Perfection

l'homme désire parce qu'il n'a pas conscience de ce manque. 5- cette conscience alliée au désir le rend vain: marque de l'incapacité de l'homme à être satisfait. Parce que l'homme est capable de concevoir l'infini et la perfection, mais qu'aucun objet sensible ne réalise cette perfection, il ne peut jamais être totalement satisfait. Voir le don Juan de Mozart Kierkegaard Transition: ainsi le désir, parce qu'il est conscience d'un manque est la marque de la misère de l'homme. Mais s'il n'en est que

apparence physique qui, dans cette société, règne en maître et détient la clé du bonheur. Le but visé serait donc l’esthétique. N’est-ce pas également la perfection et l’immortalité ? Le corps « bricolé » pourrait être parfait et produire des exploits, défiant ainsi les machines électroniques tout en tenant tête à la mort. Cependant, cette quête de perfection et d’immortalité ne risque-t-elle pas de faire du corps un « objet », puisque manipulable à souhait ? Le corps, devenu objet, ne risque-t-il pas de

fondant sur cette idée ne perçoit pas qu’il peut rendre évident le fait que la religion incarne une idée de la perfection humaine qui est quelque part rejetée en dehors du monde présent. Pour Feuerbach il est temps qu’on attendre pas un miracle improbable pour réaliser cette perfection qui habite l’homme. En se débarrassant de l’idée de Dieu nous allons pouvoir réinvestir cette perfection sous la forme d’un engagement ici et maintenant pour plus de progrès. Marx dans ce texte a retenu cette leçon

superstition qui nous éloigne de cet épanouissement qu'est le plaisir. Puis, dans une première grande étape (de « aucune divinité » jusqu'à « nature divine »), il montre qu'on ne saurait valoriser la tristesse, qui, loin de manifester quelque chose de la perfection de Dieu, n'exprime qu'impuissance et moindre être. Aussi, dans la seconde étape(« il est d'un homme sage » jusqu'à « plusieurs choses ») l'auteur lie avec force sagesse et plaisir bien compris. Enfin, la dernière phrase constitue un bilan de

------------------------------------------------- Éthique de la perfection[modifier] Cette morale définit le bien désirable comme perfection ; cette perfection n'est pas subjective, mais peut se décrire objectivement. Par exemple le savoir, la réussite, etc. Ce bien est conçu comme le fondement du bonheur, mais sans impliquer la satisfaction subjective. Ce bien représente souvent la réalisation optimale de la nature humaine, et se trouve être de ce fait inégalitaire. Il définit en effet une hiérarchie des perfections à atteindre, hiérarchie

n'y a donc pas lieu pour Spinoza de rejeter le désir, il faut plutôt connaître les causes qui nous conduisent à désirer et s'en rendre maître. Ainsi la joie désigne le passage d'une perfection moindre à une perfection plus grande. Tandis que la tristesse est le passage d'une plus grande perfection à une moindre perfection. Les désirs qui produisent en l'occurrence la tristesse sont ceux qui comme l'avarice ou l'ignorance admettent des causes extérieures et produisent inconstance et impuissance en l'homme

mise sous la forme syllogistique suivante : Des êtres possédant imparfaitement leur perfection la tiennent d’un être qui la possède par soi, ou sont causés par un être qui possède cette perfection dans ce genre (du bon, du vrai, du beau). Donc quelque Être possédant la perfection par soi est existant. En conclusion, « il y a donc un être qui est, pour tous les êtres, causes d’êtres, de bonté et de toute perfection. C’est lui que nous appelons Dieu. »    CINQUIEME VOIE : Elle part de la constatation

caractéristique du vivant animé en général. 3. Le désir, c’est l’effort proprement humain vers la perfection A. Il ne faut pas confondre le désir et le besoin. La première analyse de la notion de désir était en fait une analyse de la notion de besoin. Alors que le besoin ne tend qu’à permettre la prolongation de la vie, le désir s’élève au-delà de cette fin : c’est l’effort vers la perfection. En ce sens, la contemplation esthétique et la moralité s’opposent moins au désir qu’au besoin : ce

trois angles égaux à deux droits, ou bien de l'idée d'une montagne l'idée d'une vallée ; en sorte qu'il n'y a pas moins de répugnance de concevoir un Dieu (cad un être souverainement parfait) auquel manque l'existence (cad auquel manque quelque perfection), que de concevoir une montagne qui n'ait point de vallée. [...] De cela seul que je ne puis concevoir Dieu sans existence, il s'ensuit que l'existence est inséparable de lui, et partant qu'il existe véritablement : non pas que ma pensée puisse

LA VERITE La philosophie, c'est l'amour de la sagesse, c'est la recherche de la perfection véridique couplé à l'art de vivre. La philosophie n'est pas l'érudition, n'est sage que celui possédant des connaissance au service de la bonne vie. Il y a 2 aspects de la sagesse : théorique ( contemplation ) et pratique ( incarnation ) La vérité est-elle la même pour tous ? Y'a t-il une vérité unique ? Personne peut assurer la totalité du savoir dans le temps, c'est techniquement impossible. CONCLUSION