Perception de l'espace

(1783), Critique de la raison pure (1ère édition 1781, 2ème édition corrigée 1787) d’où est extrait notre texte d’étude. Lequel texte constitue la première section après l’introduction de ladite œuvre. Il a pour thème l’espace. En effet, à la question de savoir « qu’est-ce que l’espace ? », l’auteur dans sa thèse nous le présente comme une intuition pure. Pareille affirmation exige de nous une pause recueillante. Un recueillement qui nous invite à faire l’herméneutique de cette vérité, c’est-à-dire

images pour communiquer avec ses semblables. Les images pouvaient être gravées ou peintes sur les parois d’une caverne, modelées dans de l’argile ou gravées sur un os. Elles avaient une signification et exprimaient des pensées, des sentiments ou des perceptions. Certaines de ces images sont parvenues jusqu’à nous. Malgré leur éloignement dans le temps, elles nous permettent de connaître la sensibilité de ceux qui les ont réalisées; elles nous font parfois comprendre quelle était la façon de penser et

temps et dans l'espace, et un itinéraire mené avec détermination. a) La progression dans le temps Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ (tout le vers 1 : trois notations de temps formant un groupe ternaire selon le rythme 2/2/8). Il se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est

véritable souffrance et une perte de repère « plus dure » au vers 11, « source de larmes » au vers 14. La mort est dure à supporter pour lui et annule tout perception « masque la neige » au vers 12, « nuit » au vers 14 s'oppose à la lumière qui caractérisait la vie et avec le « masque aveugle » qui nous confirme que l'auteur à perdu toute perception et même sa mémoire « mon passé se dissout » au vers 15. On pourrait penser que la mort de la femme aimée le fait lui aussi mourir peu à peu au vers 10 et

un stimulus extérieur. En d'autre mots, ce serait la propriété tactile du toucher. De plus, il y a la subjectivité faible et forte. Selon Katz, ce qui est perçu lorsque nous focalisons notre attention sur le pôle subjectif n’est pas projeté dans l’espace extérieur. Cela va de pair avec son affirmation selon laquelle le pôle subjectif est corporel. 1. Subjectivité faible : le contenu du pôle subjectif est subjectif dans la mesure où il n’est pas perçu comme un état de l’objet extérieur, mais comme

en fonction de ses projets et du déroulement de l’enseignement. Articulations avec l’école primaire et le lycée Dès l’école primaire, les élèves ont été conduits à exercer leur créativité et leurs aptitudes artistiques. Ils ont pu affiner leur perception de la réalité sensible qui les entoure. Ils connaissent certains contenus propres à la discipline et ont pris plaisir à faire et à inventer, ils ont vu des œuvres dans la classe et lors de rencontres organisées, ils ont commencé à verbaliser leur

donne illusion subjective La conscience de soi est une caractéristique du sujet. D'une manière simple, le sujet c'est l'individu qui est capable, en toute conscience, de dire "JE". Le sujet est capable de prendre conscience de son action dans l'espace et dans le temps. Nous pouvons retrouver une des premières trace écrite de cette prise de conscience dans l'odyssée d'Homère où nous voyons le héros grec, Ulysse, se parler à lui même, en se disant, comme pour retarder son désir de vengeance, avant

Ambiances et confort – Ateliers techniques AUDIAR - Rennes – 18.05.2010 Sommaire - Origines de la psychologie environnementale - Évolution de la discipline - Approche systémique et dynamique - 3 processus essentiels : perception, représentation, évaluation - Confort objectif / confort subjectif - Présentation d’études : le confort sonore dans l’habitat collectif et les écoles maternelles Ambiances et confort – Ateliers techniques AUDIAR - Rennes – 18.05

• importance du passage à ce moment de la narration ? L'espace et le temps de la description : • relever les indices spatiaux : peut-on se repérer aisément dans l'espace ? La description a-t-elle par sa précision une valeur documentaire ou évoque-t-elle un lieu à construire par l'imagination ? • relever les indices temporels : la description évolue-t-elle dans le temps ? Quelles sont alors les transformations de l'espace décrit ? Quels sont les temps verbaux ? Le point de vue :

« je ne la trouve plus » ligne 3. De plus les nombreux lieux où elle se rend montre qu'elle essaye de changer ses idées noires mais en vain « A sainte-Marie » ligne 4, « chez Madame de Lafayette » lignes 12-13. La douleur modifie la perception du temps et de l'espace et tout rappelle à Mme de Sévigné l’absence de sa fille bien aimée. Cette lettre est mise en scène en créant une sorte de dialogue avec des points d'interrogations, d'exclamations mais aussi avec des interpellations : « Comprenez-vous