulsions, qui si elles ne sont pas maîtrisées rapidement conduisent au meurtre. On parle alors d’une force inconsciente, non maîtrisée. Ainsi, comment l’inconscient peut-il amener l’Homme à supprimer la cause de son mal être sachant que la conscience voudrait toujours « posséder » l’autre afin de retrouver la relation passionnée entretenue jusqu’à maintenant ?

dans son rapport à autrui ? Comment peut-on expliquer le dédoublement de l’individu, illustré ici par la citation de Rimbaud ? Il conviendra de voir dans une première partie pourquoi le « je » se pense-t-il d’abord comme un « je » qui n’est pas un autre, puis dans une deuxième en quel sens on peut dire qu’il y a altérité dans notre subjectivité, pour finir sur la structure interne de la personnalité.

elle ne peut être remise en question. C’est-à-dire qu’en analysant mes pensées conscientes j’atteins une certaine connaissance de moi-même. Or, comme le montre Freud dans Métapsychologie, il y a des phénomènes inexplicables par la conscience que l’on ne peut que qualifiés d’inconscient. En fait, selon Freud, le sujet est multiple : il est composé de sa conscience qu’il connaît et maîtrise mais il a aussi une part inconsciente qui contient notamment ses pulsions et désirs inavouables, notamment la

le monde m’est donné en même temps que je prends conscience de moi-même. c. Le doute ne peut pas plus abolir le monde qu’il ne peut abolir la conscience. Penser c’est penser la réalité, même si sa perception est tronquée ou fausse. d. Car l’homme pense grâce au langage. On ne peut penser sans mots. Le réel m’est donné à travers des formes symboliques. e. La conscience est le lien qui unit l’homme au monde : la conscience porte en elle la réalité du monde. Plutôt qu’une chose ou un être, la conscience