Perfection

où l’ange tente de persuader l’homme de l’impossibilité d’atteindre la perfection de la sagesse : l 89, 90 « tu seras assez heureux pourvu que tu ne fasses jamais le sot projet d’être parfaitement sage. » L’adverbe « parfaitement » est répété ensuite quatre fois, suivi d’adjectifs tels qu’ « habile », « fort », « puissant », « heureux » ; cette accumulation sert à mettre en évidence l’impossibilité d’atteindre la perfection pour un homme. La sagesse ne serait-elle pas la capacité d’accepter sa condition

philosophie plusieurs grands penseurs se sont penchés sur la question. De la représentation de la sculpture Adam du peintre de la renaissance Michel Ange au despotisme de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, on y retrouve cette recherche de la de la perfection, de la beauté et de la santé. Même encore de nos jour cette image du surhomme nous est imposé à travers les médias et la publicité. On en vient donc à l’eugénisme qui est le contrôle de la reproduction dans le but d’améliorer les qualités de l’individu

l’être humain se “reconnaît libre d’acquiescer, ou de résister” à ce qui lui est donné de vivre. » (p.89, chapitre 3, l’être humain). L’homme, à la différence de l’animal, va progresser : il possède, en effet, la perfectibilité, possibilité de se perfectionner, de s’améliorer, d’être amélioré, de s’ouvrir ainsi à un développement et à son histoire. Cet homme naturel ne cherche qu’a répondre à ses besoins de survie. Il est donc davantage heureux et éprouvait des sentiments naturels tels que la pitié et

conditionnement classique ou conditionnement répondant ». Il avait observé que la salivation d’un chien pouvait avoir lieu sans autre qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation : c'est la faculté de se perfectionner, faculté qui, à l'aide des circonstances, développe successivement toutes les autres, et réside parmi nous tant dans l'espèce que dans l'individu ; au lieu qu'un animal est au bout de quelques mois ce qu'il sera toute sa vie, et son espèce au bout

13,15,17,19,20) démontrent son attachement à la perfection, et son caractère obsessionnel aux détails qui finiront par le tuer. Enfin, (L.23) « il était mort », le décès de son cher ami Bergotte finit par arriver, ses derniers moments furent brefs, soudains et rapides. Après réflexion sur l’immortalité, à la suite de la mort de Bergotte, Proust s’interroge et se demande : Pourquoi beaucoup d’hommes sont en quête un peu plus chaque jour de la perfection dans leurs œuvres comme dans leur vie ? Par

chez la veuve Martin et Jean Boudot, au Soleil d’or, en 1684. Image de couverture : Baltasar Gracián (retable conservé à Graus). 3 L’homme de cour (Éditions Gérard Lebovici, Paris, 1990.) 4 I Tout est maintenant au point de sa perfection, et l’habile homme au plus haut. Il faut aujourd’hui plus de conditions pour faire un sage, qu’il n’en fallut anciennement pour en faire sept ; et il faut en ce temps-ci plus d’habileté pour traiter avec un seul homme, qu’il n’en fallait autrefois

d'aliénation. Tout d'abord, le corps social répond à des normes imposées par la société. En effet, le contrôle de l'apparence physique du citoyen commence dans l'éducation des jeunes enfants. Ce dernier demande au corps de se rapprocher d'une perfection définie par la société. Il s'agit de demander aux enfants de répondre à un ensemble de règles qui coordonnent les conduites à tenir en public comme par exemple le fait de se tenir droit, de maintenir la tête haute, d'être propre, etc. Selon Georges

partie démontrer que la nature peut nous servir de modèle puis nous verrons que cependant elle ne peut pas dans tous les cas nous servir de modèle enfin nous verrons que l’art s’inspire régulièrement de la nature mais n’arrive pas a incarner la perfection de la nature. Nous allons voir que la nature peut nous servir de modèle. Tous d’abord nous pouvons constater que dans l’antiquité grecque, tous les dieux grecs étaient inspirés de la nature comme par exemple Poséidon dieu de la mer ou encore

(08/12/14) Lecture analytique 1 I) Melle de Chartres: une incarnation de la perfection * a) Le portrait physique 1ère apparition de l’héroïne ds ce passage ns lecteur on s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait et traditionnellement le 1er portrait qui est brossé et le portrait phyq=sique. Dès les 2 premières lignes du texte on a des éléments de son portrait avec le terme ''beauté'', terme qui va être repris avec l'expression ''beauté parfaite'' = hyperbole. Adjectif

En effet, selon lui cette amitié relève de l’indicible « ne sais quelle » (l.8-9), « je crois par… » (l.12), « je ne sais quelle » (l.23). Une amitié ineffable de par sa perfection (elle n’a aucun modèle). L’auteur utilise ainsi des procédés d’insistance afin de valoriser cette amitié. L’on remarque un lexique de la perfection ainsi qu’un vocabulaire évidemment mélioratif (« excellente » (l.16)…) dans ce texte mais aussi divers parallélismes, notamment : « Parce que c’était lui ; parce que c’était