Perfection

peu. Ces deux courants littéraires ont tous deux leurs propres spécificités. Le classicisme se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. Il ne fallait pas exprimer ses sentiments mais chercher cette perfection obéissant à des règles très strictes. Au XVIIème siècle le théâtre était considéré comme le genre noble. Le classicisme durera ainsi jusqu’en 1800. Le romantisme est un courant artistique d’Europe occidentale

jeune Gargantua dans une telle perfection que cette maîtrise de soi devient un modèle de l’entreprise humaniste Mais elle humilie ce à qui elle s’adresse > réactions des personnages ➢ Relations d’opposition du texte - Personnage de Ph de Marais = figure de sage, homme avisé, définit les enjeux de la scène, il propose une solution utile qui permettra d’échapper à la crise dans laquelle Gargantua et Grangousier sont prisonnier - Eudémon = perfection dans sa personne, discours

his poem by a question:” “Shall I compare thee to a summer’s day”, comparing immediately the beloved to nature. Why to start with such a question? Probably the author wants to show the reader the importance of his relation with the beloved, the perfection of this last or, at least, the degree of his feelings for him. The second verse “Thou art more lovely and more temperate:” indicates that the poet made a mistake by comparing her/ him to “a summer’s day” and wants to correct it. In fact, the beloved

été publiée à Paris, chez la veuve Martin et Jean Boudot, au Soleil d’or, en 1684. Image de couverture : Baltasar Gracián (retable conservé à Graus). 3L’homme de cour (Éditions Gérard Lebovici, Paris, 1990.) 4I Tout est maintenant au point de sa perfection, et l’habile homme au plus haut. Il faut aujourd’hui plus de conditions pour faire un sage, qu’il n’en fallut anciennement pour en faire sept ; et il faut en ce temps-ci plus d’habileté pour traiter avec un seul homme, qu’il n’en fallait autrefois

médiévale, nous allons nous attarder sur l'éloge que fait Bonvesin della Riva de la ville. Il nous semble en effet évident qu’on retrouve dans cet extrait une idée de grandeur et de prestance de Milan dans un premier temps, ainsi qu'une impression de perfection dans un second temps. A) L'importance de Milan L'éloge de Milan se traduit dans un premier temps par la mise en avant de l'importance de la ville. Ici, il n'est pas fait référence à la population, même s'il est avéré qu'à la fin du XIIIe siècle

sème la désolation et l’envie sur son passage. Grandement impressionné par la perfection physique de Dorian Gray, son ami Basil Hallward, peintre talentueux, décide d’en faire l’œuvre de sa vie : « Sa personnalité m’a suggéré une manière entièrement nouvelle, un style entièrement nouveau. […] [Dorian] définit pour moi la ligne d’une école nouvelle, une école qui allierait à la passion de l’âme romantique toute la perfection de l’esprit grec. Tout ce que représente l’harmonie du corps et de l’esprit

a. L'Homme au centre du monde. les humanistes : étudient l'Homme et ces centres d'intérêts mais ne contestent pas la puissance de Dieu, mais l'Homme est doté d'intelligence et peut se perfectionner, d'où l'importance de l'éducation. Grâce à elle, l'Homme peut espérer atteindre la perfection et une perfection aussi intellectuelle que physique —> touche l'élite. L’humaniste valorise la connaissance, la science, le savoir des anciens et Rabelais explique que grace au savoir, un homme nouveau doit

dans la description: exagération des chiffres (portail de deux cent vingt pieds de haut, et de cent de large), mille musiciens, mille colonnes) et des dimensions (édifices publics élevés jusqu’aux nues). • Emploi de termes élogieux soulignant la perfection du pays : belles filles, supériorité prodigieuse, toute la grâce imaginable, poliment, qui lui fit le plus de plaisir. • Emploi de termes connotant le luxe et le dépaysement : un carrosse attelé à des moutons filant comme le vent, les bains, les

inaccessible. C'est l'idée du bonheur , la quête de celui qui nous fait avancer dans la vie et nous conforte dans nos décision et choix c'est le motif ultime de nos actions. Le bonheur est alors une perfection que nous ne voyons pas. Mais cela veut il dire qu'il n'existe pas ? En associant le bonheur à la perfection nous acceptons l'idée que celui ne se réalisera pas et restera une illusion que nous ne ferons que poursuivre tout notre vie. On met alors en évidence la divergence entre la réalité et le bonheur

Spinoza appelle la joie (sentiment de passage de notre être à une plus grande perfection. C’est donc une augmentation de notre puissance d’exister. Contraire de tristesse : une moindre perfection et c’est la chute). En effet, le divertissement n’accompli rien, il n’est pas créateur, il n’ajoute aucune perfection à notre être. Au contraire, la joie est le sentiment de s’accomplir d’avantage et d’agrandir sa perfection. C’est un état d’intérieur. La culture est à l’origine, l’activité de l’homme