Période des dynasties archaïques

manière primitive. L'histoire juridique a un rythme sociologique et économique qui peut être différent des périodes politiques. L'Antiquité : VIIIe siècle av JC jusqu'à 476 ap JC (chute de Rome) Le Moyen-Age : 476 ap JC jusqu'à 1453 (chute de l'empire Byzantin et fin de la guerre de 100 ans) La Renaissance : 1453 (période d'innovation) jusqu'à 1789 → « Période moderne » La période contemporaine : 1789 jusqu'à aujourd'hui. Partie I : Les Sources Antiques et Médiévales du Droit (VIIIe siècle

bénéficie des mêmes épithètes homériques que les héros grecs. Malgré tout, l’esclavage reste une déchéance. Eumée lui-même déclare que « Zeus l'Assourdissant prend la moitié de sa valeur / à l'homme, dès le jour où on le livre à l'esclavage »44. À l'âge archaïque, il est difficile de déterminer quand naît l’esclavage-marchandise. Dans les Travaux et les Jours (viiie siècle av. J.-C.), il apparaît qu’Hésiode possède plusieursdmôes dont le statut n'est pas clair45. La présence de douloi est attestée chez des

En effet, de nombreux codes chinois (on en connait 18 dont les plus anciens remontent au Ivème siècle avant Jésus-Christ mais cela n'ont pas été conservé). Le plus ancien code dont on dispose est celui des TANG en 37 après Jesus-Christ. Chaque dynastie à presque fait son code en reprenant de nombreux éléments aux recueils anciens. Il faudra relever le caractère répréssif et administratif de ces codes. Le caractère administratif : Ces codes sont considérés comme des archives d'actes gouvernementaux

conception, le Roi reçoit le droit du Dieu et c’est celui qui transmettra le droit à son peuple. Le Roi ne fait que restituer la volonté divine. Le Code d’Hammourabi (pierres gravées), découvert en 1902. Hammourabi est un des rois de la première dynastie de Babylone. Le droit n’est jamais créée pour le droit lui-même, il a toujours un objectif politique. Pour H. le seul moyen d’établir son autorité sur un territoire vaste, il devait bâtir un socle commun (soumission à une même autorité). Cela ne

Civilisation maya Pour les articles homonymes, voir Maya. Mayas Localisation des territoires occupés par la civilisation maya préhispanique. Période Vers 2600 av. J.-C. à 1521 ap. J.-C. Ethnie Précolombiens Langue(s) Langues mayas Religion Religion maya Villes principales Chichén Itzá, Copan Région d'origine Amérique centrale Région actuelle Mexique, Belize, Guatemala, Salvador, Honduras Frontière Zapotèques, Huaxtèques modifier Pyramide à degrés de la cité postclassique maya

néolithique dans les centres tels que la Thessalie, les Cyclades, le Péloponnèse, la Crète et certaines zones turques. En 1952, on déchiffre des tablettes en bronze du palais de Mycènes avec des inscriptions incisées appelées « linéaire B », forme archaïque de la langue Grecque (1600 BC). Elles donnent des informations sue le palais de Mycènes et comporte des noms de divinités conservés par la suite, ce qui implique une continuité entre l’Age du bronze et les cités Grecques. A cette époque, deux

[réf. nécessaire] Sommaire [masquer] 1 Frontières de l’État 2 Subdivisions 2.1 Villes 3 Milieux naturels 3.1 Topographie 3.2 Climat 3.3 Végétation 4 Histoire 4.1 La Rus' de Kiev 4.2 L’invasion tataro-mongole 4.3 La Moscovie 4.4 La dynastie Romanov 4.5 La Russie grande puissance européenne 4.6 Expansion de l’Empire vers le sud 4.7 Tentatives de réforme 4.8 Industrialisation 4.9 La révolution de 1905 4.10 Première Guerre mondiale et révolution russe 4.11 Entre les deux guerres

personnes publiques Tit-live (50 av JC- 17 ap JC) : romain : la loi des douze tables est la source de tout le droit public et privé Les romains faisaient déjà la distinction droit privé/ droit public mais existait déjà dans la haute Antiquité Période gréco-romaine : grec véritable inventeur du vocabulaire du pouvoir Le mot politique vient du mot grec « polis » qui veut dire la cité. C’est eux qui ont conçu la notion de cité et de constitution au sens de régime politique (le mode d’organisation

manquent jamais de s’y référer, cela ne signifie pas qu’il en a été toujours ainsi. La thèse de J. S. est que le droit islamique prend sa source dans la pratique des gouvernants umayyades et que c’est seulement après cette phase, vers la fin de cette dynastie, que l’on a jugé nécessaire de lui donner comme base le Coran. La thèse d’ensemble de J. S., même si elle ne touche pas à plusieurs assertions de la vision traditionnelle (comme l’ancienneté de la vulgate ou le caractère central du Hijāz), est proprement

marier entre eux. Le droit hébraïque archaïque aurait admis la polygamie, femmes & concubines dont on ne pouvait se séparer à la légère. Si une femme ne peut pas donner d’enfant à son mari, elle peut offrir une concubine à son mari afin que celle-ci « enfante sur ses genoux ». C’est la servante de Sarah qui donnera un fils à Abraham, Ismaël. Lévirat : montre l’importance du clan, de la transmission du sang familial. Le caractère patriarcal du droit archaïque ira en s’amenuisant avec la sédentarisation